Voilà une petite histoire que j'ai crée il n'y as pas longtemps et que j'aimerais vous faire partagé pour avoir vos avis. Bonne lecture (: !
- C'était un soir de Décembre, froid, nuageux. J'avais à cette époque là 18 ans et je venais de me faire larguer. Je passais mes soirées dans mon bar fétiche à picoler et à pleurer sur mon sort de fille à papa qui ne trouvera sûrement jamais l'amour. Comme à mes habitudes je me dirigeais vers le bar, il était environs 21h. J'ouvris la porte et m'asseya sur le siège le plus près du comptoir. Je demanda d'abord une bière, puis un whisky, puis une vodka, quand vers 23h30 un groupe de jeune rentra dans le bar, ils devaient avoir entre 18 et 20 ans, ils étaient tous beau autant les uns que les autres, mais lui là ce bel inconnu qui me tapa dans l'œil il était irrésistible, et encore le mot est faible. Je passa la soirée à écouter leurs conversations en espérant que mon coup de foudre vienne m'adresser la parole, en vain. La nuit continua son court et moi je resta là dans ma déprime. Le groupe venaient de partir, sans un mots, sans un regards. Une heure après je sortis du bar en direction de mon appartement, quand j'eus la sensation d'être suivie. Je me retourna et vu une silhouette pour le moment sombre, quand un lampadaire éclaira le personnage je put apercevoir avec étonnement et joie l'homme qui m'avait tant fait tourner la tête dans le bar. Surprise mais heureuse je fis la fille désintéressée et continua à marcher jusqu'à chez moi. Je m'arrêta, fis un demi tour de 180° et je le vis, lui et ses cheveux blonds, ses yeux bleu et ses 1m75 à peut près. Il s'avança jusqu'à moi, arriva à hauteur de mon visage et fit ce que n'importe quel homme n'aurait pas fait. Il m'embrassa. Il m'embrassa tendrement, puis sauvagement. Je me sentais comme la plus heureuse de la terre, je lui proposa de monter dans mon appartement ce qu'il approuva. Une fois dans l'appartement je lui posa de nombreuses questions sur sa vie, sur ses loisirs, et étonnamment des points en commun firent leurs apparitions, je me sentais comme redevenir une enfant, et j'aimais tant me plonger dans le bleu merveilleux de ses yeux magnifique, c'était presque m'y risqué de m'y noyer. Je vivais le bonheur à l'état pur. Quand un soir je reçu un appel de l'hôpital Sainte Marie, le docteur Mezza me demanda de venir en urgence à l'hôpital car mon mari venait d'avoir un accident de voiture, je grimpa dans ma ford fiesta et roula bien plus vite qu'a mon habitude, j'avais le visage humide de mes larmes, j'étais assombrie. Arrivé à l'hôpital on me mena à sa chambre, il était défiguré, c'était épouvantable de voir ça, il avait des égratignures et des bleus de partout sur le corps, j'aurai tant voulu que ce ne sois qu'un mauvais rêve, j'avais beau me taper la tête contre les murs rien n'y faisait, je ne me réveillais pas. Le docteur entra dans la chambre, me prit le bras et me dit doucement dans l'oreille des mots encore plus dur encore plus horrible que l'apparence de mon mari, il venait de me dire qu'il avait sans doutes peu de chance de s'en sortir vivant. J'éclata en sanglot, je ne savais plus où me mettre, on me fit sortir de la chambre, me fit patienter sur une chaise et me donna un verre d'eau. Les heures passés et je n'avais toujours pas de nouvelles, quand le docteur arriva et me pria de garder mon calme. Il me dit avec le plus de délicatesse possible que malgrès leurs effort ils n'avaient pas réussis à le réanimer. Je venais alors de comprendre que j'avais perdu l'homme de ma vie.
Un jour vient, tous s'en va . |
1/5 |
24/08/2011 à 19:07 |
Il n'y a aucune surprise à la lecture de ton histoire. On sait de suite qu'il va finir par aller la voir dans la soirée, qu'ils vont vivre ensemble, et qu'à l'hôpital il mourra.
Revois tes conjugaisons au passé simple aussi...
Un jour vient, tous s'en va . |
2/5 |
24/08/2011 à 19:10 |
Un langage plus poétique aurait été plus agréable à lire. Sinon je suis d'accord avec Insanity_, même si j'aurai été plus cru dans mes propos.
Un jour vient, tous s'en va . |
3/5 |
24/08/2011 à 19:14 |
Le jours où un médecin te fait un câlin pour annoncer la mort de qqun, tu me fais signe.
Si non eeeeeeuuuh. L'histoire n'a aucun intérêt.
Un jour vient, tous s'en va . |
4/5 |
24/08/2011 à 19:30 |
Ce "texte" est sans intérêt autant sur le fond que sur la forme. L'intrigue est dénuée de sens et d’attrait, les mots et les tournures employés sont d'une banalité affligeante, l’orthographe est calamiteuse et tu attaches trop d'importance à des détails qui ne font qu'alourdir le semblant d'excitation que trouverais un primate au cerveau atrophié à la lecture de ton texte
Un jour vient, tous s'en va . |
5/5 |
24/08/2011 à 19:43 |
Tu ne maîtrises pas le moins du monde le passé simple (alors que tu l'as appris il n'y a pas si longtemps, je trouve ça triste), contente-touah du passé composé pour le moment.
Sinon, l'histoire est très mal menée, tu sautes du coq à l'âne : d'une rencontre éclair à "votre mari se meurt", il n'y a rien qui s'est passé entre temps ? Aucun développement sur la passion, sur la découverte de l'autre, etc. Ce n'est pas en te précipitant et en oubliant la moitié d'une intrigue que tu vas accrocher le lecteur. Quand on écrit on ne fait pas la course.
Je rejoins l'avis de Momoxx.