Moins de 18 ans
18 ans ou plus
imparfait | suite du polar pour ceux que sa interesse ;) | 3 | 02/05/07 à 16:05 |
Direction la boite de jazz du coin ou Kévin avait sans doute réservé une table pour lui. Il avait croisé ce type quelque années plus tot, Alors qu'il cherchait un club de jazz simpa. Celui ci tenait alors le Blue sweet dream, établissement enfumé au possible mais ou reignait une ambiance chaleureuse...et les indics en tout genre.
Il se tenait à présent sous l'enseigne en néon éteinte pour le moment. Son collègue devait le rejoindre bientôt pour une affaire de kidnaping en commun. Un vieille ami du lycée qui l'avait pistonné pour monter sa propre boite. " Et quand on aura eu du galon, tu verras le paquet de tune que l'on se fera!" s'était exclamé Simon Hugins quand il lui avait proposer de monter cette affaire de détective. A défault d'argent, c'est vrai que le lascar lui en avait donner des affaires. Meurtres, cambriolage, mari infidèle... ils en avaient vu des vertes et des pas mures. Mais ça lui plaisait. Il n'était plus un pourri, juste un privé qui faisait le boulot que les flics refusaient de faire correctement.
C'est alors que se dessina dans la rue la silhouette longiligne et dégaingandé de Simon avec ses lunettes de doc.
" T'as lu le journal?" demanda-t-il
"Un peut que je l'ai lu" rétorqua James "le vieil Arty a revendu sa peau bien vite. Paix à son âme..."
" une idée du meurtrier?"
"Pourquoi s'en préocuper?" Demanda James méfiant tout d'un coup "Tu nous a encore dégoté une affaire pas net toi je le sent..."
"Oublie cette histoire de kidnapping" s'exclama-t-il une note d'impatience dans la voix, puis soudain tout bas " j'ai été contacté par le FBI..."
" et qu'est-ce qu'ils nous veulent?"
" La police est corrompu jusqu'à la moelle James et les politiques ne savent plus quoi faire pour arrêter le fléau... ils font désormais apellent aux privés pour démanteller les gangs et tirer tout ce merdier au clair..."
"Sans moi" maugréa James en rentrant dans la boite mais avant d'avoir franchit la porte la voix de Simon s'élevait à nouveau
"100000 dollars."
La main sur la poigné et sans se retourner James demanda
"combien?" sa main était moite
"100000 dollars" répéta Simon "sans les primes de risque, la voiture et les armes fournit." il ajouta "la police est naturellement apellé a coopéré avec nous..."
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suite du polar pour ceux que sa interesse ;) | 3/3 | 02/05/2007 à 22:12 |