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stefgay06 |
prose |
7 |
14/07/05 à 11:24 |
ce n'est pas un poème et je ne force personne à aimer
Je suis bléssé dans mon fond intérieur,trahi au plus bas par celui en qui ma confiance était au plus haut.Je suis vidé de toute émotion agréable,suis tel une vraie loque,une loque à qui on a fait espérer monts et merveilles,l'inespéré et l'inattendu.C'est alors que roulent,par les belles entailles qui ornent mon corps meurtri, quelques gouttent de sang;cette couleur si belle:le pourpre agréssif.La souffrance morale devenue physique est si belle,si douce à regarder,que poue la première fois je clame cette chose que je pensais impossible:"j'aime ce corps".
prose |
1/7 |
14/07/2005 à 01:36 |
prose |
2/7 |
14/07/2005 à 01:36 |
c'est sympa
prose |
3/7 |
14/07/2005 à 01:44 |
c'est normal !
prose |
4/7 |
14/07/2005 à 09:50 |
jm
prose |
5/7 |
14/07/2005 à 10:17 |
prose |
6/7 |
14/07/2005 à 11:24 |
waaaaaaaaaa c'est si bien que ça ?
prose |
7/7 |
14/07/2005 à 11:24 |