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Mrs-Kirkland |
Prologue |
4 |
10/05/10 à 20:16 |
La nuit tombait lentement et déjà la peur la gagnait, au fur et à mesure que le soleil disparaissait derrière la tour qu'elle avait pour seul vue, laissant derrière lui une traînée qui colorait les nuages et le ciel de rose et d'orange. Recroquevillée sur son lit, elle n'ose plus bouger : elle sait que le moindre bruit, après une certaine heure, peut lui être fatal depuis... Elle ne voulait pas penser a ça, ni au reste. Dire qu'elle s'était habituée a cette vie de danger serait plus que faux. Elle n'arrive plus a dormir, elle se sent honteuse,
et craint la nuit. Mais déjà, des pas lourds se font entendre sur le béton nu du couloir. La porte s'ouvre et un homme entre, ivre mort, il ne faut pas beaucoup le regarder pour le comprendre. Il restera jusqu'au jour...
Prologue |
1/4 |
10/05/2010 à 20:21 |
Hum, c'est bien court, vraiment trop court.
D'autre part, il y a un problème de concordance de temps, tu passes de temps du passé au présent de l'indicatif d'une phrase à l'autre. Il faut te décider, soit tu l'écris au passé, soit au présent mais évite de faire un cafouillage comme ici.
Rien que la première phrase je la trouve assommante :
La nuit tombait lentement et déjà la peur la gagnait, au fur et à mesure que le soleil disparaissait derrière la tour qu'elle avait pour seul vue, laissant derrière lui une traînée qui colorait les nuages et le ciel de rose et d'orange.
C'est un concentré de description assez indigeste.
En gros, c'est à développer et à améliorer.
Je n'aime pas.
Prologue |
2/4 |
10/05/2010 à 20:22 |
C'est... Une nouvelle mode ce genre de texte pseudo onirique? Ça manque de style! C'est du déjà vu et c'est loin d'être original. Et on est trop " loin " de l'histoire pour y comprendre quelque chose.
Prologue |
3/4 |
10/05/2010 à 20:22 |
J'ai décroché à la deuxième phrase, sorry. Je verrai si je peux repasser plus tard.
Prologue |
4/4 |
10/05/2010 à 22:13 |
Mansfield Park a écrit :
J'ai décroché à la deuxième phrase, sorry. Je verrai si je peux repasser plus tard.
Bof, tu manques pas grand chose