premiere fois ,super stresser |
17/27 |
21/03/2009 à 00:43 |
Ecoute mon poulain, j'ai pas lu ton message mais ce soir S68 régale pour pas un rond, donc en fait d'abord tu la bouffes à la bien, ensuite quand tu sens que la voie est libre tu plantes ton dard d'Apollon et roule ma poule, tu feel da smurf on da flex with da dance crew shit homies, et après ça va tout seul, sauf si t'es hypoglycémique auquel cas faudra pas oublier de bouffer du sucre pendant l'acte.
En fait ça se passe en trois temps :
Premier temps : C'est la mise en place des différents clivages qui seront nécessaires à la bonne marche de l'acte sexuel, en fait va falloir mettre au point quelques détails et enchaîner en suivant une méthode personnelle, je ne peux pas t'aider sur ce point.
Deuxième temps : Alors là c'est le moment central, une sorte de mise en abîme de ce qu'est vraiment un pénis, alors à ce stade-ci t'as deux choix, soit tu rebrousses chemin et tu cherches à entrer dans l'industrie céréalière soit tu tentes, tu te dis "banco" et tu y vas avec l'aplomb de rigueur, comme si t'étais face à un putain de champ plein de putains de viets, t'as pas tellement le temps de réfléchir.
Et le troisième temps mon poussin c'est le moment où faut reprendre le dessus sur ta virilité, parce qu'il faut assurer tout en restant conscient de qui tu es, ne pas trahir tes valeurs profondes finalement, et ce même si tu pourrais être tenté par quelque artifice extérieur et inhérent au concept même de foi en soi, tout en excluant toute possibilité éventuelle d'interconnectabilité future avec les concepts mis en place dans le cadre de la réflexion commune (ça c'est ce qu'on appelle aussi la réunion produit finale chéri), et à ce moment là t'es face au fait accompli, tu peux dénouer le truc et partir avec les bénéfices temporaires (temporaires uniquement hein) ou alors tu peux remettre ça, mais ça nécessite d'être conscient de soi, pas comme les vendeurs de sacs en faux crocodile sur le trottoir, non je veux dire vraiment conscient de sa... place sur terre quoi, de ton influence potentielle sur tes contemporains.
En fait, le mouvement général du truc c'est une expropriation de soi, une sorte de contrat tacite que tu passerais avec une engeance supérieure appelée "maman", ou "gros monsieur de la photocopieuse" (ça dépend tout de ton vécu quoi) et c'est ça qui va déterminer ton aptitude à te positionner dans l'échiquier des rôles sociaux, et à gagner ou perdre. Or si tu gagnes, je te garantis que tu seras fier, et ce pour deux raisons : Premièrement la victoire en elle-même, et deuxièmement l'idée de garantie face au futur, ce que les assurance vendent si cher aujourd'hui.
Donc voilà, en résumé faut garder la pêche et ne pas perdre de vue le jeu de l'adversaire.
Bisous