La Fosse
Gouffre sordide, esprit morbide...
Ils furent tous rassemblés et en une seule masse assemblés ;
...Ame tranquille, sentiments futilles.
Un par un, executés, dépecés puis fusionnés.
La machine semblait instopable,
Lui serait à jamais impardonable.
Pourissant, son cerveau ocultait l'émotion,
Enclavant éternellement sa seule compassion.
Rage de vivre, souffle de crime,
L'incontrolable furie consommait la rivière de vie.
Un pas, une lame, un ravage,
Les gèstes répétés se profinaient,
Et il dégustait la vue sanglante, sur les plaies béantes.
Figés, ses nouveaux clients dansaient sur le morne
Autour de poupée décomposées, mutilées.
L'opéra silencieu se nommait tragédie.
*# BL@Y$TRO $QU@D #*
Bon j'm pa la fin mais pck je mankais dinspiration...
Pour ceu ki on rien compri on va dire ke je sui "èrmétik" a tte compréhension...
:twisted: La Fosse :twisted: |
1/5 |
29/11/2004 à 18:40 |
bon en me relisan je me trouve nul
:twisted: La Fosse :twisted: |
2/5 |
29/11/2004 à 18:45 |
franchement il est arde! lol mais j'aime bien le style!!
:twisted: La Fosse :twisted: |
3/5 |
29/11/2004 à 18:57 |
Je croi ke c plus bo dans ma tete
:twisted: La Fosse :twisted: |
4/5 |
29/11/2004 à 20:20 |
franchmen c t tro bien
ta plin d'imagination dan ta tête toi
trè bo
bravo
kiss
kiss
jtdr
amélie
:twisted: La Fosse :twisted: |
5/5 |
01/12/2004 à 11:23 |
si vous volé comprendre ce poèm il fo vous laiC allé...