laissez moi vous raconter une histoire

Quel âge avez-vous ?

Moins de 18 ans

18 ans ou plus

isy41   laissez moi vous raconter une histoire 11 24/11/07 à 19:15

revu et corigé! bon courage les motivés!


Laissez moi vous raconter une histoire. C’est une histoire ordinaire, l’histoire d’une adulte encore trop jeune.
Elle n’avait pas atteint ses 10ans, que déjà son esprit vagabondait dans des lieux inconnus de ceux de son age. Déjà ses préoccupations dépassai ce que même les collégiens ne cherchent pas.
En avance pour son age, c’est ce qu’on disait d’elle.
Elle voulut faire par de ses inquiétudes aux autres enfants, partagé ses craintes, elle ne reçut que des coups en échange. La solitude l’engloba. Elle ne comprenait pas, tout le monde aurait dût lui expliquer son point de vue, comme elle le faisait avec eux, elle n’avait pas encore saisit l’étendu de son avance, elle ne s’en doutai même pas. A moins de 10ans, elle se préoccupait déjà de l’après vie, qui avait-il après la mort ? elle se questionnait.
Les étoiles qu’elle observai le soir, la lune qu’elle admirai, combien y en avait-il ? Jusqu’ou allaient-ils ? Cette chose immense que les adultes appelle Univers, avait-il une fin ? Si oui ou ? Et comment était-ce possible ? C’était inimaginable. Même un adulte se trouve impuissant et ne comprend ce phénomène, alors imaginer une enfant, une enfant de 7ans, face à ça ? Et ne pouvant en faire par a personne ? Rejeté par ceux de son age, mépriser par les adultes pour sa jeunesse, esseulé de toutes par.
S’enfonçant là dedans, ses notes ne passaient guère au-dessus de la moyenne. A peine 10, 11. une élève peu brillante, malgré son avance.
L’ennui s’installa bien vite chez elle. Peu scolaire, elle faisait le minimum syndical. Le professeur la disait assidu, et pour cause, elle faisait ses leçons. Mais elle ne les apprenait pas, contrairement a ce qu’ils pensaient. Si elle s’était mit à apprendre un temps soit peut, elle aurait put être première de la classe. Mais cela ne l’intéressait pas. Trop occupé par ses rêveries que par ses devoirs de classe, elle les expédiait toujours très vite, pour pouvoir réfléchir, pensé, rêvé, lire.
Si une chose lui avait été utile depuis son entré à l’école, c’était bien la lecture ! Elle était fascinée par cet art de déchiffré les signes tracés sur les pages, d’en comprendre le sens, de les répété, de les utiliser à son tour, les tracés, elle aussi, formé des signes, qui forment des mots, qui forment des phrases, tout cela elle adorait, c’était une délivrance que de savoir lire et écrire, plus besoin de l’aide des adultes, cela la libérait, et l’enfermai.
D’une certaine manière, Libérai son esprit vagabond vers d’autres mondes inexplorés et fantaisistes, enfermait dans sa solitude et ses songes irréalistes.
Elle ne « vivait plus » dans le monde que nous connaissons, nous, elle vivait dans « son » monde. Un monde dont personne n’avait la clef. A elle de donner ou non la solution des ses énigmes. Ses années de vie étaient rythmées par rien. Un néant sans nom.
Elle était seule, elle le savait, elle s’en fichait. Elle ne souhaitai rien d’autre que continuer à ce train. Une vie de papier. Sans passé, une présent éphémère, un avenir inexistant. Note stagnant à la moyenne, vie social inexistante, solitude immense.
Jamais elle n’avait cherché le contacte des autres depuis son « sevrage » et son exil. Jamais plus depuis qu’elle avait fait par de ses inquiétudes. A partir de ce jour elle les gardait pour elle, les écrivant sur des pages et des pages. Des cahiers, des feuilles volantes, tout cela transcrivant ses nombreuses inquiétudes sur le monde dans lequel elle vivait. Ses peurs, ses envies, elle ne décrivait que très peu sa vie dans ses immense anale de son existence. Ses multiples interrogations restaient secrètes, sa vie inexistante.
Elle ne cherchai qu’une chose avec tout ceci, des réponses. Des explications, quoi de plus énervant qu’une énigme sans solution ? On la recherche seul pendant de long moment, sans aboutir à aucun résultat.
Personne ne l’aidait, elle ne demandait d’aide a personne. Etrange par nature, seul par différence, réfléchit par choix, triste par solitude. Triste par peur, par vide, elle n’était en fait rien d’autre qu’une coquille vide.
Un corps sans autre chose qu’une réflexion infinie sur des choses qui la dépassait. Du haut de ses 7ans, elle ne pesait pas lourd. Mais si on cherchai à l’analyser, on voyait tout de suite qu’elle était bien au-dessus de la moyenne des jeunes. Elle dépassait le niveau des adultes, et de loin. Cependant elle était une enfant peu brillante, et personne ne s’intéressait à une enfant comme elle.
C’est vrai ! Pourquoi allé vers les moins bons, quand on a une élite ! Peut être que c’est par ce que les élites ne sont que des perroquets qui récitent leurs leçons apprises par cœur. Qu’est ce que sa veut dire ? Eux il s’en fiche ! Il récite, ils sont félicités que demander de plus ? Elle, elle réfléchissait. Ce que bien des gamins n’avait jamais eu l’idée de faire.
Elle ne rentrai pas dans le « moule » scolaire. Sa ne lui plaisait pas de connaître sans savoir. Elle voulait apprendre, elle avait soif de savoir, mais personne ne lui en apportait dans les lieux ou elle se trouvait.
Elle partait donc le chercher ailleurs. Dans des livres.
C’est vrai, à quoi bon connaître par cœur toutes les lois de la physique si on ne peu pas les appliquer, si on ne sait pas a quoi elles correspondent, si on ne peut pas les reconnaître ? A quoi bon connaître sans savoir.
Elle voulait comprendre les choses, pas les connaître.
Quel intérêt à savoir dire sans se trompé la liste de tout les rois de France qu’il eut pût exister dans l’ordre chronologique ? Tous ces rois sont morts et enterrés depuis bien longtemps ! On peu connaître à la rigueur ce qu’ils nous ont apporté, leur haut fait, mais même ça… ou est l’intérêt ? Elle ne comprenait pas le système, donc elle ne rentrait pas dedans. Car celons sa propre logique, qui d’ailleurs n’est que très peut discutable, « pourquoi obéir alors qu’on ne sait même pas ou l’ordre nous mène ? Il pourrait nous mener à notre perte. » Elle avait totalement raison et elle le savait.
Cela dit, elle n’aurait pas été à ça place dans une armée. Cette adulte au corps d’enfant réfléchissait bien. Trop même celons certain qui croient que les enfants n’acquièrent de réflexion une foi l’age de 14ans atteint.
Cette enfant là n’attendrait pas encore 7 autres longues années avent de réfléchir.
Cette réflexion prématurée lui attira de nombreux, trop nombreux ennuis pour une enfant. Des ennuis de ceux qui ne se résolvent pas seule, or elle était seule.
N’en pouvant plus de toute ses punitions perpétuelles dût à ça réflexion trop avancée pour son age, elle sombra bientôt dans une sorte de « veille » ne se rallumant qu’une foi la nuit tombée pour réfléchir seule, une foi chacun endormi, allongé sur le dos dans son lit, observant les étoiles depuis les confins de ses couvertures.
Réfléchir à un monde meilleur, un endroit ou elle pourrait penser librement, ou chacun pourrait défendre à son tour sa propre opinion, ou les adultes ne fond pas la loi, et ou ils sont mit au même niveau que les enfants. Ou chaque personne ayant acquéri la réflexion pouvait exercer ses droits. Les même droits qui fond que les adultes choisisse et pas les enfants.
Du haut des ses 7 années, elle ne savait pas que le monde était si dur pour les enfants. Elle subissait, mais ne connaissant pas l’étendu des droits des adultes, elle pouvait à peine entrevoir les injustices dont elle était victime, et qu’elle subissait sans bronché depuis sa naissance.
Les adultes on tellement de privilège, en échange de devoir, plus généralement appelé « droit obligatoire » par la plupart de ses privilégier.
Elle ne pouvait pas savoir à quel point elle se trompait, quand on est une enfant de son age, on ne nous explique rien sur la vie. On vous bourre le crane d’idiotie.
Après tout qu’est ce qu’on en a à fiche, nous des guerres qui on eut lieu il y a des milliers d’années ? Sa n’intéresse plus personne ce genre de chose. Qui a besoin de connaître par cœur les table de multiplication quand on a inventé les calculatrices ? Pourquoi connaître la conjugaison quand le correcteur orthographique fait tout pour nous ?
Des questions sans réponses se promenaient de ci de là dans son esprit. Cherchant à attirer son attention pour qu’elle y réfléchisse. Mais elle rêvai à son monde meilleur.
Pourrat elle un jour le réaliser ? Quel moyen employer pour ce faire ? Comment exprimer et faire accepter ses idées ?
Elle se faisait tout un programme dans sa tête, pour parvenir à ce que chaque personne de ce monde présent accepte son monde futur et l’aide ont le bâtire, elle réfléchissait à une nouvelle éducation, de nouveau moyen d’enseignement basé sur la philosophie, ou chaque personne chez qui la réflexion se serai éveiller serai considéré comme un adulte.
Elle réfléchissait à la façon par laquelle on pourrait évaluer la réflexion d’une personne, dans son monde meilleur, pas d’école. A quoi bon après tout ?
Dans son monde meilleur chacun pourrait décider de comment acquérir la réflexion, de quand passé l’examen pour passé a l’age adulte, un monde ou les enfants pourraient choisir eux aussi, choisir leur chef, celui que les adulte actuel appelle le "président de la république."
Après tout, les enfants vont vivre dans le monde que ce président présidera, donc ils ont tout à fait le droit de choisir eux aussi, choisir dans quel monde ils veulent vivre plus tard.
Une bêtise faite par ce président peu gâché leur vie, ils ont le droit de choisir et doivent assumer eux même ce choix.
Elle, elle ne comprenait pas pourquoi elle ne pouvait pas elle aussi décider du monde futur dans lequel elle allait devoir tant bien que mal s’intégré. Elle n’était pas faite pour le « moule » qu’on lui avait offert à son arrivé en ce monde. Il était trop petit, trop grand, pas de la bonne forme, il ne lui allait pas.
Après tout quoi de plus normal, ce moule est fait pour une masse. Cette enfant ne faisait en aucun cas parti de cette masse d’autre enfant. Elle désirait plus, sa réflexion lui incitai la curiosité, en ce monde ou l’on disait que celle si était un vilain défaut. Elle, elle la qualifiait de qualité exemplaire.
Elle voulait chercher toujours plus loin, pausant à ses professeurs des tas de questions, auquel ceux ci ne pouvaient répondre.
Il lui répondait qu’elle n’avait pas a le savoir. Elle insistai, elle voulait comprendre.
Les professeurs étant trop fiers pour avoué qu’il n’en savait rien, elle se faisait punir pour insolence. Elle avait juste soif de tout ce savoir qu’était sensé contenir le corps enseignant !
Bien vite elle fût qualifier de « voyou », « rebelle » et autres mots pour exprimé les enfants difficiles.
Elle n’était rien de tout cela, bien que peu brillante par ses résultats scolaires, elle était brillante par ses réflexions et sa soif de savoir. Les résultats importaient peu pour elle du moment qu’elle comprenait le pourquoi du comment.
Car après tout quoi de plus intéressant que de comprendre ! A quoi bon savoir quand on ne comprend pas. Elle ne voulait pas « savoir » elle voulait « LE savoir. » Le savoir s’acquière par la réflexion, ce qu’elle possédait déjà.
Les punitions à répétition pour sa curiosité commençais à se faire ressentir sur son moral, elle sombrai peu a peu dans la déprime. S’ajoutai a ça les dispute répété avec ses parents au sujet de ses notes, de son « insolence » et des plaintes de ses professeurs.
Elle répliquait que ce n’était pas de ça faute, et se prenait des fessé pour son insolence, mentir c’est mal.
Elle ne mentait pas.
Elle se défendait contre ses tirants de parents, elle rejouait pour eux les scènes, montrant bien qu’elle ne faisait que demander plus d’explication, qu’elle n’était en rien insolente, mais ses parents prenait ces scènette pour des singerie et des hypocrisie pour le professeur. Ils la punissaient alors encore plus sévèrement.
Ses différente injustice mainte foi répété la minait de plus en plus.
Elle manquai d’affection, de liberté, de loisir.
Elle aurait de nombreuse foi troqué sa vie contre celle d’une enfant normal, mais elle ne le pouvait.
Un mots lui fût appris un jour, par hasard, « le prince se suicida, son malheur était trop grand après la perte de son aimé ». Elle trouva cette frase dans un livre, une histoire tragique.
Elle chercha le mots dans le dictionnaire, l’on y expliquai que c’était mettre sois même fin a ses jours. C’est une solution pour clore son malheur.
Comment en une seule année une vie peut-elle basculé à ce point dan le désespoir ? Par une opinion transmise ? Une réflexion exprimer ? Elle fît des recherche plus approfondi sur ce mots qui pourrait peut être la sauvé, elle trouva de nombreuse façon de se suicidé.
Elle en choisit une simple et abordable parmi celle-ci. Un soir, la lune était masqué par les nuages du début de juin, fin d’année scolaire.
Bientôt les vacances, un sourire sur chaque lèvre de chaque petit écolier. La fenêtre de sa chambre était fermé, le velux donnant sur le toit était ouvert.
Personne ne s’en inquiéta, elle aimai regarder les étoiles depuis le toit.
Personne n’avait remarqué qu’elle n’était plus sur le toit.
Personne n’avait entendu sa chute.
Personne n’avait perçut le bruit de son crane se disloquant sur le sol, personne n’avait donc pût entendre son dernier soupir, un soupir de soulagement.
Quand elle avait doucement glissé or de son enveloppe corporelle, et que son cœur c’était arrêté de battre.
Sa réflexion était peut être morte. Peut être. Ou alors peut être était-elle parti pour « un monde meilleur ». Diront les optimistes. Mai chacun sais de quoi elle est morte, elle est morte de l’incompétence d’un corps enseignant égoïste, de parent trop crédible, elle est morte car elle les dépassait en intelligence.
Elle est morte d’être brillante.
Aucune personne au monde ne devrait à avoir à subir de discrimination tel pour un niveau de réflexion différent d’une norme fixé par des conservateur. Chacun peu être utopiste. Et chacun a le droit à une reconnaissance pour ses qualités.
Ici, personne n’a trouvé pourquoi cette enfant c’était suicidé.
Manque d’esprit critique.
Quelle malheur d’être brillant parmi les ténèbres, on attire tout de suite l’attention, en bien ou en mal.

laissez moi vous raconter une histoire 1/11 24/11/2007 à 19:17
Bon j'avais lu l'autre et il a été supprimer juste avant que je le post donc il a pas apparu Innocent
Mais bon j'adore Coeur
laissez moi vous raconter une histoire 2/11 24/11/2007 à 19:18
Bien écrit, mais fais attention aux fautes quand même.
isy41   
laissez moi vous raconter une histoire 3/11 24/11/2007 à 19:19
merci! ^w^ (désolé pour les fautes... j'ais passé le correcteur mais y devait en reter T-T et comme chui nulle ^^" )
laissez moi vous raconter une histoire 4/11 24/11/2007 à 19:19
J'aime pas.
C'est lourd, inconsistant.
Et toujours aussi bourré de fautes que celui de tout à l'heure. (moi nn plus je n'avais pas pu poster avant).
laissez moi vous raconter une histoire 5/11 24/11/2007 à 19:26
Bof, tu as passé des lignes, rien de plus.
C'est toujours aussi lourd à lire. ^^.
isy41   
laissez moi vous raconter une histoire 6/11 24/11/2007 à 19:27
alors j'ais un style d'écriture lourd! ^^ (j'insiste sur tout ce que je dis...)
laissez moi vous raconter une histoire 7/11 24/11/2007 à 19:28
C'est même plus insister , c'est radoter. Laughing
isy41   
laissez moi vous raconter une histoire 8/11 24/11/2007 à 19:29
oui mais ça me parait important c'est pour ça...
laissez moi vous raconter une histoire 9/11 24/11/2007 à 19:30
Il y a d'autres moyens de mettre en valeur quelque chose.
N'est-ce pas ce que nous analysons en français ?
Pour le peu de fois que ça sert d'ailleurs.
laissez moi vous raconter une histoire 10/11 24/11/2007 à 20:54
Moi j'aime .
C'est assez lourd à lire mais c'est beau . Ca me rapelle étrangement quelqu'un


CoeurEntersisCoeur
Prononcez Ainetairzis
isy41   
laissez moi vous raconter une histoire 11/11 24/11/2007 à 20:54
mes cour de français a moi c'est d'la merde... chui dans une école zarb et les cour sont zarb... on fait que écrire des poèmes et des textes sur les figures de styles... trop intéréssant hein? et pi ça j'lais écrit y a longtemps aussi...
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