Une touche d'espoir ??

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18 ans ou plus

Sex Toy   Une touche d'espoir ?? 20 28/08/06 à 07:54

Je m'excuse d'avance pour les fautes d'orthographes dues a une mauvais relecture et a un clavier qui n'est pas francais.
Ce texte est pessimiste bien qu'il ne reflete pas mon etat d'esprit actuel, mais je ne parle pas en ignorant.Il m'a ete dicte par les solos de pianos tournant sur mon ordinateur.
Ce texte est long aussi j'aimerais evite les remarques inutiles ou les commentaires non constructifs.
Sur ce bonne lecture.

Biiiip Biiip Biiiip.
Ce putain de téléphone sonne encore occuppé.Pas grave, je la rappelerais plus tard.
Faut que j'nettoie ma piaule, ca commence a sentir le macchabée.D'un geste vif, je m'essuie le menton degoulinant de sueur.C'est la canicule, et y'a pas la clim' dans c't'appart.
Je jette un coup d'oeil pour me rendre compte de l'état des choses.Des milliers d'objets que je ne me rappelle pas avoir vu trainent sur le sol, essentiellement des bouteilles d'alcool vide, parfois petées.
Faut que je m'calme, j'ai plus une thune sur mon compte, je m'suis fait virer hier.
Vous savez, l'habituel "Notre taux de productivitée est en baisse, on n'engrange plus assez de bénéfices" que vous balancent les superieurs pour vous virer en se donnant bonne conscience.
J'aurais du bosser a l'ecole.J'ai deconné, j'suis tomber dans cette merde qu'on appelle "l'Héro".En c'moment, j'ai plutot l'air d'un Zéro.
La mine déterrée, les avants-bras mouchetés de petites traces de piqures, des cernes qui feraient palir d'envie Dracula, une maigreure que jalouse Mr. Jack...
Merde, j'ai besoin d'un bol d'air.J'pense trop.
J'prends ma veste miteuse et je sors de l'appart', sans fermer la porte a clé.Si un connard passe prendre quelque chose, il devra ranger pour le trouver, Non ??
Le quartier est pas le plus fréquenté.Des panneaux publicitaires pour des boutiques, des plans culs par sms, le bordel habituel.
Puis l'affichage administratif.Un vieux trou du cul qui se presente pour etre maire avec ce sourire figé qui a le don de mon foutre la migraine.Toutes ces luttes intestines pour une parcelle de pouvoir, ca m'file la gerbe.Comment des hommes ont pu dev'nir comme ca ? Si le bon dieu nous a fait a son image, je veux pas aller au Paradis.
La rue est une vrai décharge.Des cannettes vides, des magazines pour jeunes, des tracts inutile.Puis un journal intéréssant.C'est le dernier numéro de "Minute", le journal du front National.Un tissu de conneries patriotiques et discriminatoires.Notre Jean Marrie national nous fait toute un pamphlet cotre l'immagration massive.Le trou du cul.
Je le jette dans le canniveau et aie l'impression d'avoir les mains sales.
Qu'est qu'il en fait de "La déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen ?".
Mais la politique me fait ma a la tete.
Je m'souvenais pas qu'il était aussi long ce boulevard.
Je rencontre une Junkie dans la rues.Elle m'accoste.Elle a tout de suite devinée qu'on etait du meme bois pourri, tous les deux.On discute pendant pres d'une heure de tout et de rien.Les problemes habituels, elle me raconte sa vie, elle me dit que ses parents l'acceptent plus chez elle a cause de sa toxicomanie, elle me dit qu'elle a jamais été au lycée, elle me dit aussi qu'un légiste l'a appelée hier.Son meilleur pote est mort.Je lui pose pas la question du porquoi du comment.C'était une overdose, on le sait tous les deux.Vaut mieux pas remuer le couteau dans la plaie.
On se sépare, je lui promet de revenir la voir.Je la trouve mignonne, on a un bon feeling.
Mais je devrais pas penser ca.Je suis deja casé.N'empeche que ca me dérangerait pas, je ne fais qu'expulser l'idée hors de ma tete pour un court moment.
Quel immature je fais a ne me soucier de rien.Toujours le lendemain, pas aujourd'hui, j'ai pas envie, je suis pas motivé, je veux pas me prendre la tete.
De retour a la maison, la porte n'est pas ouverte, tout est en "ordre".Ces connards sot meme pas venus piller la baraque.J'enleve mes pompes et ma veste et me dirige dans la salle de bain.Légère douleure au pieds droit.J'ai marché sur une seringue vide dont l'aiguille contient du sang deja sec.Cette maison va me rendre fou.Je la supporte pas, je ME supporte pas.
Sortez moi d'ici, sortez moi de cette cage qu'est ma tete, qui m'empeche de vivre, de penser et d'agir comme un type bien.Je veux vivre, je pas faire le légume toute ma vie.Je veux me rendre compte des moments de joie que la vie peux offrir, je ne veux plus faire du mal aux proches qui me restent, et qui j'espere ont une petite pensée pour moi de temps en temps.Je veux pas qu'ils se souviennent de moi comme l'exclu social de la famille, le junkie raté.Je veux laisser l'image d'un mec droit et bien.Pourquoi je peux pas ?
Je suis dans un cocon d'insousciance et de rejet des autres.Un putain de cocon hermétique dont les paroies sont impossibles a briser.

J'aime tout effecer pour tout reconstruire, j'aimerais me retracer un chemin dans cette sociét que les jeunes déenigrent sans savoir de quoi ils parlent.J'aimerais avoir des vrais amis autour de moi, vivre dans une maison chaluereuse et aceuillante, avec une femme et des enfants.J'aimerais connaitre l'amour dont les poetes parlent, un amour de ceux qui brisent le coeur en meme temps qu'ils l'emplisse de joie.J'aimerais me sentir vivant.J'aimerais sentir mon coeur battre a nouveau, retrouver l'insousciance et la naiveté de la jeunesse, j'aimerais me dire encore une fois "Quand je serais grand j'irais dans l'espace".
Je voudrais retourner au bahut et me dire que l'intelligence, c'est pas fait pour les blaireaux.Que tous ces gens que je prennaient pour des bouffons vont aller plus loin que moi dans la vie.
Y'a un message sur le réepondeure.C'est ma copine qui me largue.Je reste inexpréessif.J'en ai rien a branler en fait.Je ressors dehors en chaussette pour aller voir la fille du boulevard.Pour qu'on fasse un bout de chemin ensemble, et qui sait ? Peut etre meme qu'on arrivera a se sortir de cette galere ensemble ?
La porte est toujours pas fermée.Je reviendrais pas de toute facon.J'vais changer.J'en ai marre.Marre d'etre un looser.
Aujourd'hui, je commence une nouvelle vie.

C'était ou qu'elle squattait, deja ?

Une touche d'espoir ?? 1/20 28/08/2006 à 09:29
j trouve ca vraiment super , felicitation Very Happy
Une touche d'espoir ?? 2/20 28/08/2006 à 09:56
sympa l'histoire j'aime beaucoup!! Smile
Une touche d'espoir ?? 3/20 28/08/2006 à 09:59
MDR
Tu la trouve "sympa", l'histoire ??
Elle l'est pas vraiment.C'pas l'but.
Une touche d'espoir ?? 4/20 28/08/2006 à 10:01
quand je dis que je la rouve sympa ça veut dire qu'elle me touche! putain faut comprendre!
Une touche d'espoir ?? 5/20 28/08/2006 à 10:02
un peu long pr un début de matinée lol mais super bien!! Bravo
Une touche d'espoir ?? 6/20 28/08/2006 à 10:02
J'avais piige.
Mais j'attendais plus constructif.
Une touche d'espoir ?? 7/20 28/08/2006 à 10:42
Le texte en lui-même prête à la réflexion. Cette réflexion me paraît d'ailleurs assez magnétique: au final, tout tourne autour du personnage principal, mais plus que pour raconter ce qu'il vit, plus que pour montrer ses choix, ses décisions ou erreurs, il s'agit en fait, ici, de faire ressortir son caractère profondément paranoïaque, en tant que conséquence -je suppose- plus ou moins directe de sa dépendance à l'héroïne (une héroïne que son ex petite amie joue plutôt bien d'ailleurs^^)

Les mots de tête, également, viennent traduire les symptômes de cette dépendance. En fait les éléments sont nombreux et variés, et ils concordent tous vers un même état de dépendance. Mais pas la dépendance à une drogue traditionnelle: non, il s'agirait plutôt d'une forme de dépendance à la société. Et, je crois que c'est le constat "pessimiste" que je vois à ce texte: un homme trop dépendant du social, du facteur social, de son identité sociale.

D'ailleurs, la métaphore jouée par l'appartement, en tant que lieu où se dessine, dans les moindres détails, l'identité de l'individu, montre une corrélation directe avec le titre: en effet, tout est là, sous les yeux de cet individu, mais il garde espoir, en ne fermant jamais sa porte. Fermer cette porte serait se condamner à un cloisonnement définitif concernant un contexte social et également individuel. Il ne ferme jamais cette porte car il a toujours eu espoir de changer, et de sortir des entraves qui le briment. Cette société a beaucoup trop d'emprise sur lui.

Hélas pour lui, et c'est là que le constat en est purement pessimiste, lorsqu'il parvient enfin à se décider de sortir de son cocon, lorsqu'il se décide enfin à changer et à se reconstruire un "Lui" à son effigie, il n'a pas d'autre choix que d'aller s'enterrer dans un autre cocon, qui est simplement situé ailleurs ("C'était ou qu'elle squattait, deja ?" => Il cherche donc à intégrer le cocon de cette fille, si je puis dire, et donc il va se renfermer ailleurs.) Aussi la conclusion de ce texte me semble être que la liberté n'existe pas. Du moins pas autrement qu'à travers le rêve (qui peut être noble, mais surtout qui est pur, comme le montre le texte en l'associant à l'image de l'enfant => <<j'aimerais me dire encore une fois "Quand je serais grand j'irais dans l'espace".>>), l'imagination(qui est traitée de manière plus évasive.) ou encore l'illusion (qui apparaît comme un tragique moteur social intervenant par le biais de l'espoir => "Aujourd'hui, je commence une nouvelle vie.")

Aussi, il transparaît que la liberté naturelle de l'individu est brimée par bien des forces en présence. Et que l'une de ces forces se retrouve paradoxalement au niveau du lien social.
Une touche d'espoir ?? 8/20 28/08/2006 à 10:49
Tres bonne analyse, Phantom_Agony.
Vois-tu, je n'suis pas un poete.
J'suis un artiste a reflexion.
Et je m'disais que j'voulais ma part dans les creations aussi.
Bref,ca on s'en branle.

Je te donne raison, et j'ajouterais que ce n'est pas l'identitee sociale qui est a la base de la reflexion, mais plutot la societe.
En effet, pour mon premier brouillon, j'avais donne des nom a mes personnages.Mais ils ne servaient a rien de plus qu'a s'identifier au personnage, ce qui n'est absolument pas le but, et qui risquait de perturber le rythme.
Ce texte pose aussi une problematique sur la reflexion sociale, en effet ? Quelle est notre place dans la societe ? Est-ce en ce marginalisant qu'on devient associal ?
Autant de questions qui me preoccupent actuellement.

En attendant d'autres posts constructifs, je t'applaudis.
Des nouvelles a venir ? Qui sait...
Une touche d'espoir ?? 9/20 28/08/2006 à 11:01
Non, en fait...C'est moi qui t'applaudis pour avoir fait quelque chose de recherché, de plutôt bien construit et fondé sur une réflexion de plus intéressantes. Un véritable petit sujet de sociologie=p

Je dirais que c'est au moins une touche d'espoir pour le forum Créations ^^
Une touche d'espoir ?? 10/20 28/08/2006 à 11:56
Très joli texte ...
Félicitations Smile

Rubrique toujours bien trop peu lue ...
Une touche d'espoir ?? 11/20 28/08/2006 à 13:49
Phantom_agony a fait une délicieuse analyse de ce texte, mais je tiens à donner mon avis. Du moins ce que j'ai cru comprendre.

On est trés vite plongé dans un univers désagréable, celui du personnage principale. On voit tout de suite la confusion de ce personnage par le désordre de son appartement. Des bouteilles d'alcool trainent à terre, ainsi que pas mal d'objets non cités. La détresse est alors évidente, serait-ce un désordre ayant pour but d'attirer l'intention ?
Au début le texte m'a laissé penser à une personne qui, ayant perdu son travail, exécrait alors le monde qui l'entoure par un désespoir extrême. Ce n'était rien d'autre que la haine de se sentir écarté, la violence d'une âme qui se sent isolée ! Que pouvait-il lui arriver de pire ?
Le pire est alors à venir, puisque petit à petit il se sent de plus en plus ignoré par la société. Comme l'a si bien dit Phantom_agony, il ne ferme pas la porte de peur de perdre pour toujours la possibilité de revenir de sa solitude forçée. On voit à son retour qu'il est déçu "ces connards n'ont même pas pillier la baraque". Bien sûre sa phrase est alors ironique, mais au fond, ne cache t'elle pas cette peur de l'exclusion définitive ?
La seule personne à qui il parle dans la rue est une junkie, un personnage marginalisé qui lui aussi, erre devant la lourde porte de la société sans jamais oser l'ouvrir. D'ailleurs il s'entend fort bien avec elle, ce qui est tout à fait normal puisque les cas sont quasiment identiques !

Perdre sa copine fut le coup final de cette désatreuse indifférence qu'éprouve la société à son égard. Le personnage s'y attendais presque, aucune réaction devant l'ignoble message. Le voilà complétement seul, rien ne peut l'attirer vers ce qu'il désir tant... à part peut être cette junkie.
Situation des plus ironiques d'autant que la junkie est elle aussi hors de cette société. Il part alors pour retrouver quelqu'un qui est dans le même cas, voir même bien pire...

Hélas, je crains qu'il n'arrivera à retrouver une place dans cette société, société répugnante par ce refus de vouloir tendre la main aux gens noyés de son indifférence !
Je pense qu'en partant il se piége, plus personne ne pourra le trouver puisqu'il quitte son appartemment sans indication, appartemment vide représentant merveilleusement la confusion du désespoir. Sa nouvelle vie est l'étape final de l'exclusion, lui même s'écarte définitivement et écrase son espoir de vouloir être accepté dans ce monde humain.

Qu'est-ce qui déclencha cette effroyable descente vers la marginalisation ? C'est le fait d'avoir perdu son travail, il n'était plus utile pour la société, une ordure génante qu'il fallait jeter... Son erreur a été de faire le faux pas attendu, s'écarter lui même définitivement.
C'est la que je vois le pessimisme dont tu nous parles. Mais est-ce vraiment du pessimisme ? Ne serait-ce pas simplement une terrible réalité ?

Un texte qui m'a tout d'abord fait hésité, puis à la deuxiéme lecture intéressé. Je te félicite, c'est un texte bien écrit et travaillé représentant une affreuse réalité.
Une touche d'espoir ?? 12/20 28/08/2006 à 14:58
J'dois dire que les premiers commentaires m'ont un peu effraye.
Rien de bien mecgant, mais rien de specialement reflechi non plus.

Je n'suis pas trop d'accord avec le fait que la societe lui ferme la porte, mais plutot je pense qu'il n'a rien fait pour arriver a ouvrir les porte et qu'il s'est laisse guider par une mode jeune et qui prone la rebellion, ce qui n'est absolument pas la maniere de se marginaliser qu'il affectionnait.

Mais tu as raison, ceci est la triste veritee, je me suis inspire de ma propre histoire et de celle de mes parents pour en faire la trame.

Tous ceci pour dire aussi qu'une section de debats/philosophie serait utile au site.
Je tiens aussi a dire que j'ai change la fin par rapport a ma version finale.
L'autre etait d'un pessimisme trop evident, et celle la peux, a la premiere lecture, paraitre de bonne augure.


Merci Phantom_Agony, ce message compte plus a mes yeux que ceux des premiers qui n'ont pas une grande capacite d'analyse et de reflexion -__-.
Une touche d'espoir ?? 13/20 28/08/2006 à 15:45
J'veux pas qu'il soit perdu au milieu des bouses ambiantes.
On remonte a flots, moussaillons.
Une touche d'espoir ?? 14/20 29/08/2006 à 00:07
Prostitue Moi : "Merci Phantom_Agony, ce message compte plus a mes yeux que ceux des premiers qui n'ont pas une grande capacite d'analyse et de reflexion -__-."

Et mon commentaire alors ? Rolling Eyes Tire la langue
Une touche d'espoir ?? 15/20 29/08/2006 à 04:39
Merci aussi pour l'analyse Mr. Green
C'est qu'en fait, j'ai remarque Phantom sur e forum grace a ses poemes et ses commentaires.
Et qu'c'est un mec assez "Cale", on dira.
Une touche d'espoir ?? 16/20 29/08/2006 à 22:20
Up
Une touche d'espoir ?? 17/20 30/08/2006 à 21:23
Bande d'analphabetes, personne ne sait lire ??
Une touche d'espoir ?? 18/20 01/01/2007 à 13:35
Si moi Very Happy

A la première lecture de ton texte j' ai tout de suite pensée à "Moi,Christiane F., 13 ans, droguée et prostituée..." et à "L'herbe bleue" quoi que ce dernier est un peu moins sombre.

Dans ton texte le personage principal est complètement destabilisé; on ne peu pas dire qu'il soit vraiment perdu parce que si il l' était il n'aurait pas "l'interprétation" qu'il se fait de la société. il aurait une vision différente. De même il voudrait échapper à son destin et devenir bien, respecté, fonder quelque chose et donner un but à son existence. Mais malgrés lui il retombe inlassablement dans la solution de facilité qui, il faut bien le reconnaitre, lui convient. Peut-être parce qu'il aime ce détruitre, comme il le dit lui même: " Toujours le lendemain, pas aujourd'hui, j'ai pas envie, je suis pas motivé, je veux pas me prendre la tete. ", il ne veut pas se faire de soucis, se rendre compte qu'il n'y a plus d' espoir et que le seul moyen de sortir de cette enclave serait de chenger radicalement. Mais il désir rester égal à lui même, sauf que, cette image qu'il donne de lui crée un malaise à la société.
C'est un personnage non-conforme, qui se fit à lui même et qui n'a pas besoin de l' avis des autres pour subsister. Malgrés ça, étant un être humain, il a besoin d'un minimum de soutien de la part de la collectivité pour se sentir accepté. Il s' attache aux personnes qui comptent le plus à ses yeux, ce qui prouve qu'il es très réservé, voir fermé; l' accès à son Lui profond n'est qu'ouvert à ceux à qui il donne son entière confiance.
Il mène une vie de décadence et il en a conscience. Seulement il est encre trop jeune, trop expérimenté, pas assez fort pour se relever et repartir du bon pied. Même si la chute est pessimiste et qu'elle montre qu'il n' a pas cenger, on peut tout de même espérer qu'un jour il s'en sortira, parce qu' il le voudra, qu'il le décidera.
L' histoire n'est pas fermé, elle laisse aux lecteurs optimistes un once d'espoir et convient aux lecteurs pessimisstes du fait de sa fatalité.

Personellement je trouve ce texte génial, il est simple et cadencé et porte un message important, celui de la détresse. Le personnage est attachant, on voudrait lui venir en aide et le soutenir.

En ce qui concerne un espace philosophie sur le forum se serait vraiment une bonne idée même si peu de gens comprendrait vu tout les incults qu' il ya sur ce site ... Bref.
Je pense que tout le monde cherche sa place dans la oiété sans vraiment jamais la rouver, on est tous plus ou moins remplaçable.
Une touche d'espoir ?? 19/20 01/01/2007 à 15:54
houla trop la flemme de lire Shocked





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Rire
Une touche d'espoir ?? 20/20 02/01/2007 à 04:44
Merci Sarah de cette reponse constructive a l'extreme.

Putain, fallait y penser, deterrer ce texte Mr. Green

"Fin merci pour l'appreciation.
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