//CECI EST UNE REDACTION SUR LES NOUVELLES FANTASTIQUES. JE L'AI REDIGEE LE MERCREDI 3 MAI DANS L'APRES MIDI, INSPIREE D'UNE IMAGE (si vous voulez le lien, envoyer moi un mp..).\\
Ma Douce,
Je venais de pénétrer dans ce chateau, qu'il m'attirait déjà. Son propriètaire m'en proposa immédiatement la visite, j'acceptai avec impatience. Quelques pas plus loin nous nous trouvions dans l'entrée, où un domestique-muet semble-t-il étant donné qu'il ne repondit pas a mes salutations distinguées- prit mon manteau et disparut silencieusement vers plusieurs placards. Le comte de Ménéon, mon guide me menait jusqu'au salon, une belle et grande pièce très majestueuse et pleine de classe cependant très sombre, je n'osai demander qu'on y ouvre les rideaux, mon choix était déjà fait, le chateau serait tout de même mien, si toutefois le fameux comte me l'accordait, ce qui ne me semblait pas si difficile. Plus tard alors que nous arrivions dans la première antichambre, le comte pressé -semblait-il- me demanda si le chateau me convenait, sans une hésitation, j'affirmai et d'un sourire il me tendit sa main que je serrai satisfait. Puis me tendans les clefs du portail et de la grande porte, il s'en alla me saluant au passage. Immédiatement je descendai, afin d'aller chercher mes affaires et de m'installer dans ma nouvelle demeure au plus vite. Arrivé dans l'entrée je trouvai déjà mes bagages et descidait d'en monter la plus grosse partie, mais à peine eu-je le temps d'y toucher que le domestique cité ci dessus me devança et les monta dans ma nouvelle chambre. Je décidai alors de manger un morceau avant d'aller dormir, la journée avait été longue. M'ayant fait chasser par mon père la veille, j'avais jusque là cherché en vain l'endroit ou je pourrai passer le restant de mes jours. A la cuisine, une femme me tendit un bol de soupe ainsi qu'une potée et un verre de vin, ce qui me calai directement. Je finis par trouver ma chambre -ou celle dans laquelle le domestique avait déposer mes effets personnels- après une heure de marche dans cet immense chateau. Je me mis en pyjama et m'allongeai dans l'immense lit qui était désormais mien regardant autour de moi cette salle mystérieuse devenue ma chambre... Vers deux heures du matin, le sommeil ne venant pas je me levai et allumai la lumière. Les tapisseries étaient d'une beauté aveuglante, cela en faisait presque peur... De mes doigts je frolai les murs doucement, les tableaux me semblaient si réels et les statut si vivantes.. Après des heures à admirer tant de chef d'oeuvre je me couchai, fatigué. Je tournai dans mon lit, allongé vers la gauche près a dormir, je vis une chose briller gràce au clair de lune. Je me redressai sur mes coudes et regardai cet objet brillant attirant si fortement mes yeux, je tournai vers la droite brusquement allumant une bougie et me retournai, quand la bougie s'éteignit d'un seul coup. Je ne pus admirer la chose. Plus curieux que jamais je pris un allume-bougie dans les mains, l'allumai et m'approchait de la chose. Aucun mot ne peut décrire ce que je ressentis au moment où je vis pour la première fois, l'objet de ma plus grande curiosité. Je n'eu plus de voix ne serais-ce que pour crier, ou murmurer mon effroi. Ma peur. Devant moi, se tenait assise une jeune femme à la peau d'une paleur si remarquable qu'on aurait pu la penser morte. Je n'osais croire cet hypothèse cependant, une femme morte n'aurait pas pu se tenir devant moi avec aussi de grâce et aussi d'élégance. Mais, figé comme je l'étais devant elle, cette jeune femme au regard ailleurs, je ne pus m'empecher qu'aucuns mouvement de respiration ne soulevai sa poitrine si délicate. Légérement penché vers ma gauche, le regard du même côté elle tenait dans sa main gauche une rose d'un rouge si foncé que l'on croirait a du sang. Elle attendre -je le présumai- depuis bien longtemps, étant donné les toiles d'araignées accrochés a ses cheveux montés en chignon impeccable, une araignée aussi était suspendue à sa main libre qui pendait le long de l'accoudoire gauche. En approchant un peu plus ma lumière de son visage je remarquai une larme noir coulant de son oeil, semblait-elle triste? je ne su pas. Elle avait l'air si étrange, ses yeux entourés de rouge semblait-il, je n'aurai jamais pu deviner si cela eut été du maquillage ou autre chose, je n'osais la toucher. Nous étions en hiver et elle portait une fine nuisette de soie noire dont la croix et le raz du cou étaient assortis. Ma lumière ne tenais pas plus longtemps. Je décidai de prendre une bougie dans la commode face a moi, afin de continuer d'explorer une si belle créature. Non, je ne peux même pas dire que cette créature puisse être belle, dans ce cas nous pourrions la comparer aux autres femmes, je trouvai cette femme si extraordinaire, si exceptionnelle qu'elle ne pouvait être que "belle" ni "magnifique" cela aurait été une insulte. Je trouvai une bougie et l'allumai, m'approchai encore de ce chef d'oeuvre si réel et regardai ses yeux, on aurait pu y lire n'importe quoi, elle était si expressive. Je passai ma nuit à la regarder, sa peau blanche, sa fine bouche ou était étalé une épaisse couche de noir, ce grain de beauté juste sous son oeil gauche, il n'aurait pu être une mouche, cela été bien trop gracieux pour s'enlever a ce visage si parfait.. Au matin, je décidai de dormir quelque peu avant d'affronter une nouvelle journée. Dans la matinée je me levai, tournai ma tête vers la jeune femme découverte dans la nuit, je la vis, bien plus belle que la veille, et quand je voulu ouvrir les rideau afin d'admirer cette perfection, une chose m'en empecher, non pas que les rideaux furent bloqués, mais une chose dans mes mouvements m'en empechai.. Je me dirigeai alors vers la salle de bain, et pris un de ces longs bains-les plus agréables- d'après une longue et dure nuit, puis je m'habillai et descendai manger. Personne ne me salua, à croire que tous les domestiques furent muets. Je ne sucitai auprès d'eux aucune réaction, j'aurai très bien pu me montrer habillé en demoiselle, pas même un rictus moqueur ne m'aurait été adressé. Cependant, quand je demandai si le comte de Ménéon avait eu des enfants et une épouse, la cuisinière me lança un regard assassin. J'en eu presque peur, et croyez moi je ne dis plus rien ensuite... Dans l'après midi je décidai de me promener dans les bois proches, je ne rencontrai personne et j'en fus bien content. Les arbres étaient si hauts que je me perdis au bout de quinze minutes, avant de retrouver mon chemin longtemps, longtemps après. Il fesait d'ailleurs presque sombre. A mon arrivée, le diner était servi, et les domestiques rentrés dans leurs appartements... Toute la journée je ne cessai de penser à la jeune fille assise attendant dans ma chambre. Je ne pus presque rien avaler tellement anxieux à l'idée de retrouvé cette fantastique créature... Cependant avant de retourner à ma chambre, je passai dans toute les pièces du couloir qui y menait. Je tombai la plupart du temps dans des antichambres et quelques chambres sans intérêt puis je me retrouvai dans une salle de bain plutot étrange. On trouvai quelques vêtements éparpillés ici et là, par terre et sur de petites commodes, le plus surprenant était que le bain n'était pas vidé, l'eau en était si trouble qu'on ne voyait plus le fond de la baignoire. Je mis alors ma main dans l'eau et la trouvait glacé, comme ces lacs qui gèlent en hiver et qui fondent avec les premiers rayons de soleil, qui d'ailleurs ne font que fondre la glace mais ne réchauffe pas l'eau. L'eau était tellement gelée, qu'aussitot avais-je plongé ma main dedans, aussitot je l'en retira! Un frisson me parcourait désormais la nuque et refroidissait mon corp brusquement. Je sortai de cette salle de bain, piétinant les vêtement au passage, bien sur sans le faire exprès et sortai précipitemment de cette pièce si peu chaleureuse pour me diriger directement vers ma chambre. En y arrivant je pris mon pyjama et m'enferma dans ma salle de bain personelle pour me vétir de ma tenue de soie pour la nuit. Je surpris mon visage de jeune homme à trouver le meilleur angle sous lequel mon visage semblait plus beau. Je n'avais jamais été beau, ni mignon. On ne me l'avait jamais dit, et je ne m'en souciais guère. Pourtant cette fois, j'allais rejoindre ma belle ma magnifique, mon adorée, cette exquise créature assise immobile depuis probablement un moment a attendre, peut-être a m'attendre moi? Finalement je sortis de ma salle de bain silencieusement sur les coup de vingt et une heure trente. Il fesait déjà très sombre dehors, du moins ce fus seulement ce que je pus imaginer derrière ces grands et épais rideaux de velours. Bientôt, je m'approchai de la jeune fille, marchant avec élégance, marchant pour l'immobile et pure beauté. De toute ma gràce, armé d'une bougie je m'accroupie à ses pieds et lui mumura ces quelques mots "bonsoir ma douce" je ne sais par quelle folie de ma part je crus l'entendre me répondre un doux bonsoir qui m'humidifia les yeux. Je ne la voyais pas beaucoups, elle n'en était pas moins époustouflante. Levant les yeux jusqu'à sa frange si parfaitement coupée en flèche au milieu de son fron si tendre, je remarquai alors, une chose qui jadis ne m'avait point frappé, en effet se trouvait à sa droite un tableau, le tableau d'un homme que je ne voyais que légèrement, il semblait vieux, je ne voulait pas en voir davantage sur lui. Déjà la jalousie me submergeait, j'aurai voulu que ce soit moi l'homme là-haut où la personne tant attendue. Bien que ce ne fut pas très poli-je pensais bien sur que la jeune et tendre créature me pardonnerai, j'allai chercher un tabouret pour m'assoir et ainsi passer la nuit aux côtés de ma bien aimée. Ne pensez pas que je sois tombé amoureux, je suis tombé bien plus bas, ou plus haut dans les nuages peut-être c'était pour moi depuis 2jours une obcession, je l'idolatré. Elle incarnait en moi la perfection, tellement parfaite que je n'osai la toucher l'éfleurer, ni elle ni ses vêtement, c'était sacré. Je passai ma nuit à la regarder, vers quatre heure du matin, la tentation fut si forte que je ne pus m'empecher d'aprocher ma main de son si délicat visage, je ne sais pas ce qui me prit, et je le regrettait longtemps croyez moi. Je touchai du bout de mes doigts sa lèvre inférieur, j'eu envie de l'embrasser, ce que je ne tardai pas a faire. La belle immobile magnifique, je posai un délicat baiser sur ses lèvres, fermant a demi les yeux j'aperçus dans ces yeux un éclats, mais aucune autre réaction. Je me rasseillai à ses pieds, sans bruits lui caressant le poignet, la paume de sa main et ne pouvant m'en empecher je caressai la peau de sa cuisse si douce et tendre, je caressai sa peau et il me semblait être caressé d'elle, je touchai ses cheveux si doux. L'embrassant une dernière fois, je me levai voulant la serrer délicatement, mais en voulant faire ce geste je n'eu la force de me baisser vers elle, des larmes coulaient le long de mes joues. Cette femme, cette jeune fille était l'épouse du comte de Ménéon celle dont il ne s'était jamais occupé. Je l'avais deviné. Et le portrait au dessus de ce doux visage n'était autre que ce monstre de Ménéon! Comment avait-il pu?! Laisser une créature si fantastique seule, a attendre son bien aimé, la laisser l'aimer alors qu'il l'abandonnait. Je crus être le nouveau, son sauveur, celui qui l'aimerai, j'en aurai été capable! Je l'aurai choyé, chérit et aimé d'une telle force qu'avec moi elle ne manquerait plus ce qui lui avait fait défaut depuis bien longtemps à en croire son si beau visage, ses si beaux yeux éffrayant de tristesse et de désespoir... Je murmurai je t'aime à son intention et m'éffondrai de chagrin pour elle. Je n'avais jamais pleuré avant, jamais.
Au matin, j'ouvrai les yeux à cause du soleil qui pénétrait dans ma chambre, les rideaux étaient ouverts, sa en fesait peur. Je voyais ma chambre en plein jour, réalisant que mon adorée était normalement à mes cotés je me tournai brusquement. Croyant haluciné, je me levai en sursaut, elle n'y était plus, le fauteuil était vide. Ce choc me fut mal au coeur physiquement, je ne me sentai pas de taille à affronter un tel abandon, c'était si cruel. Plus tard dans la matiné je songeai avoir rêvé, ce qui me blessait davantage! Alors peut-être n'aurai-je jamais connu la perfection de mes yeux? De mes mains et mes lèvres? Je pleurai toute la journée, solitaire comme je l'avais toujours était. Dans la nuit, -je ne sus quelle heure il était - je me levai et caressai le fauteuil de mes doigts pleurant et me rappelant mon rêve si cruellement beau... Dans un dernier espoir je chercher sa présence sous le fauteuil, sachant pertinemment qu'une si belle créature, aussi petite soit-elle ne pourrait jamais s'y cacher, je tombai cependant sur une chose qui me fit sourire et pleurer de chagrin en m^mee temps, je l'avais perdue en un souvenir elle restait avec moi. Sa rose, était dans ma main.
Ma Douce... (nouvelle fantastique) |
1/13 |
03/05/2006 à 21:45 |
jvais lire tout ca =) mais la j'ai un peu la flemme ^^ dc je t'envoi un mp pour te dire =)
bizoo ma ptite chacha =)
Ma Douce... (nouvelle fantastique) |
2/13 |
03/05/2006 à 22:01 |
OKiii^=)))
Ma Douce... (nouvelle fantastique) |
3/13 |
03/05/2006 à 22:01 |
C'est vraiment très beau !
J'adore, c'est digne d'un écrivain fantastique !
Niveau écriture, c'est fluide, c'est bien écrit et ENFIN quelqu'un qui sait conjuguer le Passé Simple. Par contre des fois il y a des maladresse dans le choix des temps (tu met du Passé Simple au lieu de mettre de l'Imparfait des fois mais bon au moins tu sais le conjuguer !! Mdr)
Et donc tu vas le rendre demain pour le français ?
Tu me préviendras quand tu auras ta note !
Ma Douce... (nouvelle fantastique) |
4/13 |
03/05/2006 à 22:08 |
Lady_Shinigami>> Ahh merciiiii :$ Oui, jmettrai ma noteee quand je l'aurai! Sa me fait trop plaisiir s'que tu diiiiisss
Ma Douce... (nouvelle fantastique) |
5/13 |
03/05/2006 à 22:09 |
De rien, c'est sincère
Et t'inquiète que si ça avait été nul je te l'aurais dit (quand même pas méchamment mais...)
Encore bravo ^^
Ma Douce... (nouvelle fantastique) |
6/13 |
03/05/2006 à 22:12 |
Ahh encore merkiii :$
Ma Douce... (nouvelle fantastique) |
7/13 |
03/05/2006 à 22:21 |
qu un mot a dire excellent , on est vraiment dedans ^^
bravo topine ^^
tout excellent , en esperant une note conséquente qui ... ché plu quoi dire lol ^^
en tout cas excellent
BRAVO
Ma Douce... (nouvelle fantastique) |
8/13 |
03/05/2006 à 22:45 |
Pas réélement mon genre !
Mais personne ne pourra nier que c'est très très bien écrit ^^
Yann.
Ma Douce... (nouvelle fantastique) |
9/13 |
03/05/2006 à 22:59 |
Ma Douce... (nouvelle fantastique) |
10/13 |
14/05/2006 à 19:32 |
personne d'autre?
Ma Douce... (nouvelle fantastique) |
11/13 |
14/05/2006 à 19:47 |
Si moi!
Ma Douce... (nouvelle fantastique) |
12/13 |
14/05/2006 à 22:31 |
Très bien écrit en dépit de quelques maladresses....Je dois avouer que le style m'a tout simplement accroché
Ma Douce... (nouvelle fantastique) |
13/13 |
16/05/2006 à 22:06 |
Merciiii =)