Voilà, je suis sur un projet depuis un an à peu près où je mets en scène "on" qui parle de ces histoires de coeur et dans ces histoires, il y a des astuces, des problèmes réglés etc..
"On" a pour meilleure amie "Vicky" et pour amoureux "Jules", l'amoureux de Vicky est "Loulou"..
Histoires droles, touchantes, où on se reconnait,...
A découvrir..
A/ Ne jamais trouvé « le bon » et y croire à chaque fois malgré tout.
On y croit de toutes ces forces, de tout son cœur et finalement, ce n’était pas lui.
Alors là, c’est le drame, comme à chaque fois.
On y croyait dur comme fer et pourtant, on s’est encore fait avoir.
On pensait vivre sa vie avec lui, on pensait qu’il serait le père de nos enfants et puis un beau matin, Jules a déserté notre petit nid.
On se remet alors en question, on perd confiance en soi, on pleurniche devant des films à l’eau de rose (film que l’on ne regardait jamais avant), on écoute du blues, on se surprend même à rester en pyjama toute la journée et à manger les céréales préférés de notre grand amour (on ne compte même plus le nombre de « grand amour » que l’on a eu) et on pleurniche de plus belle.
Ah, l’amour et ses mystères !
On ne sait toujours pas pourquoi on s’est fait jeter mais qu’importe, on a rencontré cet inconnu qui fait battre notre cœur comme Jules le faisait si bien…
Alors là, on se dit « cette fois, c’est le bon » mais quelques mois plus tard, on retrouve nos films, nos céréales et notre musique en ajoutant cette fois-ci le pot de glace et on déprime pendant plusieurs jours.
On se croit alors, vraiment incapable de trouver chaussure à son pied et on s’agglutine devant son ordinateur avec son pot de glace à la main et on se retrouve, inconsciemment, sur un site de rencontre.
On se demande alors si l’on est vraiment « fichue » au point de s’inscrire et puis, on ose le pas avant même d’avoir eu le temps de se dire « oui ou non ».
On rempli alors les critères, on fait la difficile sur la présentation en pensant qu’au moins, on ne pourra attirer personne et que la souffrance n’existera plus dans son vocabulaire puis on se demande alors si aimer via internet est vraiment possible?
On trouve finalement une réponse qui nous semble correcte : on verra bien.
Puis, un premier homme vient nous parler, on se demande alors comment il a pu nous trouver « craquante » avec autant de « non » marqué sur le questionnaire.
C’est là que l’on découvre une personne aussi compliquée que soi, qu’on la trouve même drôle dans ce qu’elle peut écrire.
Un jour, on retourne enfin sur le site sans son pot de glace à coté de soi, la télévision éteinte, la chaine hifi de même et l’on mange a nouveau notre orange matinale au lieu des céréales de Jules, on retrouve celui qui nous fait rire, qui a les mêmes points communs que nous et on commence même à aimer lui parler.
Alors vient le fameux moment du « on se boit un café? » et là, on stresse, on panique en se disant que ce nouvel homme pourrait être comme Jules : possessif, jaloux, râleur, grincheux et on ne sait quoi répondre.
On refuse donc plusieurs fois en prétextant une sortie imprévue et on fait attendre le bel inconnu en attendant d’être prête mentalement à accueillir un nouvel homme chez soi.
Et puis, un soir, on se met à y réfléchir sérieusement à toute cette histoire, on se dit alors que l’on ne peut continuer à faire l’enfant, que ce n’est sûrement pas un homme avec qui l’on peut vivre et qu’un café ne serait finalement pas de refus.
On hésite alors plusieurs minutes et on lui donne enfin la réponse qu’il attendait.
Le jour J arrive alors, on a les mains moites, on sent une boule dans la gorge, le tic de notre enfance : se toucher les mains sans cesse pour qu’elles deviennent encore plus moites.
On le voit arriver, on ne sait pas si l’on pourra sortir un mot mais il est déjà là, tout sourire, il nous tend sa joue rose, on tend la notre également.
On parle pendant des heures, le rendez-vous chez Vicky passera plus tard et on parle, on rit, on se chamaille.
Il est pourtant l’heure de se quitter parce que le soleil va bientôt passer de l’autre coté alors la joie que l’on avait il y a à peine trente secondes plus tôt s’en va, loin.
Arrivée à la maison, on sourit bêtement, on inspire profondément et on se sent bien.
Il est finalement très intéressant ce garçon, il est très cultivé et il a un charme fou.
En se couchant, on se sent bête de penser tout ce bien sur cet homme qui, après tout, est un inconnu.
Pourtant, on a pas pu s’empêcher de remarquer que ses mains s’entremêlaient tel son stresse était aussi intense que son propre stresse.
On s’endort alors des images de cette rencontre plein la tête et le sourire au lèvre que l’on a eu toute la soirée reste.
Le lendemain matin, on a toujours ce même sourire, on se sent de plus en plus bête et carrément stupide de penser sans cesse à cette rencontre, on se dit que les hommes sont tous pareils, que celui-là n’est pas mieux qu’un autre, on se sent presque coupable de penser ça mais Jules l’a assez prouvé.
Alors on essaie de se concentrer sur autre chose, on appelle Vicky pour s’excuser de l’avoir oublié, elle demande alors le pourquoi du comment et là, c’est la catastrophe : les images défilent, les sons font de même et l’odeur du parfum de ce bel homme fait jaser.
Vicky insiste et on se sent donc obliger de lui en parler, on peut remarquer un sourire à travers le téléphone.
Elle nous donne alors rendez-vous parce qu’elle doit partir chez sa mère maintenant et on pourra lui raconter tous les détails ce soir.
La journée passe lentement, on a hésité plusieurs fois avant d’allumer l’ordinateur, on a peur, on se trouve carrément folle mais au fond, on aime ça.
On ose alors, on a le cœur qui bat, on le voit connecté, on ne sait pas trop qui doit parler en premier et on le laisse faire le premier pas.
Il nous demande alors si on a bien dormi, si on passe une bonne journée, puis commence les ragots sur le rendez-vous de la veille, on commence à avoir mal à la tête, on prend donc un verre de whisky et on lit jusqu’au bout ce qu’il a à nous dire en s’attendant à des reproches ou au contraire à des compliments, on ne sait pas vraiment et l’inconnu fait sentir sa peur.
Et puis, il nous dit qu’on a un sourire à tomber, que notre tenue nous a mise en valeur, qu’il aimerait nous revoir mais qu’il ne sait comment s’y prendre.
Alors là, un sourire se montre jusqu’aux oreilles, on lui propose donc un deuxième rendez-vous, cette fois-ci, ce sera dans un parc.
Ce soir, Vicky nous submerge de questions, elle veut tout savoir, elle va même jusqu’à demander s’il porte des calçons ou autre, on répond alors, timidement, que l’on a pas encore abordé la question et on glisse dans la discussion qu’on en aura peut être l’occasion demain.
Elle saute alors de joie, nous met quand même en garde comme une mère à son adolescente et un fou rire clos la parenthèse.
Le matin, levée à 7h30, on a pas beaucoup dormi de la nuit et on est impatiente, excitée à l’idée de le revoir et on regarde l’horloge pendant au moins une demi heure mais voyant que le temps ne passera pas de cette manière là, on sort prendre l’air.
L’après-midi arrive à grande vitesse, on s’habille du mieux possible pour lui plaire, on ne sait pas vraiment pourquoi on a envie que ces yeux nous remarque mais on ne peut s’empêcher de regarder trois fois dans la glace avant de partir.
Avant de franchir la porte, on s’arrête, on regarde ces mains et on se dit « cette fois-ci, c’est LE bon! ».
B/ J’aime t’aimer…
Oh qu’Est-ce que c’est bon de sentir son parfum au réveil, se dire que la nuit a été dans ces bras et qu’Est-ce qu’on les aime, ces bras.
En plus, il est tout doux, attentionné et tellement mignon avec ces cheveux, tout ébouriffés.
On est, alors, d’humeur joueuse ce matin parce qu’on le trouve craquant, vraiment.
On pensait pas que ça pouvait être aussi délicieux d’aimer l’aimer..
On profite de chaque instant, comme si c’était le dernier..
On le regarde droit dans les yeux, on se mord les lèvres et on lui lance un « je t’aime tant.. » qui exprime qu’il ne nous est pas indifférent, bien au contraire.
A notre rencontre on l’avait trouvé gentil, très gentil même, il nous avait fait rire et on avait pas pu résister à son regard, si charmeur..
On avait essayé, pourtant, mais on n’y était pas arrivé, c’était plus fort que nous, on l’avait aimé, tout de suite..
On l’aime toujours autant et cela fait, maintenant, un certain temps que ça dur, on se dit qu’on a de la chance..
Trouver un garçon comme ça tous les jours, ce n’est pas vraiment ça..
Et maintenant qu’on sait que c’est avec nous qu’il se réveille, qu’il s’endort, on est rassuré parce qu’il est à nous !
Et ce sentiment de « il est formidable ce garçon et c’est nous qui l’avons » est excellent..
On a envie d’en parler, de le montrer..
D’ailleurs Vicky n’en peut plus, chaque conversation téléphonique passe par la case Jules et elle, célibataire endurci, elle n’ose pas dire « Ecoute, là, c’est trop, je sais qu’il est bien ton Jules mais moi, je n’en ai pas et tu pourrais me rendre jalouse, oui c’est ça, jalouse de toi, tu imagines, je serai jalouse de ma meilleure amie, ça ne se fait pas tout de même ! ».
Et là, on comprend, on est mordu, on est accroché, on l’aime, on est même amoureuse..
Jules a volé notre cœur et on ne s’en était même pas rendu compte, on avait pas voulu se l’avouer, aussi, on ne voulait pas se dire « J’accepte d’être amoureuse donc j’accepte tout ce qui va avec dont souffre, au cas ou.. ».
Pourtant on doit se rendre à l’évidence, il est plus que craquant, il est carrément parfait, à nos yeux, nos yeux amoureux.
C/ Accepter d’être amoureux est accepter l’autre..
Non je ne veux pas !
Et pourtant.. Je le suis.
C’était inévitable d’ailleurs..
Avec un garçon pareil, comment ne pas tomber amoureuse (et ne pas tomber dans le panneau, par la même occasion)?
Il est tout ce dont une femme peut rêver et moi, femme (et idiote aussi) pensant ne pas plaire à ce genre d’homme, je me sens désirable à ces yeux, parce qu’il ne fait pas que me le sous entendre, il me le dit !
Il me le dit tellement bien, d’ailleurs, avec une voix si douce, il me le murmurerait presque et là.. Je fonds.
Finalement, un homme pareil peut s’intéresser à une femme telle que moi, du moins, c’Est-ce qu’il m’a fait croire (et pas qu’un peu)..
Je pensais être le Vilain Petit Canard, celle qu’on a pas envie d’aimer et il a débarqué un beau jour, me faisant la cours, alors forcément, je me suis méfiée mais il avait l’air si sincère, je n’ai pas osé douter..
Mais j’aurai dû !
Il n’était pas celui qui avait l’air d’être, il était même l’inverse, oui, complètement l’inverse..
L’homme si beau, fort, grand, intelligent qu’il avait l’air d’être (il avait juste l’air) n’était qu’enfaite, une copie de ce qu’il avait pu apprendre des goûts que certaines femmes peuvent avoir pour les hommes « parfaits »..
Il s’était contenté d’avoir l’air et donc, de ne pas être lui..
Après cette découvert, sa personnalité totalement fausse, je ne voulais plus le voir, en entendre parler..
Mais Vicky est toujours là pour demander des nouvelles et là, c’était pas le moment.
Elle essayait de me rassurait tant bien que mal « Mais tu sais, les hommes sont comme ça, ils ont besoin de se trouver une personnalité intéressante, qui ne leur correspond pas, bien souvent, pour se sentir intéressant.. Ca ne t’est jamais arrivé de faire cela, pour plaire? », oui bon d’accord, ça m’est arrivé une ou deux fois mais c’est parce que le garçon en valait vraiment le coup « Et tu crois que tu ne vaux pas le coup? », elle est vraiment très forte..
Je suis prête, plus ou moins, à lui pardonner cette « erreur de parcours » mais il me faut encore des preuves de la sincérité de son amour envers moi..
Je cherche donc un moyen de le tester, pour avoir ce que je veux et trouve enfin..
Nous nous retrouvons dans un café, près de chez moi au cas où j’ai une envie de fuir, il a l’air timide, plus qu’avant..
Je le regarde et lui lance d’un ton sévère « C’est minable de prendre la personnalité de quelqu’un d’autre pour me rendre amoureuse, je suis sûre que tu es aussi intéressant que celui que tu m’as montré et que, tu n’avais pas besoin d’être faux pour me rendre amoureuse parce que je ne suis pas tombée amoureuse de toi mais de la personne pour qui tu t’es fait passer.. », il ne dit rien, baisse les yeux, se sent coupable, je le rassure « Je veux bien découvrir le vrai Jules mais attention, cette fois ci, pas de mensonge et soi toi-même, parce que je ne peux que t’aimer pour toi ! », il a l’air d’avoir compris la leçon, je l’embrasse donc.. C’est si bon de retrouver ces lèvres, elles m’avaient manqué..
D/ Lorsque mon passé devient mon futur..
Je ne l’aime plus, je ne suis plus amoureux d’elle et pourtant, elle porte en elle mon futur malgré qu’elle soit devenue mon passé il y a quelques semaines..
Eh oui, cette femme que j’aimais, dont j’étais tombé éperdument amoureux n’était censé être qu’un souvenir (très bon) pour moi mais depuis quelques heures, elle doit redevenir mon présent et peut être même, mon futur..
Du moins, elle porte mon futur en elle et je ne peux, donc, l’avoir pour passé.
Alors comment garder ce qui est censé être passé pour passé sans que cela devienne mon futur?
Cette question me hante depuis toutes ces heures où je peux entendre, au travers d’une conversation autour d’un café très chaud, que la femme que j’aimais compte bien rester dans mon présent et m’infliger son futur..
E/ Où te caches-tu, Jules?
Jules, toi que nous cherchons depuis quand d’années, depuis toujours, d’ailleurs, mais où es-tu donc?
Pourquoi joues-tu avec nous?
Pourquoi ne nous laisses-tu pas te trouver, te connaitre, t’aimer..?
Jules, toi que l’on aimerait trouver au détour d’un chemin, d’une rue, que l’on aimerait aimer au premier regard, aux premiers mots prononcés..
Jules, on est en quête, sans cesse, de toi mais tu ne te montres pas..
Alors on désespère en se convainquant que tu n’es pas fait pour nous, que l’amour avec un grand A n’est qu’illusion, imagination mais au fond, notre âme d’enfant (lisant des contes de fées pour t’imaginer arrivant sur un cheval blanc) nous dit d’y croire, encore un peu..
Mais au bout de la cinquième rupture avec l’Homme de notre vie, on a plus envie de croire à ton existence, on a envie de t’oublier en mangeant de la glace (et on prend du poids par la même occasion, ensuite on complexe et si on te croise, on a envie de se cacher par honte d’avoir prit tout ce poids, c’est bien malin, tiens..) mais on y arrive pas, cette âme persiste..
Jules, tu nous donnes envie, oui, envie de croire en l’amour, de croire au bonheur, à la vie, tout simplement mais si tu te caches (comme tu sais si bien le faire), nous allons vraiment déprimer (déjà que les kilos en plus s’affichent sur la balance..)..
Et puis un jour, on te trouve, du moins, on le croit..
C’est vrai qu’à force de chercher, on pense, enfin, t’avoir trouver, toi qui nous fait tant rêver..
On se lève un beau matin en se disant « c’est lui, notre Jules ! », bon, il arrive qu’on retrouve un autre Homme de notre vie à ajouter à notre liste qui est déjà bien longue mais on se décide tout de même à te trouver..
Et là, on a enfin trouver..
Tu étais là depuis tout ce temps et on avait rien vu..
Tu nous attendait gentiment et on est passé à côté de toi sans rien voir..
On en est même déçu parce qu’on aurait aimé te voir avant mais qu’importe, tu es là, c’est l’essentiel..
Et dire que l’on te connait depuis si longtemps, que tu nous as accompagné dans toute notre vie, tu nous as vu grandir, nous a fait grandir, rêver (oui encore et toujours) et tu étais là, sous une pile de lire, ou plutôt, dans l’un d’entre eux, tout au fond avec les autres, dans ce livre qu’on aime tant, celui où on parle du Prince Charmant, toi.
F/ Je t’aime moi non plus..
C’est souvent compliqué l’Amour (oui avec un grand A)..
On ose pas dire certaines choses pour ne pas blesser l’autre alors qu’au final on se blesse soi même parce qu’on avait besoin de le dire, que NON CA NE VA PLUS LA, TU VOIS !
Mais on est comme ça, nous, on se tait et quand le mal est fait (autant pour Jules que pour soi), on agit..
On essaie, surtout.
Parce que réparer notre retard, parfois, c’est dur..
On doit expliquer à Jules pourquoi on a pas osé lui dire ces choses qui nous faisaient mal et Jules, homme fière et viril qu’il peut être, ne comprend pas (en même temps, un homme n’est pas censé comprendre la vie et encore moins les femmes..), dommage !
Il y a aussi ces fois où on parle et où on aurait pas dû (et là on se demande vraiment s’il faut parler ou non parce qu’on ne nous comprend plus, eh oui, ça arrive aussi aux femmes !) alors on se morfond parce qu’on a parlé trop vite, pourtant on pensait être sûre de nous mais non, on avait tord, on aurait dû attendre, tant pis..
Finalement, on ne comprend pas, on ne cherche pas à comprendre parce qu’à quoi bon essayer puisqu’on est déjà dans une situation délicate..
Alors on ose (oui toujours oser..) plus parler, agir et on se renferme..
Là, encore, on se fait gronder de n’être plus qu’un Rien assise sur une chaise depuis deux heures et les enfants (pas les nôtres, ceux de Vicky) attendent avec impatience de gouter parce qu’il est déjà 16h01 !
Vicky essaie de nous faire comprendre que l’amour, ce n’est pas simple mais que le dialogue est PRIMORDIALE malgré tout..
Parler, parler, c’est bien beau mais avec moi ça ne marche pas..
J’ai un problème peut être?
Quelque chose cloche chez moi pour que je n’arrive pas à avoir une vie amoureuse à peu près « correcte »?
Tant de questions sans réponse et où Vicky ne peut me dire que « seule toi peut connaitre les réponses », bah voyons..
On retourne donc à la case départ et on ne sait toujours pas comment s’y prendre avec Jules (qui est toujours sur ces positions), depuis quand un homme reste t-il fâché aussi longtemps?
Il craquera, on se dit ça et ça nous rassure, non?
G/ Réciprocité&Love..
Ami d’Enfance veut plus.
Il aimerait, de nous, que nous soyons son amoureuse, son amante, son aimée..
Malheureusement nous ne pouvons accepter..
Pourquoi ça?
Parce qu’Ami d’Enfance n’est rien d’autre que ce qu’il a toujours été pour nous : un ami.
Alors Ami d’Enfance doit se faire à l’idée, idée difficile à s’avouer, nous le savons mais il doit s’y faire.
Au fond on se sent coupable mais que pouvons nous y faire, Ami d’Enfance aura mal part notre faute, il aura des bas vraiment impossible à surmonter et puis un beau jour, il comprendra que, c’était la meilleure des choses, du moins, on l’espère.
Parce qu’aimer ne se contrôle pas et que nous, on sait qu’il n’a pas pu s’empêcher de remarquer notre nouveau parfum que Jules ne sait pas prit la peine de sentir d’un peu plus près.
Alors on se demande si Ami d’Enfance, ne serait pas, finalement, le bon.
Pourtant on le sait, on ne l’aime pas, c’est tout.
On aimerait, oui, parce que ça lui fait du mal de lui dire « non » et parce qu’il est tout ce qu’il y a de plus correct, de plus envieux mais on n’y arrive pas, ça ne vient pas..
Alors devons nous, nous forcer?
On se sent tirailler parce qu’on a envie, on aimerait, tant, mais on ne peut, on n’arrive pas à se laisser aller et on doit faire ce qu’il nous semble de plus juste : lui briser le cœur.
Depuis plusieurs jours, on se sent mal parce qu’on est passé du statut de Bonne Copine à C’est Moi Qui T’est Brisé Le Cœur et on doit bien le dire : on aime pas ça.
Même après plusieurs mails d’excuses (oui on s’excuse de ne pas aimer), après des bouquets de fleurs avec des cartes pour s’excuser, après des faxes pour (là encore) s’excuser..
Mais rien, Ami d’Enfance ne répond pas, il se fait distant, vraiment.
Alors on se sent encore plus coupable et la culpabilité nous ronge, beaucoup.
Au final, on aura retenu que, que ce soit nous qui avons le cœur brisé ou qu’on le brise, ça fait mal.
C’est vraiment cruel, tout ça mais que pouvons nous y faire?
Rien, malheureusement.
Tant pis, on fera avec.
H/ Loin des yeux, près du cœur..
Jules, c’est lui, on en est sûre, c’est lorsqu’on le voit, le sent, le touche que notre cœur bat, comme jamais..
On aime être avec lui, c’est réciproque, il nous le montre bien, d’ailleurs mais voilà, Jules n’habite pas la porte à côté et malgré que notre cœur soit amoureux, il souffre.
Alors on se dit (avec le plus grand des courages qui nous soit possible d’avoir) que nous, on y arrivera, que notre couple il tiendra parce qu’on est forte (dans la tête, pour l’instant ça suffit, le cours de gym, on y est tenté mais c’est fatiguant, hein..), que lui il est également fort (et pas que dans la tête)..
On espère de tout notre cœur être ce couple qui tiendra malgré le vent, le froid, la neige, la tempête et un beau jour..
Un beau jour, on s’avoue qu’on a voulu trop..
Peut être parce que notre amour pour Jules était si intense, si « trop » qu’on voulait en faire autant avec cette situation, complexe.
Mais on se rend compte que cela nous dépasse, qu’on est pas aussi forte qu’on ne pouvait le penser, qu’on commence à douter de soi, de lui, de nous deux..
Et à partir de ce doute qui nous empli un peu plus chaque jour, on se dit que là, on n’a plus confiance et que sans confiance, on ne peut vivre une relation amoureuse..
Vicky est toujours là pour nous quand ça ne va pas et ça tombe bien, on a besoin d’elle là, de faire le point et elle va nous être très utile..
Après avoir préparé un thé elle nous dit « Tu sais, l’amour à distance ce n’est pas simple, mais ça je pense que tu l’as compris.. Il faut que vous vouliez les mêmes choses, que vous vous mettez d’accord sur ces choses là, que vous acceptiez le fait que l’autre peut côtoyer d’autres hommes/femmes et qu’ils/elles ne sont pas forcement un danger », d’accord mais si le problème vient du fait qu’il nous manque beaucoup et qu’on a tellement besoin d’amour que.. « Que tu penses à le tromper pour satisfaire ton besoin d’être aimée? Tu sais, je ne pense pas que tu aimerais qu’un beau jour il t’annonce qu’il t’est trompé pour « besoin affectif » parce que tu lui dirais que ça se contrôle, ces choses là, pourtant, ça ne se contrôle pas toujours.. », oh, elle pense encore à Loulou, c’était l’amour fou entre eux jusqu’à ce que.. « Bref, n’en parlons plus, je l’ai oublié celui là.. ».
Vicky nous avait donné beaucoup de conseils mais on se sentait un peu coupable de lui avoir fait penser à Loulou.
Le lendemain de notre discutions avec elle, Jules est devant nous, tout sourire, comme à son habitude..
Mais il faut qu’on parle, qu’on sache ce que l’autre souhaite parce que, si ça se trouve, depuis le début on est pas sur la même longueur d’onde..
Nous essayons alors d’avoir des informations « Jules, chéri, il faut qu’on parle, c’est important.. J’ai longuement réfléchis et il faut qu’on sache ce que l’on attend de l’autre.. », Jules nous regarde, nous répond un « Moi, c’est toi que je veux » et nous embrasse.
On est bien avancé avec ça, tiens..
I/ Donne moi une raison de te dire « non »..
Waouh, quel homme !
On a craqué dès le premier regard..
On le voit, il a beaucoup de charme, son sourire nous fait tomber, ces paroles nous font comprendre qu’on lui plait et pourtant on doit lui dire « non » s’il nous invite à aller plus loin qu’une amitié..
Mais pourquoi se torturer à dire « non » alors qu’on pourrait accepter (avec joie) le fait qu’on lui plaise et qu’il nous plait également?
Peut être parce qu’on a dix ans de plus et que « ça ne se fait pas » de sortir avec un « petit jeune ».
Quel dommage !
Il nous fait revivre, nous donne confiance en nous, on se sent belle, aimée..
Parce que, pour nous, femme qui avons dix ans de plus, on ne pensait pas intéresser un garçon de cet âge là..
On ne sait plus où donner de la tête parce qu’on a envie de dire « oui, je te veux, je veux que tu me combles (et pas uniquement sexuellement), que tu m’apprennes des choses (à redevenir jeune?).. » mais on s’en empêche parce que les amis, la famille nous prendrait pour ce qu’on est pas : une trainée.
Alors on se retient.
On retient notre attirance (qui n’est que physique pour l’instant), on le repousse tant bien que mal mais on a du mal, parce qu’il nous fait tellement craquer, il est « tout mignon », on dirait un bébé, on a envie de le câliner toute la journée..
Vicky, le retour.
On a besoin de son aide (oui, encore), parce que là, ça ne va plus, on est vraiment entrain de dépasser les bornes !
Elle nous lance un regard sévère puis nous lance « Ah, toi aussi ça te fait craquer ces petits jeunes qui te lance des regards langoureux, te montre que tu es encore désirable, que tu n’es pas encore bonne à jeter et que OUI LES FEMMES MÛRES C’EST INTERESSANT.. », comment ça « les femmes mûres c’est intéressant? « Bah oui, sexuellement, tu leurs apportes ce qu’une fille de leur âge ne peut leur donner.. ».
Là, ça ne va plus du tout, on est un jouet sexuel, on le sait, on aime ça, même mais on doit dire « stop » parce que nous, on veut trouver le Jules de notre vie et pas un coup d’un soir (quoi que là, ça fait quand même plusieurs semaines que c’est un « coup d’un soir »).
Comme toujours il nous faut une explication et on retrouve le garçon en question dans un café.
On a envie de lui faire comprendre que notre vagin n’est pas son jouet et qu’il devra se faire à l’idée que tout est terminé « Ecoute, t’es bien gentil mais.. », il nous coupe et nous dit « Je commence à avoir des sentiments envers toi.. ».
Oh mon dieu, que faire?
Vicky à la rescousse.
On lui explique la situation actuelle, on lui dit qu’on ne sait plus où on en est et qu’il faut agir, et vite « Tu es sûre qu’il t’a dit ça sincèrement? Parce qu’il peut, peut être, te dire ça uniquement pour coucher avec toi sans que tu te rendes compte que cela est son but premier?! », pourtant il nous a dit qu’il est prêt à nous le prouver et à ne plus rien faire pendant un mois s’il le faut « Oh, quel garçon ! Tu l’as trouvé où celui là? ».
Et voilà comment nous avons casé Vicky avec le meilleur ami de notre « petit jeune », ah, ces femmes mûres, désespérantes de nos jours, mais on croit qu’on va se faire à cette idée là et puis, franchement, il est vraiment pas mal au lit..
J/ Regarde moi, je t’aime, tu comprends?
Nous ne comprenons pas pourquoi son regard a changé depuis quelques jours, parce que tout allait bien, qu’il nous montrait que tout allait bien, il nous le disait, même et puis un jour, il fuit, vraiment..
Il est plus que distant, il est presque méchant, il nous évite et se vante auprès de ces amis qu’on va se quitter alors qu’on est même pas au courant.
Alors au début on se dit que c’est un passage, que ça ira, que l’amour à ces hauts et ces bas, mais que là, c’est pire que bas et il faut agir.
On veut lui montrer qu’on existe, qu’on est là, qu’on est pas une femme pour l’occuper au lit et que, surtout, on est une femme qui a des sentiments et qui, donc, l’aime.
Mais Monsieur Je Suis Fière De Moi ne nous laisse pas le choix, parce qu’après plusieurs jours à se la raconter auprès de ces amis qui, se contre fiche de ce que nous on peut penser, on décide de lui donner une bonne leçon, une vraie, une dont il se souviendrait toute sa vie..
Un beau matin on est plus là.
On a prit nos affaires et on la laisser, seul.
On sait qu’il a besoin d’une femme dans sa vie pour vivre parce que c’Est-ce genre d’homme, qui ne peut être seul.
On est parti depuis deux heures, on a envie de voir notre téléphone portable sonné et l’entendre pleurer pour qu’on revienne et on a déjà tout imaginé dans notre tête, on lui dira « Non je ne reviendrai pas tant que tu gardes cette attitude, exécrable avec moi » et on y met de la vie dans cette phrase, pour qu’il voit à quel point on est fâché.
Finalement, au bout de trois heures et quart, le téléphone sonne, c’est lui « Tu reviens bientôt des courses? ».
C’est le bouquet !
Il n’a même pas remarqué que nos affaires n’y sont plus, que la salle de bain est devenue vide, que les placards sont monotones..
Il n’a rien vu.
On se sent blessé mais on veut l’affronter pour lui faire comprendre « Je reviendrai lorsque tu auras décidé de grandir parce que je ne veux pas d’un enfant dans ma vie comme toi tu ne veux pas en avoir un.. ».
Il a comprit? Il a l’air.
Au bout de deux jours passés chez Vicky et deux texto pour y lire « n’oublie pas mon chocolat si tu fais les courses ! » on commence à comprendre ce que Vicky s’entête à nous dire depuis qu’on a commencé cette relation : cet homme est trop égoïste, il faut lui montrer qu’une femme aussi peut être autoritaire et peut se faire respecter.
Ce n’est pas vraiment simple à accepter..
Parce que cela fait déjà quelque temps qu’on est avec et on se remet en question en se demandant pourquoi on a pas vu que ça n’allait pas plus tôt.
On se dit même qu’on ne devrait pas se remettre en question, que c’est lui le fautif et donc à lui de faire cela mais ce genre d’homme n’accepte pas les critiques alors comment faire?
Les menaces ne marchent même pas..
Vicky nous donne une astuce « Au lit, par exemple, montre lui que tu as besoin de douceur, qu’il n’est pas le seul à recevoir et tu verras, il comprendra rapidement après ça », donc un homme comprend ce qui cloche parce qu’on l’embête dans son « confort sexuel »? « C’est un peu ça oui. ».
Eh bien, pourquoi pas essayer.
Au bout de deux semaines, on revient chez Vicky en lui expliquant que sa technique à marcher, qu’elle avait raison (comme toujours) et que c’est vraiment bête qu’il faille faire comprendre à un homme qu’on l’aime et qu’on existe par le sexe.
Mais on sait (et on a toujours su) que les hommes sont comme ça et qu’ils ne changeront pas alors on s’adapte mais quand c’est trop, on les embête un peu et ça repart.
K/ A jamais à toi, à jamais à moi, à jamais à nous.
C’est terminé.
On ne sait pas encore si on s’y est fait mais il le faut bien parce que c’est comme ça et que c’est bel et bien vrai : on est plus avec celui qu’on pensait être le Jules de notre vie.
On accepte tant bien que mal la décision commune qui nous pousse à nous retrouver seul et plus à deux dans un appartement qui, maintenant, nous semble plus grand.
Mais même si on s’est quitté « bons amis », même si on s’est souvent disputé, que les assiettes aurait pu voler, on a aimé cet homme, on l’a aimé plus que tout et on ne l’oubliera jamais.
On garde en mémoire cette histoire d’amour (notre plus belle) et on n’ose pas tirer un trait définitif dessus tellement c’était beau, bon..
Selon Vicky, ne pas oublier, totalement, une histoire d’amour veut dire qu’on est pas près à passer à autre chose et que, peut être, on aime encore l’homme avec qui on a partagé cette histoire..
Mais dans notre tête tout est clair, il n’est qu’un souvenir, point.
Vicky arrive malgré tout à semer le doute en nous « Tu l’as oublié dans ta tête mais qu’en est-il de ton cœur? Lui aussi, l’a-t-il oublié? » bonne question..
On se demande, alors, si le fait que notre cœur n’est pas complètement oublié cette histoire veut dire qu’on aime encore l’homme avec qui on a partagé l’histoire..
Aucune réponse ne vient, on verra plus tard.
Plus tard arrive bien vite, c’est vrai, et on commence à conclure que la vie à deux nous manque, que voir des couples s’embrasser tendrement nous donne envie et qu’on imagine ce genre de scène avec.. Notre ex !
Le doute se fait sentir de plus en plus..
On a pas de quoi dire « mais oui je suis sûre de moi, je ne l’aime plus du tout » parce qu’on a pas envie d’enlever le « du tout ».
Peut être parce qu’on veut garder cette histoire comme souvenir ou parce qu’on l’aime encore ou peut être aussi parce qu’on a besoin de temps..
Mais cela fait plusieurs mois maintenant et rien n’y fait, lorsqu’on se retrouve en soirée et qu’on le voit avec une autre, on ne peut s’empêcher de les regarder, de voir s’il fait avec elle ce qu’il faisait avec nous..
On se fait un peu parano d’ailleurs et notre ex en arrive à nous le reprocher telle notre discrétion n’y est pas..
On retrouve Vicky dans un café et elle nous conte une de ces ancienne histoire amoureuse « Tu sais, avec Loulou c’était tellement passionné, on s’aimait mais à s’en tuer et puis, un jour, on a rompu.. Mais j’ai découvert que j’avais mal plus part le fait d’être seule, que le fait de ressentir quelque chose à son égard.. La passion n’est pas forcément de l’amour et là, je crois, c’était avant tout une bonne entente entre deux personne qui ne voulaient (au final) qu’une bonne partie de jambe en l’air sans se soucier du lendemain.. », bon, et nous? On fait quoi la dedans? Nous on était amoureuse.. « Eh bien toi, tu es dans le cas ou tu crois être encore amoureuse mais enfaite, c’est juste le manque affectif.. », pourtant on est jalouse quand.. « Une femme est faite pour être jalouse ! », très bien..
Plus les jours passent et plus on découvre qu’en amour il y a les question d’avant, les questions de pendant et les questions d’après..
Mais nous, on en était ou exactement?
Selon Vicky on en était nulle part puisqu’il n’y avait plus d’amour entre l’Ex et nous..
C’est peut être bien vrai après tout, plus de sentiments donc plus de question..
Voilà, j'espère que vous aurez aimé, que vous aurez appris des choses aussi
Aimer; c'est simple enfaite... |
21/28 |
31/12/2010 à 14:08 |
Tigraour a écrit :
Ahah ! Moi je me suis amusée à tout lire.. Je ne comptais en lire qu'un peu au début, mais on s'laisse un peu entraîner à dire vrai .
J'ai pris du plaisir à lire ton pavé, même si je ne suis pas totalement d'accord avec toi .
Avec quoi n'es-tu pas d'accord? (:
Avec ta première partie, pour commencer .. Nous n'avons pas toutes eu 50 000 grands amour --' .. Du moins je l'espère .
Aimer; c'est simple enfaite... |
22/28 |
31/12/2010 à 14:11 |
D'accord avec Frosties, pour l'image cliché de l'homme qui ne pense qu'avec sa bite.
Aimer; c'est simple enfaite... |
23/28 |
31/12/2010 à 15:07 |
Je pense que les "clichés" que vous avez cité sont juste mals formulés. C'etait juste pour decrire le mec dans la situation et du coup sans s'en rendre compte elle a fait une generalité . Je me trompe peut etre hein... Mais c'est comme ca que je l'ai compris x)
Sinon c'est pas mal, j'ai eu un peu peur au debut vu la longueur mais en fait ca va on se laisse pas mal entrainer .
D'accord avec Le Male Aimé, par moment c'est un peu lourd et ca manque d'harmonie . Mais ca passe
Aimer; c'est simple enfaite... |
24/28 |
01/01/2011 à 11:08 |
Merci pour vos réponses !
Oui meme si ca parait treeees long, ca se lit pas trop trop mal, enfin je pense, je sais pas x) !
Aimer; c'est simple enfaite... |
25/28 |
01/01/2011 à 12:13 |
Bah toujours le cliché de l'homme pensant avec son outil de construction qui est dommage mais sinon le texte en lui même me donne envie de lire la suite. J'ai accroché
Aimer; c'est simple enfaite... |
26/28 |
01/01/2011 à 13:13 |
Bah toujours le cliché de l'homme pensant avec son outil de construction qui est dommage mais sinon le texte en lui même me donne envie de lire la suite. J'ai accroché Smile
En écrivant, j'ai pas pensé à "l'homme pense qu'a ca, on va partir de cette base" pourtant je retrouve ca dans beaucoup de vos commentaires mais je me suis basée sur rien du tout enfaite, j'ai écris comme ca quoi^^
La suite? Elle arrive
Aimer; c'est simple enfaite... |
27/28 |
01/01/2011 à 20:53 |
pas d'accord avec tout, mais dans l'ensemble c'est bien
(J'ai lu sans m'arrêter !) légèrement plus de rythme serait bienvenu quand même
(euh, ça devrait pas être dans la section création artistique ?)
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28/28 |
01/01/2011 à 21:01 |
pas d'accord avec tout, mais dans l'ensemble c'est bien Smile (J'ai lu sans m'arrêter !) légèrement plus de rythme serait bienvenu quand même
(euh, ça devrait pas être dans la section création artistique ?)
Eh bien, ca parle d'amour donc je le mets la plutot