Nikushimiko
Elle marche, au milieu d'une ruelle bondée, elle avance de son pas détermine et impassible.
Elle est jeune. Elle est mince mais pas maigre, sa taille est moyenne, pas petit. Elle porte un kimono ,au dessins indistinctqui parait délavé par la lune , qui lui tombe sur ses maigre cheville mais il était entrouvert en laissant ses mollets au
proix du froid .Ses cheveux mi-long sont d'un blond tirant sur le gris en cet nuit d'hiver. Elle sert ses bras frèles son
habit de fête. Son regard se voile, mais elle marche toujours, toujours avec cette même determination, elle se fraye un
chemin dans cette foule sans même toucher personne, les gens proteste a son passage, elle ne les entend pas, les gens la
poussent en retour, elle ne les sent pas. Ses yeux noirs, aussi noir que le néant, aussi noirs que la tristesse, percent la
brume, perce le froid pour retrouver la seule personne au monde, sa personne, sa seule et unique personne ;son regard affiche
une telle tristesse à présent que des larme coulent le long de mes joues pourpres. Sa fine bouche articule des suites de mots
sans aucuns sens; elle marche ,encore et toujours dans la même direction, la direction de son coeur masqué de noir, masqué
d'indifférence au monde l'entourant, masqué de haine pour les êtres humain ,ces êtres qui lui ont enlevés son enfance en même
temps que sa famille; ces êtres qui ont fait cet acte parce qu'elle est différente, parce qu'elle est toujours seule .
Soudain en entrant sur une place devant un temple shintoïste, son regard vide s'illumine, il est là, sa personne est là.
Elle s'éclaire, ses yeux auparavant si noir de tristesse se teintent de ce bleu de l'espoir, se cheveux ,qui était de ce gris
grave et singulier ,prennent la couleur des blés en plein été ,sa peau sa blanche jusqu'alors rosit , ses lèvres rougies
esquissent un sourir. Ses bras desserrent l'étreinte sur le bel habit de fête décoré par un harmonieux ensemble de couleurs
vives et de belles pivoines aux couleurs froides.
De cet endroit elle se met à courrir en la direction de son être si cher a son coeur , celui ci ne la toujours pas remarqué
malgrès la beauté de l'instant.Au fur et à mesure qu ele se raproche de sa personne quelque chose en elle s'éteint puis quand
celui ci l'a enfin vu ,elle redevient normale, triste, noire, morne. Elle avance de son pas décidé, mais elle est ailleur,
elle n'est plus en notre monde, elle s'est retirée dans le sien, en attendant d'être auprès de lui, auprès de
"la personne rien que pour elle".
Una fois la visite annuel au temple faite elle s'es retourne chez elle, avec son habituel démarche, son visage toujours
plus triste que jamais. Elle repart par la ruelle d'où elle est venue. L'ambiance de la petite rue a changé, elle est lourde,
tendue ; seule quatre personne circule dans la ruelle. Elle est prise à partit par une bande d'ivrogne, elle reste stoïque,
quand une de ces personne essaye de la frapper d'une gifffle elle attrape la main au vole et regarde son propriètaire dans
les yeux, les siens deviennent adrents, on aurait cru voir un gouffre de flammes, l'homme la reagrde mais ne peut soutenir
regard. Toute la bande s'enfuit ,sauf un qui la regarde d'un air amusé ,a son tour il essaie de la frapper d'une giffle, à
son tour il se fait rattraper sa main, à son tour l'homme déclanche le gouffre enflamé dans le regard de la jeune fille,
mais lui la regarde en riant, puis elle bougea sa main qui était libre et giffla l'homme, celui ci la regarde appeuré,
elle lache la main de l'homme mais il reste, la regardant avec dédain, elle lui dit donc simplement "part ou meurt" quelque
instant plus tard l'homme s'écroule par terre.
Elle reprend son chemin de son pas déterminé, avec son visage morne, dénué d'émotion.Elle ne voit jamais personne, mais quand
elle voit quelqu'un cette personne lui fait ressentirhaine ou amour : seul ces deux sentiments lui sont connu, les autres ne
l'interresse pas.
Elle rentre dans sa maison, dépose ses chaussure enfile ses chaussons , prévient qu 'elle est rentrée mais comme à l'habitude
aucune réponse pour lui souhaiter la bienvenu seul un sombre silence répond à la douce voix de la jeune fille.Elle monte dans
sa chambre, installe son futon, se met en tenu de nuit avec la même cadence que sa démarche. Elle éteint les lampe a huile,
se couche et s'endort pour l'éternité toujours avec la même simplicité toujours avec la même tristesse.
Voila c'est un peu long et la présentation n'est pas génial mais j'espère que vous avez pas trouvé ça trop chiant. C'est de ma composition donc on sait jamais !! Hésitez pas à mettre des commentaire sur la trame ou le devellopement ou sur n'importe quoi enf fait -__-
Voila kisu !!
Petit texte |
1/6 |
09/02/2005 à 10:56 |
un peu ? tu rigole c big lon oué lol
Petit texte |
2/6 |
09/02/2005 à 11:49 |
Un peu beaucoup c vrai mais j espère que y aura des gens qui vont avoir le courage de le lire -__-
Petit texte |
3/6 |
09/02/2005 à 12:32 |
c vrai que c vraiment tres long je lirai plus ta rd
Petit texte |
4/6 |
09/02/2005 à 12:43 |
c orriblement long mé c pa mal come texte
Petit texte |
5/6 |
09/02/2005 à 19:47 |
c trè bo
Petit texte |
6/6 |
10/02/2005 à 16:16 |
plu de commentaire ?