"À Paris les rues ont été goudronnées en 68 après la révolte étudiante pour empêcher les jeunes de prendre les pavés et d'en faire des barricades"
Bon ça aussi c'est dit, ça apporte beaucoup d'interet au debat.
Je ne suis pas un activistes féru de manifs ni quoi que ce soit. Je prefere m'atteler au probleme directement a la source: les gens. Car les victimes sont bien les gens ( les plus pauvres ) innocents qui plus est. Donc je vais animer dans des centres de vacances avec des enfants venants de foyer, donc souvent victimes invisibles de tout ce foutoir. Je ne cherche pas la reconnaissance en agissant comme ça, je ne l'ai jamais eu. Sauf une , la plus importante : le sourire d'un enfant qui n'a plus de famille. Et je ne le crie pas sur tout les toits.
Euh bon ben voilou quoi. Ceux qui parlent de violence qui defoule, et que tout le monde s'est deje servi de ses poings, moi je connais quelqu'un qui peut prouver le contraire. Moi. J'ai eu beaucoup d'"ennemis" (trucs d'ados a la con mais bon ) dans ma vie, mais jamais, o grand jamais, je ne me suis servi d'autre chose que de mes mots et ma diplomatie. J'ai toujours gardé mes mains dans les poches.
Quant a ceux qui tergiversent sur " le propre de l'homme" qui n'est pas la paix, sur le fait que je sois un tantinet utopiste dans mon topic, je reponds:
noooooon vous trouvez?
Evidemment que la paix sur Terre n'est ni ne sera jamais realité, mais on n'idealisait rien , si on n'imaginait rien, si on ne revait pas, aurait on un but dans la vie? Car la vie, il ne faut pas se leurrer, n'a aucun but si ce n'est de mini utopies irrealisables qui n'en ont pourtant pas l'air. Nous sommes bel et bien des animaux, malgré toutes les belles paroles, les reves et l'imagination, nous sommes les betes les plus cruelles qui n'est jamais existé. Non seulement nous mangeons a notre faim, fait naturel et logique qui entraine la mort de certaines especes, mais nous nous permettons d'en tuer d'autre pour le plaisir, et d'envahir la Terre jusqu' la detruire.
Je suis un peu parti en vrille là pardon.