Jane se regardait dans le miroir. Elle s’était mise toute jolie pour rejoindre l’homme qu’elle aimait, et qui, l’aimait profondément en retour. Elle était assez fière du résultat. N’étant pas particulièrement jolie, mince ou exceptionnelle, la jeune femme avait plusieurs atouts qui plaisaient aux hommes, et cela, elle le savait, même si plus souvent qu’autrement, elle manquait de confiance envers elle-même.
Mais cette fois, elle avait un homme qui l’aimait à ces côtés, et ce fût assez pour qu’elle se sente bien. Quand on aime, et que l’on est en retour, tout l’amour pour soi-même ne semble plus tellement important. Certes, on doit avoir un certain respect pour soi, mais l’amour que l’on reçoit nous rend bien plus sublime que la plus narcissique personne du monde ne saurait aussi bien combler. Et ça, elle l’avait comprit.
Pour une personne aussi indépendante qu’elle, lorsque célibataire, l’amour à un sens unique et si précieux que tout homme qui s’avère instable en amour ne pourrait point comprendre, de ça, elle en était certaine. D’une main, elle repoussa les mèches blondes qui se balançait grâce au vent sur son visage blanc et plus ou moins rond. Elle était effervescente. Si heureuse de respirer pour une personne qui lui permettait de sourire sans aucune raison, à cet homme qu’elle aimait plus que tout et qui lui permettait de voler librement dans le chemin de la Vie alors qu’autrefois, elle était qu’une âme sans joie, ni peine, qui continuait d’airer sans vrai but dans sa vision que la vie était.
Un chemin, dure, parfois remplit d’obstacle, mais qui permettait de rencontrer des gens formidables qui lui tiendrait la main, l’aidant à surmonter ses pires craintes et pires peines.
Elle sourit à cette pensée. Avait-elle des talents de poète en elle? Où était-ce le bonheur qui lui était monter à la tête? Elle ne savait point. Et elle s’en fichait éperdument. Si l’amour avait fait d’elle une femme épanouie, une femme romantique et heureuse d’être en vie, alors, elle ne voulait pas se poser d’autres questions. Seule la préoccupation d’être heureuse et de le rendre heureuse lui suffisait amplement.
Quand elle le voit, c’est assez pour que son cœur batte de plus en plus vite.
Alors même qu’il l’effleure, c’est assez pour que son corps réagisse et demande des caresses tendres que seul lui pouvait lui donner. Alors même qu’il l’embrasse, une chaleur l’emplit, et un désir énorme qui l’a fait trembler.
Et ce soir elle allait voir l’homme qui entretient tous ses rêves et fantasmes les plus fous…
***
Elle se réveilla vers 8h00, près de son Nathan, le lendemain matin, après un merveilleux souper en sa compagnie. Il va s’en dire que naturellement, les caresses s’étaient multipliées et qu’ils avaient l’amour aussi intensément que la première fois. Elle le regarda dormir, il semblait si fatigué, mais en même temps, si paisible et heureux. Aussi heureux qu’elle, et cela la remplit de joie. Du bout de ses doigts, elle effleura doucement son visage, fit le tour de sa mâchoire aussi délicatement que possible, comme elle se plaisait à le faire. Il était rare qu’elle se lève avant lui, mais elle adorait ces petits instants où elle le regardait dormir. Ils resteront marqués dans sa mémoire, et comme elle ne fut point une femme qui croyait ‘’au toujours et à jamais’’, elle voulait se souvenir le plus possible de cet homme qu’elle aimait tant.
Puis, Nathan se réveilla. Il sourit. Elle n’avait toujours pas remarqué qu’il avait ouvert les yeux. Se réveiller près d’elle, c’était une bénédiction du ciel, elle était son rayon de soleil. Il profita de cet instant pour l’embrasser par surprise. Même si Jane n’a jamais été une femme matinale, les caresses de Nathan réussissaient toujours à la réveiller, et elle finissait toujours par répondre à ses caresses avec ferveur, elle qui a toujours été passionné dans tout ce qu’elle engageait, et ce côté la de sa personnalité, ne faisait pas exception à la règle en amour, et surtout pas au lit.
Il refit l’amour, malgré la longue nuit qu’il avait passé.
***
Ils passèrent une bonne heure à ce parler, de tout et de rien, de la vie, de leur amour, comme toujours. Pourtant, Jane ne pouvait s’en lasser, elle appréciait ces moments où ils passaient leur temps à raconter ce qu’ils avaient vécu et comment ils se sentaient. Elle aimait entendre sa voix parler avec émotion, parfois avec détachement. Elle aimait lui raconter ses états d’âme, ces moments de bonheur et surtout, elle aimait lui répéter combien elle l’aimait avec passion et sincérité ultime. Elle aimait ces conversations anodines. Elle ne savait pas s’il les appréciait, mais elle le remerciait, de le lui faire vivre.
Elle aurait désirée rester dans ses bras pour toujours. Arrêtez le temps qui continuait d’écrire la destinée de chacun et de chacune, sans nécessairement prendre conscience que quelques événements qui lui plaisait de concrétiser, enlevait parfois, le bonheur à l’une et à l’autre. Mais il vint le temps de partir, d’offrir à son homme un dernier baiser, et de retourner dans la vie qui battait son plein alors que deux amoureux, n’y voyait que l’amour qui continuait de brûler telle une flamme, qui se voulait éternelle.
Jamais, n’aurait-elle cru que le temps s’arrêterait bientôt de tourner, pour lui, pour elle, et pour eux. Ce que le destin lui réservait, jamais elle ne se s’en aurait douter… Mais ce fût ainsi.
***
Aussi fatigué l’un que l’autre de leur soirée, un simple baiser mit fin à leur nuit passionnée. Un autre ‘’ je t’aime ‘’ parmi tant d’autre, aussi spécial les uns que les autres. Si elle avait su, elle l’aurait embrasser, elle ne l’aurait pas quitter. Elle aurait nettement préféré être à ses côtés. Mais il en était autrement.
Elle arriva chez elle vers 10h30 am, et épuisée, alla se coucher directement. Ce soir, il y aurait une fête, où son homme irait fêter avec ses amis. Elle aurait facilement pu y être invité, mais tous connaissaient Jane comme une personne beaucoup plus calme, moins réceptive à la fête; et cela ne l’a dérangeait point.
2 journées passa, où elle dormait le jour, n’attendant pas des nouvelles de son amour qui devait sûrement s’amuser. Il lui arrivait de douter, de s’inquiéter, mais ses doutes et inquiétudes disparaissaient aussitôt qu’ils étaient apparus dans son esprit. Elle savait que l’amour que Nathan lui portait était unique, fidèle, et réellement sincère comme était le sien. Alors elle passait la journée chez elle, comme d’habitude, à lire, à écrire ses milles et une histoire qu’elle n’avait jamais terminer. Pour elle, l’écriture était un art sacré, un art qu’elle se plaisait d’explorer avec détermination. Bien sûr, elle avait le petit secret de vouloir vivre de ce domaine, car c’était une de ses plus grandes passions, mais en vain, elle avait vécu dans un univers ni pauvre ni riche, dont le fait de gagner sa vie avec stabilité avait été d’une importance première. Ses rêves, elle les voyait parfois comme des obstacles, mais aussi comme de belles choses à entretenir qui pourraient, on ne sait jamais, se réaliser un jour. Mais y plonger complètement, elle était convaincue que jamais elle ne pourrait le faire. Bien entendu, elle était une femme courageuse et ambitieuse, mais très terre-à-terre. Dans son enfance, elle avait un peu souffert de l’indifférence des autres, et d’un amour omniprésent qui se manifestait que rarement, dont la fierté passait avant tout. Si elle pouvait être fière d’elle-même, alors les autres le serait aussi. Peut-être n’était-il pas sein de penser ainsi de la vie et de la réussite, mais peu lui importait. C’était ainsi qu’elle avait pensé depuis tant d’années, changer aussi subitement ne lui apporterait que des ennuis, et n’étant pas une jeune femme qui appréciait énormément le changement, elle gardait ce sujet clos, en aillant la seule mention du ‘’un jour, peut-être, mais pas maintenant ‘’
Si les deux premières journées, même sans ces nouvelles, elle était plus ou moins sereine, la troisième journée, elle, s’avéra presque invivable. Elle passa la nuit debout, à trop penser à lui. Les doutes apparaissaient sans cesse dans sa tête, semant une confusion si grande qu’elle même ne savait pas si elle pourrait y voir. Elle s’ennuyait de lui à mourir. Elle avait peur que quelque chose lui était arriver. Elle s’imaginait le pire, s’imaginait des histoires qui n’avaient ni queue ni tête et elle même pouvait s’en apercevoir. Elle tentait de se changer les idées, mais rien ni fait. Elle avait peur d’être tromper, peur d’avoir été utiliser, elle qui avait une si grande dignité, mais aussi peur qu’il l’avait oublier et qu’elle était la seule à s’ennuyer à ce point…
Il lui arrivait d’avoir les larmes aux yeux, et elle se sentait pathétique à chaque fois. Elle ne pouvait pas croire qu’un simple ennui pouvait la rendre aussi faible, aussi susceptible, elle s’en voulait. Comme d’habitude. Pour elle, même si l’attachement était pur en tant que telle, et que l’amour était beau, elle s’en voulait de se montrer aussi faible, même si elle seule en était témoin.
Elle se décida à l’appeler. Il répondit à la troisième sonnerie. Elle lui disait qu’il lui manquait, lui demander si ça allait, mais surtout qu’elle l’aimait. Elle aurait voulu lui crier de revenir à elle, de lui dire, de revenir la toucher, lui dire à quel point ses doutes n’étaient pas fondés, mais elle se tue. Elle ne voulait pas que lui aussi, sois témoin de sa dépendance qu’elle cherchait à tout prix à cacher envers lui. Il lui répondit que lui aussi, il s’ennuyait, qu’il l’aimait, mais sans plus. Sans vraiment être surprise, Nathan n’avait jamais apprécier le téléphone pas plus qu’elle aussi. Trouvant que les émotions sonnaient parfois trop fausses, trop distantes. Elle raccrochait, quelques minutes plus tard, alors qu’il devait la laisser, avec le cœur un peu plus en paix.
Mais ce ne dura que quelques heures à peine.
Elle se réveilla le cœur lourd, tannée d’être seule et loin de lui. Elle regarda les photos qu’ils avaient prises ensemble, et son cœur froid se gonfla de chaleur pour quelques instants pour redevenir aussi vide qu’il était avant.
Elle n’en revenait pas, comment pouvait-elle tant le manquer? Quand ça sera fini, elle sera détruit. Elle alluma une cigarette et s’assit devant l’ordinateur, pour écrire, avec l’espoir de pouvoir rentrer dans un univers qui certes, n’existait que sur papier, mais qu’il lui permettrait de s’éclipser devant ses inquiétudes et son ennui. Et heureusement, comme elle l’avait prévue, ça marcha.
***
Mais la pire des choses qui pouvait arriver, lui tomba dessus.
Nathan était décédé. Après le coup de fil qu’elle lui avait passé, où elle avait catégoriquement nié qu’il était ivre, le pire était arriver.
Avec ses amis, il marchait dans la rue, la bouteille à la main, et une voiture dont le chauffeur ne l’avait pas vu, avait tué l’homme qu’elle aimait, ainsi, sans le vouloir, tous ses espoirs d’une vie heureuse au côté d’un homme merveilleux qu’elle avait aimé avec tout son cœur et tout son âme.
Elle pleura toute les larmes de son corps, ce soir d’Août, où la détresse s’était fait trop grande, trop présente, trop… De trop. Elle aurait du lui crier qu’elle l’aimait, sa dernière conversation qui avait été si distante, si étrange.
Elle avait perdu le seul homme qui comptait vraiment dans sa vie, mis à part son père, qui lui aussi, il y a de ça bien des années, avait rendu son chapeau. Elle se sentait terriblement seule, mais elle n’avait pas envie d’être entouré. Son courage et tout ce qu’elle avait bâti avec les années semblaient avoir disparu avec Nathan.
Elle lui en voulait. Ou, plutôt, elle désirait plus que tout lui en vouloir. Pourquoi l’avait-il abandonné? Pourquoi était-il parti sans même un aurevoir, une émotion? Mais elle n’y arriva pas. Elle s’en voulait pour ne pas avoir pu le faire, elle-même.
Si elle lui avait dit qu’elle voulait le voir affreusement, si elle lui avait dit qu’il lui manquait au point que respirer n’avait plus aucun sens, peut-être serait-il revenu vers elle? Aujourd’hui, peut-être, il serait à ses côtés et non pas à la morgue?
Si seulement elle avait pris son courage à deux mains, si elle n’avait pas eu peur du rejet, peut-être aujourd’hui ils auraient fait l’amour, peut-être qu’aujourd’hui, ils se seraient retrouvés, se serait aimé comme ils se plaisaient à s’aimer? Oui, elle aurait dû, mais il était trop tard. Nathan était mort, avec tous ses plus beaux rêves, ses plus beaux souvenirs, et surtout, tous soupçons de son bonheur… De leur bonheur, à deux.
***
À l’enterrement, bien des vieilles dames venaient la voir, lui demander si ça allait bien. Mesquinement, elle souhait tant leur répondre à chaque fois, avec une voix empreigner de sarcasme, ‘’ Bien sûr madame. Il y a juste l’homme de ma vie dans un cercueil, qui semble encore plus blanc que d’habitude, que je ne reverrais plus jamais sourire ou plutôt, plus jamais serait le cas de le dire ‘’
Pourtant, elle ne versa aucune larme. Quand une femme de quelques ans son aîné lui demanda pourquoi, elle répondit, avec un haussement d’épaules, que les larmes, était une trahison du cœur par le corps. La femme la regarda avec un sincère désolement dans les yeux. Alors que Jane pourrait, sembler complètement indifférente par rapport à la mort de Nathan, on pouvait percevoir, à chaque geste, chaque regard, une détresse et une peine infinie que nul ne saurait en mesure de consoler. Intimidé par la pensée, la jeune femme repartit,
Laissant seule la jeune femme qui semblait en avoir besoin, près du cercueil de l’homme qui avait remplit sa vie qu’une année, mais assez pour s’en vouloir à jamais de l’avoir laisser partir ce sombre jour de fête…
***
Une année plus tard, Jane avait terminé son premier roman. Depuis la mort de Nathan, ce passe-temps était devenu une véritable obsession. Non, elle ne voulait pas devenir auteure, elle voulait juste terminer ce roman là, un roman qui à ses yeux avaient plus de valeurs que n’importe quel autre. Elle se souvient, quand elle avait commencer à le rédiger, 2 ans plus tôt.
Nathan lui avait demandé ce qu’elle écrivait. Avec son plus charmant sourire, elle lui dit que c’était leur histoire, son éternel déclaration d’amour pour lui. Il avait sourit et lui avait fait promette qu’il serait le premier à le lire. Elle avait promis, avec ce regard qui avait toujours le don de rendre Nathan tout sourire. Ils s’étaient embrassés, et avaient refait l’amour avec délice et tendresse.
Elle essuya la larme qui avait débordé de ses beaux yeux émeraude, comme Nathan se plaisait à le dire, et s’habilla en vitesse. Elle avait fait une promesse qu’elle tenait garder.
Elle prit son cahier, et se dirigea au cimetière. Quand elle arriva finalement à la tombe de son amour, elle s’assit, lui demanda toujours des nouvelles même si elle savait très bien qu’elle n’ait jamais de réponse. Mais c’était son habitude, écouter son homme avec attention même si parfois, bien des choses qu’il lui racontait ne l’intéressait pas.
Puis, elle lu les passages qu’elle trouvait les plus beaux, les plus importants qu’elle cru qu’il aurait voulu lire. Elle ria, pleura, seule, même si de loin, on pourrait croire, en cause de l’amour et de la sincérité qui entourait la jeune femme, qu’une présence était près d’elle, qui pleurait, riait et souriait avec elle. C’était beau, c’était triste et sombre. Mais jamais on aurait cru y voir un amour aussi fort. Même si la mort, et la vie séparaient ses deux êtres qui s’étaient tant aimer.
Jane partit plusieurs heures plus tard. Vidée de toute émotion, toute rancune envers elle-même et le monde. Elle se sentait mieux, elle n’avait pu peur. Elle sentait la présence de l’homme qu’elle considérait son âme sœur. Elle se souvient de ses mots, de ses peurs. De leur histoire. Une histoire éternelle qu’elle n’oublierait jamais, ça, elle en avait la certitude.
‘’ Mon amour, quand tu es mort, j’ai senti tous espoirs s’envolés, tranquillement, si tranquillement, tels les feuilles qui tombent de l’arbre en automne. Oui, tu étais le roi de mes espoirs, le roi de mon bonheur et de mes pensées. C’est en partie pour toi que je vis aujourd’hui. Je sais à quel point tu aurais désiré vivre. Nathan, notre histoire, ne l’oublie pas, même dans la tombe. Je vais te faire vivre dans mon cœur, dans mes pensées et actions. Nathan, je t’aime. Merci d’avoir vécu ‘’
***
Le roman se vendit à plusieurs exemplaires. Pourtant, même si elle aurait pu, elle n’écrivit aucun autre roman. Elle ne tomba plus en amour, même si les hommes semblaient s’intéresser à elle. Elle vivait dans l’espoir qu’un jour elle pourrait revoir l’homme de son cœur.
Nathan et Jane, une histoire éternelle.
Fin
Dites moi si vous aimez ^^
Nathan & Jane. |
1/7 |
20/07/2008 à 03:31 |
Ouao il y a du texte !!!!!!!!!!!!!!!
Nathan & Jane. |
2/7 |
20/07/2008 à 03:33 |
bravo
Le style est bien, y'a un bon rythme, doux et prenant.
Par contre, c'est franchement une histoire à l'eau de rose. On a même envie de penser, heureusement qu'il est mort, l'autre, sinon, elle serait encore dans ses rêves de gamines. Enfin c'est mon avis. Ce que je veux dire, c'est qu'on voit de très loin que c'est de la plume d'une fille.
Mais dans le genre, ça tient vraiment la route.
Bonne continuation.
Nathan & Jane. |
3/7 |
20/07/2008 à 04:05 |
fernandi a écrit :
bravoLe style est bien, y'a un bon rythme, doux et prenant.Par contre, c'est franchement une histoire à l'eau de rose. On a même envie de penser, heureusement qu'il est mort, l'autre, sinon, elle serait encore dans ses rêves de gamines. Enfin c'est mon avis. Ce que je veux dire, c'est qu'on voit de très loin que c'est de la plume d'une fille. Mais dans le genre, ça tient vraiment la route.Bonne continuation.
Oui, tu as raison, cette histoire je l'avais avec une inspiration certaine.
Normalement, mes histoires sont différentes, mais j'avoue que celle-là est vraiment à l'eau de rose.
Merci de ton opinion!
Nathan & Jane. |
4/7 |
27/07/2008 à 15:30 |
J'adore ton style d'écriture. L'histoire est pas mal, une belle histoire d'amour qui finit mal malheureusement. En tout cas bravo et continu d'écrire comme ça !!
Nathan & Jane. |
5/7 |
22/10/2011 à 09:19 |
J'ai passé un agréable moment à te lire, malgré la tristesse de la fin... mais, comme tu l'as dis, c'est de toute façon comme si il était avec elle (:
Donc bravo, et bonne journée !
Nathan & Jane. |
6/7 |
23/10/2011 à 12:11 |
Super bien!! J'adore!!
Nathan & Jane. |
7/7 |
12/02/2012 à 17:10 |
Premiers fois que pleure en lisant un texte . C'est vraiment magnifique .