Bonjour!
Je ne vais pas y aller par quatre chemins, je pense que je suis folle.
J'ai fais plusieurs crises d'angoisse quand j'étais avec mon copain sur Annecy en cachette (ce n’est pas bien et c'est bien fait pour moi, j'avoue) Elle était violente (nausées, mal être intense, bref, insupportable)
De plus, depuis toujours je me refuse de penser à mon avenir.
Vous allez me dire pourquoi, et je vais vous répondre que j’ai peur passer mon permis (ou du moins, de conduire dans les rues, j’ai peur de ne pas être à la hauteur), je ne me vois pas passer mon Bac, ni me marier, ou encore avoir des enfants. J'aimerai fuir tout ça pour ne plus ressentir ce sentiment de peur mais je ne peux pas.
Je pense que je souffre aussi de paranoïa assez "méchante".
Souvent, le soir, quand mes parents sont partis ce coucher et que l'appartement est dans l'obscurité, je flippe vraiment. La nuit je ne me lève jamais pour aller au WC.
Le soir avant de m'endormir, je regarde toujours autour de moi, j'écoute les bruits, le silence et les bruits me font peur.
J'ai peur d'un incendie, d'un tremblement de terre, qu'importe, mais un problème du genre.
Quand je vois les infos et que je réalise à chaque fois qu'en une seconde, on peut mourir, on peut perdre un ami, on peut tomber gravement malade.
Je le sais, mais a chaque fois c'est comme si je prenais une claque dans la figure.
J'ai peur de Vivre et j'ai peur de Mourir.
Je ne peux pas demander a mes parents de voir psy, mes amis de sont pas au courant de mes angoisses, je doute que quelqu'un peut m'aider à aller mieux, mais j'avais juste envie d'en parler.
Je sais aussi que tout le monde a vécu une vie et qu’il n’en ai pas mort (ah ah jeu de mots très naze), mais il se trouve que moi, je suis dans mon propre film et que la vie des autres n’arrangera pas ma vie.
P.S: J'ai toujours trop réfléchi, et je pense que j'en paie le prix.
Angoisse, paranoïa, suis je folle ? |
1/25 |
16/04/2009 à 12:26 |
Quand je vois les infos et que je réalise à chaque fois qu'en une seconde, on peut mourir, on peut perdre un ami, on peut tomber gravement malade.
C'est pour ça qu'il te faux profiter de la vie, tant qu'il y en a encore, en se disant qu'on a de la chance d'etre en vie, de le savoir et de le dire.
Je radotte, mais ce principe est fondamental.
Angoisse, paranoïa, suis je folle ? |
2/25 |
16/04/2009 à 12:32 |
Je ne peux sortir la journée que quelques fois par semaine, le soir, j'en parle même pas.
Je n'ai pas le droit de fermer la porte de ma chambre.
Mon copain m'a quitté car notre relation a distance devait invivable car on peut pas ce voir.
Même maintenant qu'il est dans ma ville, on peut pas avoir de relation, car on ne se verra qu'une heure, voir deux maxi.. Pas non plus de relation intime, si je dois être chez moi à 19h.
Comment profiter, quand tous tes amis s'éclatent sans toi ? Car eux, c'est le soir qu'il profite de la vie.
Je le redis encore et encore, Carpe Diem n'est qu'un mensonge pour faire croire qu'on peut profiter de tout, tout le temps, mais il y aurai toujours des obstacles.
Angoisse, paranoïa, suis je folle ? |
3/25 |
16/04/2009 à 12:32 |
Aucun intérêt de se complaire dans ses craintes. Cesse de te murer dans la paranoïa ( de mâter la tv aussi, parce que mieux vaut se flinguer vu toutes les conneries qu'ils passent), d'avoir peur de tout et n'importe quoi et explose ( c'toujours mieux que d'imploser hein). Paraît que c'est plus pratique pour vivre.
Angoisse, paranoïa, suis je folle ? |
4/25 |
16/04/2009 à 14:10 |
J'ai connus pas mal de tes symptomes, donc je pense pouvoir t'aider.
Tout d'abord, sache qu'on ne peut pas trop reflechir. Bien que je le pensais aussi fut un temps. On peut mal reflechir, mais pas trop reflechir. Il suffit juste d'un petit peu structurer cette reflexion un minimum, lui donner des bases stables, et quelques mots d'ordres à suivre, une fois fait, ta reflexion devient un outil génial, crois moi =).
Ensuite, un psy, malgrès la teinte péjorative que ça prend actuellement, c'est très très utile dans certains cas, dans d'autres, peu. Mais c'est rarement inutile. J'ai consulté un psy pendant 4 mois ya 3 ans. Il me parlait peu, j'avançais, et il m'ouvrait les portes quand celles ci étaient fermés. Sans dire grand chose il m'a fait parcourir un sacrès bout de chemin mentalement. Il m'a décrit en un bref resumé, pour conclure cette therapie, et ses mots m'aident enormement quand je me remet en question.
Bref.
Pour ce qui est des crises d'angoisses. Ca peut être dût à un max de choses. Est ce que tu fumes des joints tout d'abord? Ca peut être lié. Tu as des crises d'angoisses de façon chroniques? (A un moment precis de la journée, ou dans un lieu que tu traverse regulierement) Ou elles viennent de façon ponctuelle? Je connais très bien la sensation qui s'empare de toi dans ces cas là, c'est très desagréable, et sache que tu generes, sans t'en rendre compte, 75% du mal qui te ronges sur l'instant.
L'important dans ces cas là:
Respirer correctement, c'est à dire profondement, et lentement. Le mieux étant d'inspirer par le nez et d'expirez par la bouche.
Aussi, évite de rester à un même endroit, marche, sort de la pièce où tu es.
Concentre toi sur quelquechose d'extrement positif. Si tu fais du theatre, revise la pièce que tu joues ces temps ci. Si tu as vu un bon film reccement, repense aux scenes qui t'ont plus, etc...
Pour ce qui est des angoisses pré-nocturnes, je connais encore ça occasionellement, et ça peut vite devenir un cauchemar, le mieux reste d'en parler, de rester objectif, de braver ses peurs sans hesitations, avant qu'elles ne prennent trop d'ampleur, et de ne pas hésiter à laisser une source de lumiere allumée.
Angoisse, paranoïa, suis je folle ? |
5/25 |
16/04/2009 à 17:16 |
Je n'ai eu des crises d'angoisse que quand j'étais avec mon ex. J'ai du en fais...5 ou 6 seulement (Et c'était quand la situation m'angoissaient vraiment, logique, exemple stupide et j'ai un peu honte, quand il m'a dit qu'il m'aimait au téléphone pour la première fois, j''en ai été malade, j'ai fais direct une crise, j'ai du lui raccrocher au nez et courir au WC) mais elles se sont arrêtées. Ou du moins, beaucoup moins violentes. Je ne fume pas du tout. Donc cela ne vient pas de ça.
Je pense que cela vient d'un manque de confiance en soit assez important.
Quand je parle de trop réfléchir, c'est que je me pose trop de questions sans réponse et pas importantes du tout.
J'aimerai voir un psy, mais je peux pas sans passer par mes parents, donc cette idées n'est pas du tout envisageable malheureusement.
Comme tu le dis, le soir, bah je me force a sortir dans le couloir pour aller à la salle de bain si j'ai besoin, mais je flippe quand même beaucoup. Et je sais pas de quoi j'ai peur, je sais qu'il n'y a rien.
Chaque soir, je ferme les portes de mon armoire, je les aligne au centimètre prêt !
Angoisse, paranoïa, suis je folle ? |
6/25 |
16/04/2009 à 17:29 |
C'est normal d'avoir peur de tout ça, tu es une ado maintenant, tu as quitter le monde de l'inscousciance, tout le monde a peur de ce genre de choses, après chacun vis avec de manière différente, dans ton cas j'ai grave l'impression que ça te bouffe la vie , donc là c'est un problème, une angoisse ou quelque chose du genre n'est pas gravissime tant qu'elle ne dérange pas la vie de la personne elle-même, au dela de ça , si ça persiste ,faudrat que t'ailles voir un psy ou quelqu'un pour en parler...
& ne considère pas la vie comme un obstacle, comment tu pourrais sortir le soir si tu as déja peur en journée ?! C'est toi qui te met déjà des barrière, bon après chez toi bah c'est 19h le couvre feu , ça tu peux pas le passer, mais genre le weekend si tu vas chez des amies, dormir ou autres, c'est ça aussi profiter de la vie.
Angoisse, paranoïa, suis je folle ? |
7/25 |
16/04/2009 à 17:30 |
Que ton manque de confiance en toi augmente les facteurs de crise d'angoisse, c'est possible, mais ça ne peut pas en être la seule cause, il faut un élément déclencheur chronique, en plus du choc emotionel. Je te conseille de lire l'article concernant les crises d'angoisses sur Wikipedia, c'est toujours interessant de savoir ce qu'en pense les pros =).
Tu lui en avais parlé, des tes crises, à ton ex? Le dialogue, c'est la clef. Je me souviens qu'après en avoir parlé à une proche très proche, je me sentais déjà à moitié mieux quand ça m'arrivait. Disons que devoir cacher ce probleme, decuplera son pouvoir sur toi. Ca serait comme t'isoler dans un lieu clos, avec une vilaine bêbete.
Pourquoi ça te gène tant de parler d'un eventuel suivit psychiatrique de courte ou moyenne durée, à tes parents? Peur de leurs réaction? D'un envahissement de leurs part?
Après, pour les crises d'angoisse le soir, tu peux aussi essayer de te coucher en même temps que tes parents, ce qui aura tendance à beaucoup te rassurer. Après, si tu as un animal de compagnie, tu peux l'inviter à pionser près de toi, une présence rassure toujours. Tu n'aurais pas une certaine crainte de la solitude?
M'enfin le probleme des angoisses nocturnes, ça peut devenir invivable, il faut trouver la source du probleme, et l'analyser dans les moindres details pour pouvoir le resoudre. Et ça passe souvent par un psy, mais un proche très à l'écoute peut très bien "faire l'affaire".
Après, tu as peur de quoi concretement durant les nuits? Si tu ne sais pas vraiment, que tes idées à ce sujet son vagues, alors un travail psychologique autonome ou non est essentiel, car t'as un bout de chemin à faire.
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8/25 |
16/04/2009 à 17:41 |
Mon ex a bien vu que défois sa allait pas, car quand j'étais plus très poche de lui car j'allais mal, sa se voit tout de suite, mais je lui ai pas dis la cause ni rien, j'ai dis que c'était le fait de mentir à mes parents pour venir sur Annecy, ce qui est vrai.
Comme je l'ai dis dans un commentaire, mes parents refusent que je ferme la porte de ma chambre, ce qui est stupide ? Donc je me vois pas leur dire que j'ai besoin d'un psy, ils vont me demander pourquoi, se moquer de moi en disant que j'en ai pas besoin... Je réfléchis au moins une semaine avant de demander a mes parents l'autorisation de sortir, ou d'inviter ou de dormir chez une amie... C'est l'angoisse du "NON".
Je ne sais pas de quoi j'ai peur, c'est vrai que quand je me couche en même temps, ca va mieux, mais bon, je me couche a quoi...15 mins d'intervalle par rapport a mon père, j'ai pas le droit de veiller au delà de minuit alors.
Je ne sais pas de quoi j'ai peur, d'un incendie, d'un problème de gaz ou autres conneries du genre... Ou qu'il arrive un truc a mes parents. Rien que quand j'entends quelqu'un tousser, je me retourne tout de suite pour voir si il ne s'étouffe pas, je suis Parano u_u
Oui, sa me pourri la vie..
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9/25 |
16/04/2009 à 17:52 |
Je vois, donc rien à voir avec une peur de la solitude, c'est plutôt un sentiment d'insecurité empathique si j'ai bien compris?
Après, saches que tes parents sont avant tout là pour t'aider, et t'aimer, quoi qu'on en dise, et quel que soit le serieux de leurs comportement.
Parles leurs en, n'aient pas peur d'un Non, car de toute façon, c'est dans le concret que tu pourras avancer, certainement pas dans le doute. C'est d'ailleurs la clef, le concret.
Déjà, si j'ai bien compris, tu communiques assez peu avec tes parents, tu as une certaine peur d'eux, et donc de ce fait, si tu leurs parles sincerement, et que tu leurs dis tout (Au sujet des angoisses nocturnes principalement, un seul argument suffira, tu pourras ponctuer ton argumentation par un "Et si ce probleme m'a poussé à passer le cap d'aller voir un professionnel de la psychologie, c'est loin d'être le seul, et à vrai dire, j'aimerais y voir plus clair, sur beaucoup de points, donc certains qui font parti de mon jardin secret, bla bla bla"), ils te prendront d'autant plus au serieux, car ils n'auront pas l'habitude de te voir ainsi.
Après, je te déconseille de leurs parler au deux en même temps. On est toujours plus con à plusieurs. Et puis, j'imagine qu'ils n'ont pas un avis unanime sur tout, l'un des deux doit certainement être plus ouvert à ce genre de choses que l'autre (Mon père n'a appris que très tard que j'avais vu un psy, car il n'aurait jamais compris, et d'ailleurs, m'a fait comprendre qu'il ne pigeait pas pourquoi je ne parlais pas à lui plutôt qu'à un "escroc").
Au pire des cas, une fois le cap du dialogue parental franchit, et si ils ne te prennent definitivement pas au serieux, tu peux aller voir le psychologue de ton lycée, ou même un prof (de qualité biensure, pas le connard finis qui est dépourvut d'empathie et de pédagogie), qui pourra ensuite dialoguer avec tes parents, faisant certainement avancer le débat (Un avis exterieur est clairement un atout vis à vis des parents, et ce, dans tout les cas).
Tu as essayé de dormir dans une autre pièce pour voir, aussi?
Angoisse, paranoïa, suis je folle ? |
10/25 |
16/04/2009 à 18:10 |
Je ne peux pas, je ne veux pas leur parler, je ne peux pas.
C'est impossible, je ne peux pas et je ne veux pas. Vraiment, c'est l'une des dernières choses que je voudrais.
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11/25 |
16/04/2009 à 18:14 |
Anakholde a écrit :
Je ne peux pas, je ne veux pas leur parler, je ne peux pas.
C'est impossible, je ne peux pas et je ne veux pas. Vraiment, c'est l'une des dernières choses que je voudrais.
Pourquoi?
Angoisse, paranoïa, suis je folle ? |
12/25 |
16/04/2009 à 18:18 |
Colo_ a écrit :
Anakholde a écrit :Je ne peux pas, je ne veux pas leur parler, je ne peux pas.C'est impossible, je ne peux pas et je ne veux pas. Vraiment, c'est l'une des dernières choses que je voudrais.Pourquoi?
Certaines personnes ne peuvent pas expliquer le blocage qu'ils ont vis à vis de leurs parents. Mais c'est vrai que parfois la relation parent/enfant ne permet pas à l'enfant de se confier. C'est triste mais c'est comme ça.
Angoisse, paranoïa, suis je folle ? |
13/25 |
16/04/2009 à 18:25 |
Car c'est en partie a cause d'eux que je vis très mal (en dehors de ses angoisses) ou alors peut être que c'est aussi à cause d'eux ?
Car je veux partir le plus vite des chez moi pour ne plus avoir a les regarder et a les supporter chaque jour.
Que c'est pas parce qu'ils me donnent le minimum vital que je devrais être satisfaite comme beaucoup le disent. (pas vous, surement)
Je ne veux pas qu'ils soient au courant de ma vie, et encore moins de mon mal être.
Angoisse, paranoïa, suis je folle ? |
14/25 |
16/04/2009 à 18:32 |
I AM NUDE a écrit :
Certaines personnes ne peuvent pas expliquer le blocage qu'ils ont vis à vis de leurs parents. Mais c'est vrai que parfois la relation parent/enfant ne permet pas à l'enfant de se confier. C'est triste mais c'est comme ça.
Tout problème à une cause. J'ai pendant très longtemps eut un blocage vis à vis de mon père, a tel point qu'être dans la même pièce que lui provoquait chez moi de serieuses crises d'angoisses. A l'epoque je disais avoir peur de lui, tout simplement, et je n'avais que de piètres hypotheses quand aux raison de ce mal-être.
Finalement, grace à une aide exterieur, et un approfondissement de mes recherches psychologiques, j'ai découvert le pourquoi du comment, petit à petit. Et petit à petit j'expliquais d'autres maux, simples ou complexes, jeunes ou au contraire, très anciens, génants ou negligeables, qui étaient directement ou indirectement liés à celui ci.
De façon métaphorique, on pourrait dire que la meilleure façon de supprimer un chateau de carte, c'est d'enelever celles du bas. Tandis que notre premier reflexe, spontanement, c'est d'enlever celles du haut.
Mais mon image est beaucoup beaucoup trop simpliste, on n'imagine parfois pas que certaines cartes étaient sur le même chateau, et que l'une était reponsable du placement de l'autre.
Pour être plus clair, nos sentiments, et nos relations avec nos parents, sont à mes yeux, le soucis de beaucoup de choses, pour peu qu'elles soient floues et difficiles.
Donc pour conclure, ce n'est pas à négliger, et à boucler en disant "C'est ainsi".
Anakholde a écrit :
Car c'est en partie a cause d'eux que je vis très mal (en dehors de ses angoisses) ou alors peut être que c'est aussi à cause d'eux ?
Car je veux partir le plus vite des chez moi pour ne plus avoir a les regarder et a les supporter chaque jour.
Que c'est pas parce qu'ils me donnent le minimum vital que je devrais être satisfaite comme beaucoup le disent. (pas vous, surement)
Je ne veux pas qu'ils soient au courant de ma vie, et encore moins de mon mal être.
J'ai tenu ces propos un nombre de fois incalculable, et je comprend plus que bien ce que tu ressens à ce sujet. Et à l'époque, je detestais qu'on me dise ce que je vais tenté de te dire, plus delicatement, et avec un peu plus de comprehension, cette fois:
Tu n'peux pas véritablement être objective à ce sujet, je ne dis pas que je suis mieux placé que toi pour juger de tout ça, loin de là, je connais qu'une infime partie du probleme. Mais par experience personnelle (ou pas), je penses clairement qu'un profond blocage c'est formé en toi à leurs sujet, et qu'il te pourrit profondement la vie, comme dit plus haut. Ya pas de solution miracle, ni de réel declic. Mais, tente, toi qui reflechis beaucoup, d'être la plus objective et rationelle possible. En gros, tu visualises ta situation, mais avec d'autres protagonistes, en oubliant tout ce que tu sais, ou pense savoir, au sujet de la situation, tu jettes un regard neuf sur ta situation famillial, comme le ferait un inconnu, en essayant de comprendre la psychologie de chacun, à l'instar d'un film que tu regarderais. Essayes d'extrapoler de façon construite et reflechie, afin d'au mieux, comprendre Pourquoi fait il ou fait elle ça?. Mais aussi, Quelle impression dégage les personnes. Ai un regard objectif de même qualité pour tes parents retransposé, que sur toi même.
Si tu es tentée d'essayer, tu constateras que c'est un long travail, mais qui porte d'excellent resultats. D'autant plus si tu as l'habitude de beaucoup cogiter.
On pourrait appeler ça le relativisme, mais c'est pas tout à fait ça.
Et, pour être passé par là, vis à vis de mes parents, et ayant pris quelques temps pour en arriver à une comprehension elevé des reactions de mes parents, je peux te dire que non seulement ça arrange enormement de choses sur le plan relationnel famillial, mais aussi au quotidien.
Tu te sens beaucoup plus aptes à discuter, rencontrer, parler, et, en definitive, tu ameliores nettement tes rapports avec les gens.
Sans vouloir faire du prosélytisme, ça a nettement amélioré mon quotidien.
Angoisse, paranoïa, suis je folle ? |
15/25 |
16/04/2009 à 18:35 |
Évidemment que les parents sont souvent pour quelques choses, enfin, notre vision de nos parents..
C'est un peu la base de notre vie jusqu'à nos 18 ans, jusqu'à qu'on parte de chez nous.
Angoisse, paranoïa, suis je folle ? |
16/25 |
16/04/2009 à 18:41 |
Mouais, moi j'ai des crises d'angoisses quand je vais dormir chez les autres (apar ma meilleur amie). Même chez les personnes de ma famille. C'est un moment horrible, je sais pas de quoi j'ai peur, c'est sa le pire, donc comme je sais pas c'est encore pire je trouve. Je fait surtout des crises d'angoisses quand je suis dans une maison ancienne. C'est peut-être le vécu.. Je sais pas. Mais une chose est sur, il faut que tu penses à quelque chose de positif, un délire entre ami, un bon souvenir. Ou que tu te mettes sur ton lit alonger, les bras et les jambes détendu, et bien respiré. Une dame m'avait aussi dit de me fixer un panneau " STOP " dans la tête, un panneau stop dans un belle endroit bien feuillu et fleuri ... Sa peut peut-être marché ...
Moi aussi j'ai peur la nuit quand j'ai les volets fermé et tout, donc depuis un petit bout de temps je dort les volets ouvert et sa va mieux, je regarde les étoiles c'est cool =). Pour l'instant ça fait longtemps que j'ai pas refait de crise. Mais j'ai aussi peur, quand je suis malade, j'ai comme une phobie de vomir c'est horrible, alors du coup j'angoisse parce que j'ai peur de vomir, il m'est impossible de me couché dans mon lit, du coup soit je reste la nuit aux toilettes, soit je vais sur m'assoir sur mon lit ou sur le canapé ou bien je vais sur l'ordi malgré que je ne vomit pas, c'est juste une peur parce que j'ai des nausées ...
Donc je te souhaite bon courage =) !!
Angoisse, paranoïa, suis je folle ? |
17/25 |
16/04/2009 à 18:45 |
Voir mon precedent post, edité =).
Angoisse, paranoïa, suis je folle ? |
18/25 |
16/04/2009 à 18:55 |
Je n'ai pas assez de courage, je sais que se sera bénéfique (ou pas) pour moi, mais je ne peux pas, je n'arriverai pas a le faire et franchement, je ne veux pas. C'est "important" je ne peux pas.
En plus, je déteste changer mes habitudes.
C'est trop dur, j'ai plus aucune envie de me forcer a changer quoi que ce soit.
Je fais en sorte de les supporter, de faire "belle famille", mais je garde en tête le moment ou je partirai de chez moi. Je veux cette liberté qu'ils ne m'ont jamais donner. Ils ont chacun 64 ans et 53 ans. Est ce que je peux vraiment les mettre au gout du jour et les "décoincer" ? Ils sont "ringard". Ma mère réunit tout ce que je déteste, j'ai passé les 4 dernières années a lui voit tous ses défauts, je n'arrive même plus a faire les efforts nécessaire pour les oublier. Sa faisons de marcher, de manger la bouche ouverte, de parler... Tout.
Je le dis, je ne peux pas, c'est vraiment plus fort que moi. Je n'ai plus ce courage contre eux.
Angoisse, paranoïa, suis je folle ? |
19/25 |
16/04/2009 à 19:05 |
Oui, elle t'horripile, à l'instar de ma grand mère ya encore quelques temps. Mais comme dirait l'autre Tout parrait jaune à qui a la jaunisse. M'enfin, je dis ça, juste pour joliement ponctuer l'agonie de ma rethorique n'ayant pas trouvé sa place chez toi =).
Ce qui est paradoxal, c'est que tu dis que l'une de tes angoisses nocturne, est qu'il arrive quelquechose à tes parents. Pourtant tu as tiré un trait sur ce que tu ressens pour eux, et surtout pour elle. Signe d'un conflit interieur, qui d'ailleurs est logique.
M'enfin mon but c'est pas de te faire adhérer à quoi que ce soit, juste à essayer de t'y faire voir plus clair.
Malgrès tout, il reste la solution du psychologue scolaire, au près du quel je n'ai strictement aucune expérience, mais qui dois propablement respecter la même règle que les autres: Aucun n'est pareil qu'un autre, certains diront qu'il n'a pas merité son rang, d'autres, qu'il a été un élement declencheur immense dans leurs vie.
Donc je te conseille d'aller le voir =).
Après il y a certainement tout un tas de choses qui te permettront de voir un psy sans passer par les parents, je doute que ce soit le soucis =).
Angoisse, paranoïa, suis je folle ? |
20/25 |
16/04/2009 à 19:31 |
J'ai dis que j'avais peur du changement, si quelques choses arrivaient a mes parents, les choses changeraient et les gens seront tristes.
L'infirmière qui était la psy du lycée a été virer car elle a fait des choses pas très catholique au directeur qui lui a démissionner
J'aime mon lycée Catholique !
Puis je suis pas méchante. J'ai déjà assez de haine ^^
Comment je peux voir un psy sans passer par eux ? Et les frais ?