nouvelle story

"Elle est là, elle est venue, acceptant notre invitation.



Tout naturellement notre complicité s’est installée et je n’ai pas oublié que j’avais virtuellement promis de lui faire un massage.

L’après midi chaud appelant à la sieste, je te propose de te reposer dans ta chambre, te rappelant ma promesse.

Souriante, tu me réponds d’un air coquin que tu serais ravie de te soumettre sous mes doigts.



Je pars chercher mon huile essentielle pour revenir et te découvres allongée sur le ventre, vêtue d’une simple serviette de bain couvrant tes fesses.


Troublée et intimidée, je m’approche de ton dos blanc, réchauffe dans mes mains le liquide légèrement parfumée et d’un léger contact électrique je caresse ta peau douce.

Tu soupires.

Mes mouvements se font de plus en plus précis, épousant ta colonne vertébrale pour descendre au creux de tes reins, je te sens vivre sous mes doigts.



La promiscuité et le contact de ta peau me trouble et mes mains épousent chacune des courbes de ton corps.

Je m’invite alors à me mettre à califourchon au dessus de toi pour mieux dispenser mes caresses symétriques…quand tu m’invites à me mettre à l’aise.

Sans comprendre vraiment pourquoi, j’ôte mon petit haut, défait mon soutien-gorge avant que de m’installer, une jupe et un string pour tout vêtement. Je reprends le massage de ton dos qui m’appelle..Et chaque mouvement éloigné vers ta nuque me rapproche de toi... me trouble…

Mes seins effleurent alors ta peau , électrisant mes tétons dressés. Le trouble s’intensifie au creux de mes reins mais je reste sereine…

Alors que je remonte une nouvelle fois vers ta nuque et que mes tétons te caressent le milieu du dos à l’occasion, je dégage une mèche de cheveux et appelé par ta nuque ainsi découverte, je dépose mes lèvres au creux de ton cou.

Que vas tu dire ? Vais-je trop loin ?

Tu tressailles, surprise mais ne dis rien. Et je prends ton silence comme une invitation muette à continuer. Je m’enhardis donc. J’ai encore envie de goûter cette peau si douce, mes lèvres, poursuivent leur lente découverte, mes seins désormais plaqués contre toi.

Ta respiration s’accélère et m’indique le trouble qui t’envahit toi aussi.

Mes mains épousent les courbes du galbe de tes seins à chacun de ses côtés pour descendre épouser ensuite le creux de tes reins. Mon cœur bat à la chamade, la situation incongrue me trouble, j’ai envie de toi, là maintenant!

Envie de te découvrir, de te caresser, de t’embrasser…

Je me redresse.

suite...

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2/2

27/05/2006 à 00:00

c'est allucianant dans le sens litéral du terme...
je sais pas si c'est toi qui écrit ces histoirs mais putain c'est quper bien écrit on s'y croierai !!
bref euh la suite ???