Without you i'm nothing

Bonjour tout le monde,

ça peut paraitre absurde ou puéril de ma part, mais j'ai rencontré une fille dans un cours de théâtre en septembre 2004.Au début, je la trouvais mignonne mais c'est tout.Puis j'ai commencé à avoir envie d'elle.Puis c'est devenu sentimental.Plus le temps a passé, plus mon amour a été absolu pour elle.On est devenus amis (elle me considère comme son meilleur ami), elle a commencé à me parler de ses problèmes personnels et on s'est fortement rapprochés.En mai 2005, je me suis dit que je devais lui avouer que je l'aimais.Elle m'a gentiment répondu que ce n'était pas réciproque.Ce n'est pas éxagéré de dire qu'à partir de ce moment-là une partie de ma vie s'est brisée.Je me suis dit qu'il valait mieux passer l'éponge et laisser tomber.Mais je n'y suis pas arrivé.A partir de là ma vie a été une descente aux enfers.J'aimais déjà picoler avant mais là j'ai picolé à plein temps.Pour oublier, j'ai commencé à me droguer.Quand je la voyais j'avais les mains qui tremblaient.Je suis allé consulter et on a découvert que c'était des crises d'angoisse.Je fais souvent des crises d'hystérie,de rage, en pensant à tout ça, je me mutile.J'ai essayé une fois de me suicider.Je me suis raté mais j'ai quand même failli me casser la jambe.Je prends des anti-dépresseurs et j'en suis réduit à aller chez un psychanaliste.Depuis, j'ai une sexualité dépravée, je saute sur tout ce qui bouge.Cette fille, je donnerais tout pour elle, je mourrais pour elle.Je sais que vlus allez me juger mais tant pis.Je vais avoir 15 ans le 21 mars, mais je n'aurai pas 15 ans.Je ne peux pas envisager ma vie sans elle un seul instant.Je vais donc mettre fin à mes jours le 20.Mes parents sont dans le mileieu médical donc je ne saurais pas me louper (médicaments).Je lui ai dit, elle va essayer de trouver une solution pour m'empêcher de le faire.C'est elle ou rien.C'est la seule chose qui me ferait changer d'avis.Sans elle, je ne suis plus rien.Je sais que bous allez me juger mais tant pis.
Vivement le 20 mars pour éviter ce calvaire.
Bisous à tous.

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