On l'emmerde l'avenir...
Notre sauvagerie vient de notre putain de sensibilité, de notre fragilité...
« Papi, Papi, Papi, Papi », une litanie qui fait perdre la tête.
C'était avec toi que je discutais du beau temps...
Je m'appelle Hugo en l'hommage de l'écrivain.
Une larme coule sur ma joue, la saison deux de Skins est fichtrement triste.
Je suis fatigué.
Il pleut dehors. Il fait nuit. Je suis seul.
Dans ma chambre, au grenier. J'ouvre le velux et me hisse à l'extérieur.
Je suis dehors, il fait frais, les tuiles glissent sous mes pieds nus.
Faire attention à ne pas tomber involontairement.
Je descends au plus près du vide, je m'approche du bord.
Je saute dans le noir. La chute ne dure pas longtemps, j'atterris sur une branche du vieux pommier.
Je descends, l'herbe scintille au clair de la lune, ça rafraichit les pieds.
Je suis trempé. Je pleure.
« Papi, Papi, Papi, Papi »
Je ne sais pas où je vais. Je me contente juste de sortir de mon jardin et de courir dans le village endormi.
S'il te plaît, tais-toi, stupide conscience. Je sais qu'il n'est plus là...
Papi, tu m'empêche de dormir, tu hantes mes pensées. S'il te plait, arrête.
J'ai compris.
Je cours, je cours en silence.
A lui... (Vieux texte non retouché) |
1/6 |
18/10/2010 à 12:59 |
C'est totalement décousu.
A lui... (Vieux texte non retouché) |
2/6 |
19/10/2010 à 09:12 |
Oui effectivement, comme d'habitude ce n'est pas la logique qui prime sur mes écrits mais le ressenti, les émotions... Ce qui ne peut pas plaire à tout le monde
A lui... (Vieux texte non retouché) |
3/6 |
19/10/2010 à 14:19 |
Euh ouais, mais j'ai pas vu d'émotions non plus...
A lui... (Vieux texte non retouché) |
4/6 |
19/10/2010 à 16:28 |
J'aime assez.
A lui... (Vieux texte non retouché) |
5/6 |
09/11/2010 à 22:47 |
j'aime bien. j'ai perdu mon grand-père moi aussi. j'aime la fin
« Papi, Papi, Papi, Papi »
Je ne sais pas où je vais. Je me contente juste de sortir de mon jardin et de courir dans le village endormi.
S'il te plaît, tais-toi, stupide conscience. Je sais qu'il n'est plus là...
Papi, tu m'empêche de dormir, tu hantes mes pensées. S'il te plait, arrête.
J'ai compris.
Je trouve ça joli.
A lui... (Vieux texte non retouché) |
6/6 |
10/11/2010 à 00:07 |
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