A moi que je déteste, comme on aime un cyprès
A moi que conspue, comme on traie une vache
Si seulement j'avais su qu'en me tenant si près
Je risquais d'entrevoir ce destin qu'on m'arrache.
A moi que je célèbre, comme on fête Noël
A mes amours passés, dans les nuages lourds
A mes doutes présents, récurrents et annuels
A mes erreurs d'antant, égarements balourds.
A moi.
Pour moi-même |
1/3 |
02/04/2005 à 23:19 |
ça fait un peu narcissique mais j'aime bien
Pour moi-même |
2/3 |
02/04/2005 à 23:26 |
j'aime beaucoup
Pour moi-même |
3/3 |
02/04/2005 à 23:34 |
ouai très joli!