Pourriez vous me donner des poèmes sur le thème de la mort ?
C'est super urgent !
Merci d'avance
Poémes sur la mort |
1/19 |
23/02/2005 à 17:22 |
Salut! g un poème sur la mort mé tré beau!
Tout à l'heure tu m'as dit que tu voulais me parler
Tu m'as dit que tu me quittais
Qu'entre nous tout était terminé
À cet instant ma vie s'est arrêtée
Dans ma tête tout a chamboulé
De ma fenêtre je vais me jeter
Ainsi je cesserai de pleurer
Et je réussirai peut être à t'oublier
Mon portable a sonné
À quoi bon m'appeler ?
Laisse moi me tuer
Laisse moi s'il te plait
Ça y est j'ai sauté
Trois étages plus bas je suis retombée
Je me suis alors relevée
Et j'ai vu des ailes qui m'avaient poussées
Lorsque tu m'as appelé
Tu voulais me dire que ce n'était pas vrai
Que c'était un jeu pour voir comment je réagirai
Ma réaction c'est que je me suis tuée
Et toute ta vie tu vas le regretter
Car ce monde je l'ai quitté
Et cela à tout jamais.
bisoux
Poémes sur la mort |
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23/02/2005 à 17:32 |
re! jen ai trouvé un otre tré bo ossi
Aujourd'hui, c'est le premier jour de ma vie... Maman l'ignore encore, Papa aussi. Ils sont très beaux tous les deux... Et ils s'aiment beaucoup... Ils n'ont que 16 ans...
Aujourd'hui, Maman se sent un peu malade... Elle est allée voir le médecin qui lui a dit que je naîtrais en Août si tout se passait bien... Mais Maman semble inquiète... Elle parle de moi à Papa... Papa qui a dit que, non, il était désolé, éléver un enfant ne serait pas possible... Sur ces mots, il a laissé Maman seule avec son désarroi...
Aujourd'hui, il m'est poussé un doigt et quelques cheveux... Je suis un garçon mais Maman ne le sait pas encore... J'aimerais m'appeller Nicolas, cela me plairait beaucoup... Maman pleure... Elle se sent seule et abandonnée, elle va mal... Peut-être est-elle préoccupée par ma naissance?
Aujourd'hui, c'est une magnifique journée de printemps, un beau soleil brille au dehors... Un beau soleil que je n'aurais jamais le loisir d'observer puisque Maman à décider de me tuer... Je me fiche de savoir si Maman à fait ou non le bon choix... J'aime Maman... Tout est de la faute de Papa...
Poémes sur la mort |
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23/02/2005 à 17:38 |
tien un otre! lol
une goutte de sang
pour oublier tes yeux
une goutte de sang
pour oublier nous deux
une goutte de sang
pour oublier de t'aimer
une goutte de sang
pour oublier ton odeur sur mon oreiller
une goutte de sang
pour oublier ta voix
une goutte de sang
pour oublier autrefois
une goutte de sang
MAIS JE SUIS VIDE A PRESENT
Poémes sur la mort |
4/19 |
23/02/2005 à 17:39 |
é encore un...
1 cachet pour essayer,
1 cachet pour rigoler,
1 cachet pour oublier,
1 cachet pour s'amuser,
1 cachet pour déstresser,
1 cachet pour s'aimer,
1 cachet pour supporter,
1 cachet pour s'animer,
1 cachet pour s'envoler,
1 cachet pour planer,
1000 raisons de se droguer,
1000 raisons pour se tuer.
pour laquelle as tu essayé?
Pour laquelle es tu mort sur le coté?
Poémes sur la mort |
5/19 |
23/02/2005 à 17:41 |
Assis toi pres de la riviere,
Ecoute cette morte silencieuse qu'est la Terre,
Dis-toi qu'a la fin , tu verras la fin
Et que cela est temporaire
C'est la que tu la trouveras
Son corps glacé qui s'ecouleras,
Te rendra froid
Tu comprendras que c'etait elle que tu aimas
Tu chercheras encore
Pourquoi tu n'etait pas la
Pourquoi tu ne la sauvais pas
Paske tu ne l'aimais pas
Paske tu ne voulais pas
Qu'elle reste pres de toi
Poémes sur la mort |
6/19 |
23/02/2005 à 17:43 |
S'il te vient un jour à l'idée
de te suicider,
ne le fait pas
car si aux yeux du monde
tu n'es rien,
aux yeux de quelqu'un
tu es le monde entier...
bon c'est plutôt le suicide mais bon ;)
Poémes sur la mort |
7/19 |
23/02/2005 à 17:45 |
Et vous connaissez aussi des poèmes de ce genre écrits par des auteurs connus ?
Poémes sur la mort |
8/19 |
23/02/2005 à 17:50 |
Tout le monde ne comprend pas les poèmes poèmes sur la mort ou sur le monde on général, moi j'écri des poèmes sur le monde des personnes croivent que je veux me tuer, ils ne comprennent pas les paroles j'espère que vous oui!!!
Je suis une boniche,
Bien incable de pensé,
On me dicte tout ce que je doit fair,
Je ne sais rien fair,
J'habite dans une niche,
Je ne sais pas avancer,
Je vais bientôt mourir,
J'aurais appris de la vie,
Qu'il faut vivre,
C'est la vie
Quand tu moureras,
Tu fera,
Rien,
Tu ne penseras plus,
Tu ne comprendra plus,
Tu ne sera plus dirigé,
Tu ne poura plus aimer,
Tu sera libre,
De mourir!
Tu sera dans ton cimetière,
Tu sera fière.......
Poémes sur la mort |
9/19 |
23/02/2005 à 17:56 |
Agrenouillée, fondant en larme devant mon destin
Une arme à la main
Criant milles mots sortant de mon passé
Mes yeux ébouriffés de mes larmes séchées
Ma main tremblante de détresse
Mes pleurs choquants effrayés
Mon poignard prêt à effacer ma tristesse
Je cherche une issue pour m'évader
Veillant sur mes gestes maladroits
Autour de moi tout est chaos, tout est pitié
La mort m'attend. Pourquoi pas?
Que reste-t-il pour m'en empêcher?
Ce soir c'est vraiment dure
La tention est bien trop forte
Et la tritesse accumulée dans ces murs
Étouffe mon coeur
Ma peau devient transparente
Mes bras lacérés de lignes bleues
Mais ma main reste tremblante
Et les larmes inondent mes yeux
Des tas de questions m'assaillent
Mais bientôt je t'entendrais plus rien
Mais je ne supporte plus cette bataille
Elle ne m'avance plus à rien
Que pensera t'on de moi?
Un être égoïste sans aucune morale
Ou un perdant sans confiance en soi?
En ce moment ça m'est bien égal
Poémes sur la mort |
10/19 |
23/02/2005 à 18:01 |
Un coup de tête sans cervelle
Égaré dans une fosse sous une pelle
La terre tombe sur ce visage qui rit
Voyant le vers qui s’enfuit.
Les ténèbres frappent le sol
Et de l’éclair sur la métropole
Jaillit un glissement de terrain
Qui grattera le ciel serein.
Monde des vivants inconscients
Que la mort libère de son sang
En émiettant, en émiettant les restants
Des figurants de l’instant.
Le courant d’air libère
L’homme qui se couche sous terre
Effaçant les lamentations
De la boue, du limon.
Avoir peur de la mort
Celle qui est notre sort
Venant chercher chacun
Et tous un à un.
Soupir
Poémes sur la mort |
11/19 |
23/02/2005 à 18:08 |
tu veux un poeme sur la mort dun auteur connu ?
Poémes sur la mort |
12/19 |
23/02/2005 à 19:31 |
slt !
Tu peux essayer Le Dormeur du Val d'Arthur Rimbaud !
ps : on remarque que c le thème de la mort seulement au dernier vers du poème !
Poémes sur la mort |
13/19 |
23/02/2005 à 21:52 |
Je veux bâtir pour toi Madone, ma maîtresse,
Un autel souterrain au fond de ma détresse,
Et creuser dans le coin le plus noir de mon cœur,
Loin du désir mondain et du regarde moqueur,
Une niche, d’azur et d’or tout émaillée,
Où tu te dresseras, Statue émerveillée.
Avec mes Vers polis, treillis d’un pur métal, savamment constellé de rimes de cristal,
Je ferais pour ta tête une énorme couronne ;
Et dans ma jalousie, ô mortelle Madone,
Je saurais te tailler un Manteau, de façon
Barbare, roide et lourd, et doublé de soupçons,
Qui comme une guérite, enfermera tes charmes ;
Non de Perles brodés, mais de toutes mes larmes !
Ta Robe, ce sera mon Désir frémissant,
Onduleux, mon Désir qui monte et qui descend
Aux pointes se balance, aux vallons se repose,
Et revêt d’un baiser tout ton corps blanc ‘et rose.
Je te ferai de mon Respect de beaux Souliers
De satin ; par tes pieds divins humiliés,
Qui, les emprisonnant dans une molle éteinte,
Comme un moule fidèle en garderont l’empreinte.
Si je ne puis malgré tout mon art diligent,
Pour marchepied tailler une Lune d’argent,
Je mettrai le Serpent qui me mord les entrailles
Sous tes talons, afin que tu foules et tu railles,
Reine victorieuse et féconde en rachat,
Ce monstre tout gonflé de haine et de crachat.
Tu verras mes Pensées, rangés comme les Cierges,
Devant l’autel fleuri de la Reine des Vierges
Etoilant de reflets le plafond peint en bleu,
Te regarder toujours avec des yeux de feux ;
Et comme tout en moi te chérit et t’admire,
Tout se fera Benjoin, Encens, Oliban, Myrrhe
Et sans cesse vers toi, sommet blanc et neigeux,
En Vapeur montera mon Esprit orageux.
Enfin pour compléter ton rôle de Marie,
Et pour mêler l’amour a la barbarie,
Volupté noire ! Des sept capitaux,
Bourreau pleins de remord, je ferai sept couteaux
Bien affilés, et comme un jongleur insensible,
Prenant le plus profond de ton amour pour cible,
Je les planterai tous dans ton Cœur pantelant,
Dans ton Cœur sanglotant, dans ton Cœur ruisselant.
Charles Baudelaire (les fleurs du mal)
Poémes sur la mort |
14/19 |
24/02/2005 à 01:32 |
Il y a plein de poèmes de Baudelaire qui traite de la Mort "La Mort des amants" "L'Horloge"... Je te conseil de lire "les fleurs du mal"
gothiquement votre
Prozack
Poémes sur la mort |
15/19 |
24/02/2005 à 17:51 |
Dans le poème "le dormeur de val" d'arthur rimbaud :
Pourquoi a la fin il dit : il a deux trous rouges au côté droit.
C'est quoi ? Des coups de couteau ? Pourquoi a droite ?
Poémes sur la mort |
16/19 |
24/02/2005 à 17:54 |
Vous en avez d'autres sinon ?
Poémes sur la mort |
17/19 |
25/02/2005 à 17:29 |
Désolée si je fais remonter le post alors que vous n'en avez (peut être) rien à faire mais j'ai encore besoin de poèmes d'auteurs connus sur la mort !!
Poémes sur la mort |
18/19 |
25/02/2005 à 17:58 |
pour le dormeur du val : les trou sur le coté son des trou de balle. l'homme est un soldat. ce poème montre l'horreur de la guerre. (je parrais intéligent mais en fait je l'ai étudié l'année derniere)
Poémes sur la mort |
19/19 |
25/02/2005 à 17:59 |
un petit de ma composition
Il l'avait perdu,
Depuis quelques temps déjà, mais son coeur ne cessait de saigner.
Sans pourquoi, ni comment, on lui avait ôté ce pour quoi il vivait, ce pour quoi il luttait
Nombreux furent ses rêves, aspirations et espoirs.
Incommensurable fût sa peine, peine si lourde à porter
Deux choix s'offraient à lui
Vivre pour toujours dans la peine, fuir à jamais
La vie, on la dit pleine d'espoirs
Des espoirs il n'a plus
Ainsi va la vie, lui disait on
Sa vie ne lui allait plus
Jamais il n'avait cru, un jour, pouvoir être aussi heureux qu'a ses côtés
Jamais il ne pourrait, un jour, être plus heureux qu'il n'eut été
Fermant des yeux plein de larmes une dernière fois, il la revit encore et toujours, si douce et belle
Dans ses oreilles résonnèrent les cris et rires des enfants qu'il n'aurait pas, sa vie cessa, la mort l'appelle