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rock_n_roll |
Une pluie |
6 |
11/04/06 à 23:38 |
Les tréfonds de mon coeur sur la route du temps
Les vents de langueur du soleil d'antan
Le Zéphir chaud du Nord, soufflant sur le présent
Et les enfant qui jouent, futur d'un maintenant
[sur le macadam.
La légère bruine de printemps pleurant sur les champs
Les blés qui jouent, aux caresses du vent
L'orage se lève, et l'on se noit, et l'on se meurt
Et sous le ciel bas et lourd, les enfants se leurrent
[sous les taules de fer.
La pluie tombe, et l'on chagrine son malheur
Sous un ciel rouillé de la lassitude des heures
Là où les hommes se tuent, là où je survis.
Comme un phenix de glace renaissant des moires
S'abattant sur la taule chaude de l'espoir
Là où je vis, là où j'ai peur, et ou ils meurent.
Une pluie |
1/6 |
11/04/2006 à 23:56 |
Une pluie |
2/6 |
12/04/2006 à 00:12 |
Merci, me sent moins seul
Une pluie |
3/6 |
12/04/2006 à 00:32 |
o ba c'est tres joulie dit donc zaime bienn !!!
Une pluie |
4/6 |
12/04/2006 à 00:37 |
J'ai respecter pas mal de regle de la poésie, meme si j'ai écrit principalement avec ce que l'on apellerai "l'écriture automatique" . J'ai tenu l'alexandrin pour 6 des vers des 2 premiers quatrains...
Suivit de 2 tercet en decasyllabes...
Un sonnet qui n'en a pas l'air, j'ai fait une merde quand je l'ai copié ici.
Une pluie |
5/6 |
14/04/2006 à 10:00 |
C'est super beau !!
Une pluie |
6/6 |
14/04/2006 à 13:27 |
Merci