Une grossesse, c’est porter la vie

Le test de grossesse
[pubr]Certains signes tels que les seins qui gonfles, des nausées matinales, un retard dans les règles peuvent être révélateurs d'une grossesse.
De nos jours, il existe deux moyens (courants) de savoir si l'on attend un enfant ou pas.
Il y a tout d'abord la prise de sang en laboratoire qui consiste à relever la présence d'HCG dans le sang (hormone que secrète un fœtus ). La fiabilité de ce test est de l'ordre de 100 % et, de plus, il est remboursé par la sécurité sociale avec ordonnance. Ensuite, il existe les tests que l'on fait chez soi, beaucoup plus connu et faciles d'utilisation (toutefois lire attentivement la notice afin de ne pas fausser les résultats). Dans tous les cas, le test se place en contact de l'urine est relève la présence d'HCG (qui est plus concentré lorsqu'on est à jeun). Une fois ce test fait, il y a deux solutions :
- Soit le test est positif, dans ce cas BRAVO, mais il faut rapidement prendre rendez-vous chez le gynécologue.
- Soit le test est négatif, deux cas se présentent : La fausse alerte ou bien, le test n ‘a pas était bien fait. Dans ce deuxième cas, faire un autre test quelques jours plus tard question d'être sure.

Les risques d'une grossesse
Attendre un enfant, c'est aussi prendre ses responsabilités car lorsqu'on prend des risques, ce n'est plus une vie qui est en jeu mais deux.
Pour éviter toute malformation du fœtus, dont les principaux organes se forment la première semaine, il faut tout d'abord mettre fin à l'alcool, le tabac, le café, les drogues…Pour écarter tout risque.
Il existe aussi d'autres dangers qui ne peuvent être écartés que par un suivit médical régulier. En effet, une grossesse tardive doit être suivie de prêt car la diminution de fécondité chez la mère peut entraîner des séquelles chez l'enfant (malformations, accouchement difficile et prématuré…) En effet, une grossesse tardive doit être suivie de prêt car la diminution de la fécondité chez la mère peut entraîner des séquelles chez l'enfant (malformations, accouchement difficile et prématuré…) Par conséquent, la condition physique de la femme jour un rôle important : Risque de surmenage pendant la grossesse, surprotection lors de l'éducation de l'enfant… Tout ceci a des conséquences sur l'état psychologique de l'enfant. Il existe un autre type de risque qui n'a pas de liens avec le précédant, c'est celui d'une grossesse extra utérine. Dans ce cas, l'œuf se développe dans les trompes à la place de l'utérus. Si la grossesse est suivie, une opération sans incision (en passant par le vagin) aura lieu si c'est pris à temp. Dans l'autre cas, il faudra avoir recourt à une intervention chirurgicale.
Si la trompe endommagée par le développement de l'œuf, ne peut être sauvée, il ne faut surtout pas penser qu'il n'est plus possible d'avoir d'enfants, une seule trompe suffit.

Le suivit médical
Il est nécessaire durant toute grossesse et il doit aussi être régulier. Durant ce suivit, le médecin va avoir recourt au touché vaginal qui peut surprendre au début. Il permettra de suivre l'état des organes génitaux, le bon déroulement de la grossesse, la progression du fœtus, la dilatation du col…Cependant, de nos jours son utilisation est sujet de nombreux débats.
Ensuite il y a le suivit par échographie, bien connu et surtout apprécié par les nouvelles mamans. Elles sont au nombre de trois par grossesses :
-Aux alentours de 12 semaines : c'est un bilan global du fœtus (étudient anomalies, nombre d'embryons…)
-La 22 et 32eme semaine : c'est un examen morphologique du fœtus.
L'échographie se pratique généralement par voix externe : une sonde est placée sur l'abdomen enduit d'un gel aqueux qui aide au passage des ultra-sons. L'image est plus ou moins nette selon la corpulence de la femme. Ce suivit médical permet aussi de prévenir tout risque de fausse couche (par exemple,alitement total) ou bien aider les parents lorsqu'un tel événement survient (quand refaire une tentative…)

Comment annoncer qu'un enfant arrive ?
Le père de l'enfant est le premier qui doit être au courant car c'est le premier concerné. Lui annoncer la bonne nouvelle le plus rapidement possible est souhaitable mais ceci doit se faire en grande intimité dans un moment calme. Ensuite chacune l'annonce à sa façon.
Les futurs grands-parents seront heureux d'apprendre aussi rapidement la nouvelle, mais de préférence de vive voix (par téléphone si possible) par exemple à la fin d'un bon repas. Ils seront heureux d'apprendre qu'un nouveau petit va être intégré à la famille.
Pour l'annoncer au reste de la famille, aux amis… il vaut mieux attendre la fin du troisième mois (lorsque les risques de fausse couche sont beaucoup moins élevés) et tous seront heureux pour les futurs parents.