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Mnou |
Mon histoire . |
10 |
19/07/09 à 20:44 |
Bonjour.
Alors j'ai eu envie d'écrire une histoire qui est un peu la mienne indirectement.
Alors pour es plus courageux. Bon courage . ;D
Pourquoi me dit-elle celà maintenant celle-là ?
La voix venait de résonner dans le couloir du hall. C'était la voix de ma mère. Elle me demandait de descendre car le repas était prêt, sûrement un plat italien vu que ma mère prépare toujours des spécialités italiennes quand elle est de bonne humeur et qu'aujourd'hui c'était le cas.
Elle chantait une chanson joyeuse entendue auparavant à la radio. Vous seriez en train de la regarder, vous vous demanderiez si elle avait pas à nouveau 20 ans, elle s'y prenait au sérieux, avec son tablier taché, ses yeux brillants et sa louche qui servait à gratter la passoire pour faire le plus de bruit possible. Moi, ce n'était pas le cas, ni aujourd'hui, ni les semaines précédentes, je n'étais pas dans cet état d'esprit là. Depuis combien de temps d'ailleurs, n'avais-je plus été aussi heureuse. Six mois ? Un an ? je ne m'en rappelais plus.
Avant de passer à table, je sentis mon portable piailler. La musique qui était en sonnerie était une musique heureuse que l'on entend souvent dans les soirées branchées de ma ville. Je devrais la changer, cette mélodie. Sur l'écran de mon mobile, le nom affiché était celui de Béatrice. Celle-ci était depuis toujours ma meilleure amie depuis nos 3 ans. Elle m'avait toujours soutenu. Mais je ne voulus pas répondre vu que des larmes sortaient peu à peu de mes yeux clairs et que ma voix ne savait plus sortir un seul son. Je sortais de ma chambre en claquant la porte et je me regardais dans le miroir du hall. Cette fille ne me ressemblait pas avec son visage tout rouge d'avoir pleuré, son mascara coulant et ses lèvres gonflées pourtant c'était bien moi.
Je dévalais les escaliers et rentrais dans la cuisine dont la bonne odeur se faufila à l'intérieur de mes narines. Je m'asseyais sans dire un seul mot. A table, les personnes présentes n'étaient que moi et ma mère. Je voulais toujours faire voir la facette de moi heureuse et sereine devant ma mère mais cette fois, c'était trop fort et trop pesant pour que je fasse voir le contraire de ce que j'étais. Tout se passa pourtant bien, ma mère ne me posait aucune question. Je m'essuyais les lèvres avec une serviette et décidais de sortir de table en laissant ma mère, débarrasser pour moi mon assiette et mes couverts. je m'en voulais qu'elle le fasse pour moi, mais après tout, elle venait de rentrer dans ma vie, à ma naissance, elle partit de la maison pour se remettre à ses études qu'elle avait loupé dans son adolescence.
A son arrivée, il y a 4 ans, elle voulait rattraper le temps perdu avec mon père et moi. On l'accepta vite dans la famille, pour la pointe de bonne humeur qu'elle mettait dans la maison dont, il faut bien le dire, on avait besoin. Je me demandais souvent si on avait bien fait de l'accepter si vite, cette inconnue. Elle m'avait quand même abandonnée et laissée à la portée de mon père, pas très doué avec les enfants et les relations familiales. Ma mère était si gentille, si douce, si belle, si féminine, celle-ci était tout de même la mère que tout le monde rêvait. Pas trop sévère. Pas trop protectrice. Juste comme il faut. Je comprends pourquoi mon père l'avait épousé.
Un soir, ils étaient venus tous les deux, à mon chevet, me raconter leur belle rencontre. Philippine, le prénom de ma mère était inscrit sur les listes de participation à une soirée. Mon père, François, l'avait déjà croisé dans la plus grande avenue de la ville. Il l'avait trouvé charmante et une fois qu'elle était passé, il s'était retourné pour admirer en passant sa langue sur ses lèvres en contemplant son arrière-train. A cette fête, mon père l'avait invité à danser et ils avaient dansé toute la nuit. Une belle histoire d'amour était née au fur et à mesure des rendez-vous. Je décidais de remonter dans ma chambre. J'examinais mon portable et mon Nokia avait 12 appels en absence, tous de de Béatrice. Je décidais de la rappeler pour pas qu'elle croit que je ne veuille plus lui parler. Au bout de deux coups, elle répondit.
Elle s'assurait que j'allais bien. Je répondis tant bien que mal que tout allait bien pour moi. Elle insistait. je lui demandais pourquoi elle pensait le contraire et me dit que je n'étais pas venue au dernier entrainement de danse et que ce n'était pas dans mes habitudes. Je lui dis que j'avais des choses à faire avec ma mère et qu'elle n'avait pas voulu que j'y aille. Elle raccrocha au bout de 4 minutes de conversation. je soufflais. Ouuf. Béa n'avait pas trop insisté. Durant 3 semaines de suite, je ne sortais plus de chez moi, ne m'habillais plus, ne regardais plus mes émissions préférées comme "l'espoir de Manon", une série que je suivais depuis 2 ans. je sortais seulement pour le lycée et pour aller chercher le pain mais je ne me parlais à personne. Je passais mes journées à pleurer, à utiliser des boîtes entières de mouchoirs et à écrire dans mon journal intime. La raison de mon malaise. C'était lui. Ce garçon aux yeux foncés, à la mèche de cheveux tombant sur son visage et à son sourire qui pouvait rendre la joie de vivre à n'importe quelle fille. Il s'appelait Benoit, avait 16 ans et faisait craquer toutes les filles de notre lycée. Je l'avais rencontré chez une amie qui faisait une petite soirée à laquelle j'avais supplié pour venir, sachant que Benoit allait venir.
Il arriva deux minutes après moi à la fête et me passa sur les pieds. Sans me saluer, sans me lancer son petit sourire. J'étais déçue. Il s'était directement dirigé vers le bar et s'était servi une boisson alcoolisé et avait enflammé la piste de danse par la suite avec une jolie blonde. Mes mains étaient devenues moites et mes yeux humides. Je m'étais préparée pendant de longues heures avec les conseils de quelques amies, j'avais balancé toutes mes économies dans un sublime rouge à lèvres Dior, et une robe qui coûte la peau du bas du dos. J'étais aux anges quand je me suis contemplée dans la glace. Tous mes sacrifices ne servaient à rien. Je me suis dit que je valais beaucoup mieux. Mais c'était impossible, son regard m'avait enveloppé et j'étais prisonnière de lui.
Le pire n'était pas encore arrivé.
Plus tard dans la soirée, il était plutôt saoul, d'ailleurs tout le monde l'était, hors mis moi. J'étais la seule à avoir été raisonnable et heureusement, si ma mère serait venue me chercher dans un état critique, j'aurai été privée de sortie à vie. Le mélange alcool et clopes ne lui avait pas réussi à Benoit. Il était couché dans le canapé au fond de la salle. Il était seul. C'était le moment ou jamais d'aller lui parler.
Pour une fois, j'avais eu du cran. Je m'asseyais près de lui. Il criait un peu à cause de l'alcool, de la musique qui allait trop forte. Au bout de deux heures, son taux d'alcoolémie avait baissé et pendant tout ce temps, je l'observais en train de dormir et de murmurer je ne sais quoi.
Son portable avait bien vibré une dizaine de fois, normal, vu qu'il était très populaire. Le mien ne sonnait que de la part de ma marraine pour prendre de mes nouvelles une fois par mois et de ma meilleure amie. C'était tout. Ou parfois de ma mère quand elle s'inquiétait de savoir où je me trouvais.
Il était là, près de moi, depuis 2 heures, c'était simple car il dormait et sa peau contre la mienne je me sentais bien mais là, il venait de se réveiller et j'allais devoir lui parler. Que lui dire ? Le faire rire ? L'embrasser ? je n'ai pas eu le temps de me poser beaucoup de questions qu'il me demanda déjà qui j'étais. Je me présenta et il vint me couper en disant "c'est bon, j'ai compris", et se remit à dormir. C'était plutôt un choc. Il ne prêtait aucune attention à moi. Même pas un mot gentil, un sourire, ni même un regard. La jolie blonde de la piste de danse vint vers nous et d'un ton sec me demanda si, il allait mieux, après la réponse attendue, elle s'assit près de moi et l'embrassa en lui murmurant quelques mots.
Elle me regarda à nouveau, je me sentis mal à l'aise et elle me questionna sur les gens que je connaissais à cette fête puis elle partit danser avec ses amis. Cette fille paraissait magnifique. D'ailleurs, elle l'était. Aussitôt partie, il se retourna, se leva, et marmonna qu'il en avait marre de cette nana. Je lui demandais pourquoi, et me dit que ce n'était pas mes affaires. Puis Benoit finit par dire que cette fille valait rien, qu'elle était conne, moche et que derrière ses vêtements amples se cachaient de gros bourrelets. Il enchaina en disant qu'avec cette fille, il cherchait juste du sexe et rien de plus. Ni plus, ni moins.
Après avoir prononcé ces mots, il éclata de rire et partit se servir un verre d'eau et fumer quelques clopes dehors. Mon portable vibra et la personne au bout du fil était François qui me dit qu'il allait arriver me prendre. Je fis mes salutations à tout le groupe et attendit devant le porche de la maison.
Il faisait froid. Benoit, lui repartit avec sa moto neuve. Elle faisait un beau bruit. Du lendemain, je le revis au lycée, il ne vint pas me dire bonjour mais grâce à une de mes amies, j'avais obtenu son numéro de portable. J'étais aux anges. Un certain sentiment m'envahissait, celui du bonheur. J'allais pouvoir lui parler sans bafouiller ou devenir rouge. C'est un peu, une aide. Le soir, je repris le bus et je revins chez moi. Je me faisais un bon goûter quand ma sœur vint me dire bonjour. Je rentrai dans mon portable le numéro de Benoit qui était encore inscrit sur un bout de papier jaunâtre. Aussitôt, je lui envoyais un message: " Bonjour Benoit, Je suis Marianne, tu te souviens de moi à la fête de hier soir ? J'étais à coté de toi quand tu t'es endormi dans le canapé. " Puis je me mis à mes devoirs, j'avais une rédaction, des exercices de maths et quelques leçons à apprendre. Pour me donner du courage, je posais le portable dans mon armoire et comme ça, une fois mes devoirs finis, je pourrais dévorer son sms, et le lire pleins de fois. Au bout d'une heure et de quelques minutes, j'avais fini. Je sautais dans ma chambre de joie et j'ouvris mon portable. Il y avait un message non lu de Benoit. Il avait répondu: " A qui, as-tu eu mon numéro ? Je ne passe pas mon numéro à n'importe qui moi. Oui je me souviens de toi, la petite brune, tu veux quoi ". C'était le moment où jamais de tout lui dire ce que j'ai sur le cœur en espérant qu'il ne sorte pas avec la jolie blonde. Je lui envoyais un long sms sans lui dire que je l'aimais: " je voudrais que l'on se revoit bientôt car je voudrais faire ta connaissance. Pourquoi pas au centre commercial demain soir ? ". Voilà, c'était envoyé. Ouff. En attendant sa réponse, j'appelais ma meilleure amie. Elle me conseillait de ne pas aller trop vite et que je fasse attention car il pouvait aller plus vite que je ne le pensais dans les relations amoureuses.
Quelques minutes avant de raccrocher, mon portable se mit à sonner, j'avais un deuxième appel. Le numéro appartenait à Benoit, je le connaissais par cœur. Après avoir dit à ma meilleure amie que je devais la laisser, je pris une longue inspiration et je décrochais. Il me dit qu'il pouvait me voir demain mais pas longtemps car il avait d'autres choses à faire. Je ne parlais presque pas. J'étais terrorisée de la beauté de sa voix si douce. Toute la soirée, je pensais à quelle tenue mettre, quel maquillage prendre ...
Le lendemain après une longue journée de cours, je repris le bus et arrivai chez moi. Je m'habillais de façon simple avec un beau débardeur. Mais en me regardant dans le miroir de ma chambre, je me disais dans ma tête qu'un si beau garçon ne pouvait pas s'intéresser à moi. Je n'étais pas à la hauteur. Je laissais un mot sur la table de la cuisine pour que mes parents ne s'inquiètent pas.
Dans le bus m'amenant au centre commercial, le stress commençait à monter dans mon crane. Je descendis. Il était sur sa moto quelques mètres plus loin. Il m'avait vu. Impossible de faire demi-tour. il me dit bonjour et me dit qu'il ne voulait pas rester là, à cette heure et me dis de prendre le casque et qu'il allait m'amener chez lui. Je ne dis pas un mot. J'étais sous son charme. La route, derrière lui, avec son parfum que je sentais au fur et à mesure des kilomètres parcourus me rendaient heureuse. On descendit chez lui. Là, étaient présentes des personnes du lycée que je ne connaissais pas. Ils étaient assis en rond dans son jardin. Nous fîmes de même. Un de ses amis lui demanda qui j'étais et si j'étais sa nouvelle copine. Il fit non de la tête, d'un air de dégoût. Son copain lui répondit, qu'il le savait bien, que je n'étais pas sa nouvelle conquête car il ne ramenait jamais de filles moches.
J'étais dégoutée. Je venais de me prendre un énorme coup de couteau dans le dos et mes parents ne savaient même pas où j'étais. Une demi-heure après et quelques bouteilles d'alcool vides. Benoit et ses amis étaient encore saouls. Benoit, riait, dansait comme un singe. Il m'emmenait dans sa chambre peu de temps après et m'allongeait dans son lit, lui au dessus. Il commença à m'embrasser, puis engouffra sa langue dans ma bouche. Nos langues étaient en fusion. C'était merveilleux pour moi. Il m'aimait. Après quelques bisous, toujours aussi beaux, il commença à enlever son tee-shirt rouge. Il était torse-nu devant moi. J'étais gênée de le voir comme cela. Je ne voulais pas faire de même, j'allais être trop gênée de ma petite poitrine, de mon ventre tout rond.
Il fallait arrêter le massacre, je ne voulais pas. Pourtant il commença à enlever mon débardeur. Il me lécha le cou, me toucha les seins, les fesses. Nous avons fait l'amour. Oui, pendant de longues heures. une fois fini, il s'est habillé m'a demandé de partir car il était fatigué.
Nous descendîmes à deux, dans le jardin avec les autres. Moi, croyant qu'on sortait ensemble, je voulus l'embrasser. Il me repoussa méchamment et me dit que j'avais eu ce que je voulais et que je pouvais partir. Je devins rouge. De honte. Il répondit que je devais être conne pour croire qu'il pouvait m'aimer.
Voilà.
J'ai corrigé et aéré, les prochains qui trouvent comme seuls post '' Pas eu le courage de lire '' verront leur post supprimé. Vous avez la flemme ? Cliquez sur précédent ;-)
W&N |
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Mon histoire . |
1/10 |
19/07/2009 à 20:45 |
Désolée, je n'ai pas eu le courage.
Mon histoire . |
2/10 |
19/07/2009 à 20:46 |
Pas le courage de lire tout ca. Y'a même pas de paragraphes.
Mon histoire . |
3/10 |
19/07/2009 à 20:46 |
J'ai pas lu, mais la forme ne donne absolument pas envie.
Tu peux pas changer ? Parce que j'suis pas sure que quelqu'un lise ça.
Mon histoire . |
4/10 |
19/07/2009 à 20:46 |
Je ne suis pas courageux désolé U_u quand je vois ce que t'a écrit ^^
Mon histoire . |
5/10 |
19/07/2009 à 21:00 |
Bon ben j'ai eu un peu de courage quand même =) Au début j'ai eu du mal puis j'ai accroché, interessant. Et désolée pour toi si ça t'es arrivé... encore un gars qui n'en vaut pas la peine !
Mon histoire . |
6/10 |
19/07/2009 à 21:52 |
Alors, j'ai tout lu. Et je trouve que ça fait trop journal intime. Et le personnage de la fille est trop niais à mon goût. Je ne trouve pas un grand interêt à l'histoire aussi. Et il y a pas mal de fautes...
Je n'aime pas.
Mon histoire . |
7/10 |
19/07/2009 à 22:32 |
OMFG, les fautes. J'ai bien rigolé surtout pour celle-la : "J'étais
terrorifié de la beauté de sa voix si douce."
C'est vraiment mal écrit : fautes d'ortho, fautes de syntaxe, de grammaire. Il faudrait encore plus d'aération dans ton texte et éviter de sauter du coq à l'âne d'une phrase à une autre.
Pour ce qui est de l'histoire en elle-même, c'est horriblement niais et simpliste.
Je n'aime pas.
Mon histoire . |
8/10 |
20/07/2009 à 17:45 |
La mise en page ça existe hein. Heu j'ai vraiment pas aimé. C'est d'un niais...
Mon histoire . |
9/10 |
21/07/2009 à 14:29 |
J'ai tout lu.
Fautes énormes, tournures de phrases gamines ("si j'aurai ...", etc.), style très lourd ("le numéro qui appartient à bidule", "je me disais dans ma tête"), tu passes du passé au présent.
Ah, aussi, à 16 ans on a pas de moto. Le permis moto, c'est comme pour la voiture, c'est 18 ans. Si tu parles des petites moto sans permis bridées à 60Km/h, ça n'a rien de bien viril pour ton Benoît.
Voilà voilà ! Courage, au moins tu écris pas en SMS, c'est une victoire énorme quand on a 15 ans
Mon histoire . |
10/10 |
21/07/2009 à 14:31 |
Je n'ai pas terminé, j'ai trouvé cela maladroit dès le début, ça ne m'a pas donné envie de continuer...