Bonjour, je fais ce texte juste pour connaître une analyse extérieur par rapport à ce point de vue auquel je réfléchis depuis pas mal de temps, je vous l'expose sans aucune prétention, sans envie de vous le faire adopter, sans non plus l'envie d'avoir raison, je souhaite juste avoir des réactions
Je pense déjà que notre niveau de bonheur et de malheur se base sur une chose : le quotidien, imaginons ce quotidien comme une ligne droite, le bonheur la faisant monter, le malheur, baisser.
Un homme banal et "aisé", dirons nous, son quotidien se résume à dormir, dans un lit, travailler, manger, et puis des loisirs, c'est son quotidien, toutes ces actions sont classiques pour lui, le fait d'avoir la possibilité de les accomplir ne le rend pas spécialement heureux, au mieux il peut se dire "J'ai quand même de la chance", mais ça ne changera pas grand chose. Je mets les loisirs à part car certes, cela lui apporte du bonheur, sinon il ne les ferait pas, mais, imaginons qu'il pratique un sport une fois par semaine, ça fait aussi partie de son quotidien, alors oui il va être heureux pendant la courte pratique de son loisir -et encore, ce n'est pas certain- mais sa "ligne" de bonheur va rapidement reprendre son court classique.
A côté de ça, imaginons un sdf, à priori, il est nettement plus malheureux, il n'a pas de quoi se loger, dort dans la rue, sous un porche avec un peu de chance, a un repas par jour lorsque les gens sont de bonne humeur ou ont besoin de se donner bonne conscience, il ne songe même pas à avoir des loisirs, mais tout ça, c'est son quotidien aussi, s'il a la possibilité de dormir dans un lit, cela lui apportera un bonheur immense, alors que le fait de dormir dans un lit, pour l'homme précédemment décrit, n'est que son quotidien, ne lui apportant donc pas de bonheur -sans pour autant le rendre malheureux-.
Pour que cet homme aisé éprouve proportionnellement le même bonheur que le sdf qui peut dormir une nuit dans un lit, il faudrait quelque chose de nettement plus fort.
A l'inverse, imaginons que cet homme aisé se retrouve à la rue du jour au lendemain, son monde s'écroule, il est totalement désabusé, à côté de ça l'homme qui est sdf depuis des années n'est pas autant malheureux, pour lui c'est le quotidien, il est habitué, tout simplement.
Je crois que, plus que de bien matérielle ou de réussite social, le bonheur est entièrement dépendant du quotidien, alors oui, la routine peut mettre plus ou moins de temps à s'installer selon les personnes, mais elle finit toujours par s'installer, obligeant son acteur a toujours essayé de posséder ou à ressentir plus pour augmenter son capital bonheur.
Et encore, quelqu'un qui vit tous les jours de nouvelles expériences, -je n'ai pas autant réfléchi à cette idée qu'au reste- est ce que le fait de ne jamais vivre la même chose peut devenir son quotidien ? Est ce que le fait de se lever chaque matin en se disant "Aujourd'hui je vais vivre des sensations fortes" n'atténue pas finalement le bonheur que vont lui apporter ses actions ? Le fait de savoir à l'avance que cette journée aura quelque chose de nouveau pour lui, ça doit un peu gâcher la surprise...
Comme quelqu'un qui saurait à l'avance qu'il va lire un livre, ou qu'il va écouter un morceau de musique, sans pour autant savoir de quoi parle ce livre ou bien le style de la musique, il est très possible qu'il ne nous plaise pas, à partir de là, le fait de lire un livre qui nous plaît le lendemain nous apportera nettement plus de bonheur que si on avait aussi eu l'occasion de lire un autre livre plaisant la veille, dans le cas contraire, on se souvient de ce livre que nous n'avons pas apprécié, sur lequel nous avons passé un mauvais moment pour se rendre compte que l'on a la chance de lire un livre agréable...Jusqu'à ce que nous lisions celui ci tous les jours, il ne deviendra que notre quotidien, sauf si nous avons donc été "malheureux" la veille pour constater notre bonheur actuel.
On en revient au même, cette ligne de bonheur aura baissé la veille, pour dépasser sa moyenne le lendemain, et finira par se stabiliser avec la routine -à un niveau moindre que qu'au début de l'action qui engendrera cette routine, mais à un niveau supérieur à cette "veille"-
Tout ça pour dire que selon moi, le bonheur est entièrement dépendant du quotidien, et que chaque action développe une accoutumance en nous, nous forçant toujours à en vouloir plus, je ne pense pas qu'un SDF soit sensiblement plus malheureux qu'un homme riche / beau / intelligent / populaire ou que sais-je...Tout simplement parce qu'ils finissent tout deux par avoir leur quotidien.
Je me suis peut être répété mais j'ai vraiment envie que vous compreniez ce point de vue, c'est pour ça que je me suis efforcé de donner divers exemples, désolé si ça paraît répétitif, brouillon ou difficilement compréhensible.
Donc merci de donner votre ressenti sur tout ça, je ne répondrai pas forcément mais soyez sûrs que je vous aurez lus.
Je finirais ce post par une citation D'Henry David Thoreau qui, je trouve fait une merveilleuse conclusion à tout ça : "Travaillerons nous toujours à nous procurer davantage, et non, parfois, à nous contenter de moins ?"
Mon point de vue sur "le bonheur" |
1/21 |
21/02/2010 à 01:45 |
Ouais on peut voir ça comme ça
Mon point de vue sur "le bonheur" |
2/21 |
21/02/2010 à 02:11 |
J'allais te répondre tout à fait dans ce sens avant d'avoir lu la conclusion de ton post.
Je pense qu'elle gagnerait à être développée (bien que Thoreau l'ait très bien fait lui-même) ici.
Personnellement, je crois qu'il faut distinguer plusieurs choses, lorsque tu écris, ce qui je pense résume ton analyse "chaque action développe une accoutumance en nous, nous forçant toujours à en vouloir plus".
Pour y remédier, il y a, selon moi, à la fois l'idée de repenser nos désirs (on est en plein dans l'Epicurisme) et celle de se défaire des habitudes pour apprécier réellement ce que l'on a et ce que l'on est. Soit, donc, une idée de liberté, de remise en question illimitée, qui permet à la fois de s'arracher aux sentiments de manque, ainsi que d'accoutumance, quant aux besoins artificiels, et au sentiment d'inertie, en nous rendant le goût de la découverte.
Mon point de vue sur "le bonheur" |
3/21 |
21/02/2010 à 10:20 |
Je ne suis pas d'accord.
Tu accordes trop d'importance à " l'inertie " de l'humeur. Elle existe, c'est évident, mais n'est exacerbée que chez les gens dévorés par l'ambition (pas les ambitieux normaux) et les gens qui ont renoncé à prendre leur vie en main.
Ensuite au niveau du travail, pourquoi cette citation existe et a du sens ?
Parce que la grande majorité des gens considèrent leur emploi comme une fatalité, une tartine de merde à avaler tous les jours, pour payer les factures. Il est parfaitement possible d'être épanoui dans son travail, c'est même conseillé et très productif. Il faut juste s'en donner la peine. (Sinon, on arrive dans la case "renoncement" )
Mon point de vue sur "le bonheur" |
4/21 |
21/02/2010 à 18:37 |
J'suis pas du tout d'accord. Et j'vois pas pourquouah tu l'as mis dans cette section, ça aurait eu plus sa place dans Divers ou Bavardage.
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5/21 |
21/02/2010 à 18:44 |
Tu n'as rien inventé certes , mais c'est déjà bien de l'avoir pensé et d'y réfléchir , sur ce bravo ! Les Hommes ont un cerveau , ne l'oubliez pas je vous en prie. Bon j'abuse un peu.
Aramis je ne suis pas d'accord avec toi pour la citation, ici le " travaillerons nous" , je crois pas que c'est utiliser dans le sens du travail le métier, mais dans le sens : quand est ce qu'on arrêtera de tout mettre en oeuvre pour avoir plus alors qu'au fond le bonheur c'est se contenter de ce qu'on à et ce qui est à notre portée.
Mon point de vue sur "le bonheur" |
6/21 |
21/02/2010 à 18:48 |
Think_Harder => Même dans ce sens, je ne suis pas d'accord. Pour moi, se contenter de ce qu'on a, a moins d'être particulièrement bien né, (et encore !) c'est renoncer. Il faut poursuivre des objectifs tout en s'imposant une certaine modération. Rester lucide et aller de l'avant. Le "bonheur passif" est selon moi une illusion de la facilité, et n'a pas de saveur.
Mon point de vue sur "le bonheur" |
7/21 |
21/02/2010 à 18:56 |
Oui je suis d'accord avec toi n j'ai donné qu'une définition comme ça pour illustrer le sens de la citation ^^
bref l'homme veut toujours plus...est ce bien ou mal...le bonheur n'est qu'une dose...
Mon point de vue sur "le bonheur" |
8/21 |
21/02/2010 à 20:01 |
Perso, en ce moment, je ne suis pas en quête de bonheur, et en quête d'imprévu... C'est en accord avec le texte ? Si oui, je comprend, sinon, je comprend pas.
( au passage, je sais qu'il n'y a pas que cette idée qui à été développée, évidemment... )
Mon point de vue sur "le bonheur" |
9/21 |
22/02/2010 à 09:57 |
je suis d'accord, et tout ce que tu as dit est fortement lié à une chose : le désir.
Et au fond, je pense que le SDF est potentiellement plus prompt à être heureux que l'homme d'affaire.
Je m'explique :
Comme tu le disais, l'homme d'affaire a tout sur tout, mais son esprit humain désire toujours plus. Donc il va vouoir plus, toujours plus, encore plus. Mais plus on avance, plus c'est dur d'avoir plus.
Le SDF quant à lui sera heureux rien qu'à l'idée de pouvoir manger chaud par exemple, ce qui est en soi, pas si compliqué à réaliser.
Tout est question de point de vu en fait, et c'est vrai, je n'y avait jamais pensé, que l'habitude et le quotidien ont un role à jouer la dedans...
en tout cas tu m'as passionnée par ton texte ^^
Mon point de vue sur "le bonheur" |
10/21 |
22/02/2010 à 10:47 |
Je suis d'accord.
J'y ai moi même reflechis il n'y a pas longtemps.
Mais ca me désole plus que ca m'apaise.
Ca ne me donne pas bonne conscience.
Mon point de vue sur "le bonheur" |
11/21 |
22/02/2010 à 19:34 |
Pour une personne normal, c'est assez pedagogique comme approche...
Mais pour moi qui ai répondu a cette question depuis longtemps, c'est de la psycologie à l'eau de rose.
Je vais t'explliquer pourquoi très simplement :
Ton analyse ne se base que sur notre société de consomation, tu en es totalement imprégné et sans t'en rendre compte, tu ne bases ton analyse que sur cela.
Au 20ème siècle, tout les mecs pensent qu'il est indispensable de porter un chapeau, encore avant on aurait dit que c'était d'être proche de Dieu. Ainsi tes discours sur la possession n'aurait pas eu lieu d'exister. Je pense que les seuls discours valables sont ceux qui s'appliquent de tout temps, n'importe ou.
Une phrase résume cela :
prendre du recul dans l'espace et dans le temps, c'est prendre en compte le fait que ce que chacun pense être bon ou indispensable peut être en realité une erreur.
Je deviens vraiment bon, et je pense a des choses qui auraient échappé a ma compréhension il y a encore un an.
Moi aussi un jour j'ai pensé comme toi. Si les riches adoptent des enfants, c'est uniquement pour donner un sens a leur vie. C'est aussi pour cela qu'ils s'investissent dans des associations, etc...
Leur tristesse est de ne pas connaitre l'envie.
Bref, le bonheur pour moi c'est pas matériel... Pourtant j'ai un esprit très materialiste ! J'adore avoir de belles affaires, etc... Mais l'illusion d'apprecier ça n'est du qu'au résultat... Alors oui, je suis content...
Mais le bonheur, au sens absolu ce n'est pas ça...
Mais ça doit être parceque je ne pense plus relativement aux gens que je connais, a ma région, a mon pays, ni meme au monde...
Je pense "absolu" dans le temps... Et "absolu" dans l'espace...
Et le bonheur, n'a qu'une évidence !
La sagesse, la connaissance, la spiritualité, l'amour, le respect...
Seulement, ce n'est pas à la porté de tous de comprendre... Et encore moins de réussir...
Mon point de vue sur "le bonheur" |
12/21 |
22/02/2010 à 20:15 |
J'suis pas d'accord avec l'ensemble de ton texte. Sur la forme, il est bien fait, sur le fond non.
On peut discuter longtemps de ça, étant donné que c'est un débat en fin de compte et que chacun pense ce qu'il veut dessus. Un point sur lequel tu as raison, même si tu ne le dis pas explicitement, c'est que le bonheur est éphémère.
Dépend du quotidien, aussi, mais en fait, tes exemples sont mal tournés. Ils ne correspondent pas à l'idée que tu as à la base, même s'ils sont bien formulés.
En fait, la comparaison entre le SDF et le mec ancré dans son boulot (société quoi -_-') est bien. Mais je vais te donner un contre exemple qui te fera comprendre je pense ta petite erreur.
Un mec peut très bien avoir un bon boulot, être bien payé, avoir de quoi se nourrir, il peut être malheureux. Pour ça, il faut qu'il soit seul, qu'il s'ennuie au boulot, et ne sache pas quoi faire de sa vie, et crois moi, beaucoup sont comme ça.
Inversement, un SDF pourra être plus heureux car il sera beaucoup plus libre, et pourra faire un peu ce qu'il veut sans contrainte. Si tu n'as pas vu Into The Wild, c'est l'moment.
Tout ça pour te dire que le bonheur ne dépend pas de la situation sociale mais des personnes et de leur caractère. Le bonheur est un concept trop subjectif pour le généraliser à une société, même si des fois ça pourra être juste de l'faire -_-'.
Chacun a sa propre vision du bonheur et c'est cette vision qui fera, selon sa propre situation, ses propres envies, sa propre satisfaction, son bonheur.
Parce qu'un SDF peut être heureux simplement par ce qu'il lui suffit pour vivre tandis qu'un homme bien payé ne sera jamais heureux car il en voudra toujours plus. Tout dépend de nos valeurs, des principes que nous avons, ancrés en soi.
Un point un peu plus important que j'aimerais souligné et qui aurait mérité d'être développé plus en profondeur, c'est le quotidien. Qu'entends tu par quotidien? Est ce qu'il s'agit de ta vie quotidienne, en général, ou est-ce l'habitude, le commun, le répétitif, ce qui peut être lassant à force?
Ce terme là n'est pas vraiment définit et c'est ce qui "flou" un peu ton texte.
Mais sinon, dans l'ensemble il est bien.
Mon point de vue sur "le bonheur" |
13/21 |
22/02/2010 à 22:34 |
White Shark : Vous me semblez malgré tout aller dans le même sens pour ce qui est des exemples.
Par contre je trouve intéressant que tu ajoutes l'idée de valeurs, c'est un peu ce que disait Passio, bien qu'il en explique davantage.
Mon point de vue sur "le bonheur" |
14/21 |
24/02/2010 à 13:02 |
Hawwah a écrit :
White Shark : Vous me semblez malgré tout aller dans le même sens pour ce qui est des exemples.
Par contre je trouve intéressant que tu ajoutes l'idée de valeurs, c'est un peu ce que disait Passio, bien qu'il en explique davantage.
Les exemples sont les mêmes, puisque je reprends ceux qu'il a utilisé pour lui montrer ce qui, à mes yeux, aurait été mieux, même si j'suis pas là pour juger de ça. Fin bon, on s'en tape un peu.
En fait, ça manquait un peu d'originalité, de personnalité dans le texte.
Mon point de vue sur "le bonheur" |
15/21 |
04/12/2010 à 15:25 |
Ton texte est fabuleux, j'ai appris une nouvelle façon de voir le bonheur en fonction du quotidien (je m'étais arrêtée à Into the wild avec "le bonheur n'est qu'entier que lorsqu'il est partagé")
Mais comment le contrer ce quotidien? Je ne parle pas d'acheter, n'étant pas adepte de la société de consommation, j'en ai mal au yeux de voir toutes ces puds ! Mais je pense plutôt à la recherche d'un but, que nous nous efforçons d'atteindre toute notre vie et qui la résumera. Pour certain, c'est de trouver le vaccin contre le sida, pour d'autre c'est tout simplement de rendre heureux son entourage.
Je peut dire au passage que je sais qu'il me manque un but dans ma vie, et que je le cherche.
Mais maintenant j'imagine que tu as pu y réfléchir, puisque le dernier post est vieux de ... 10 mois.
Mon point de vue sur "le bonheur" |
16/21 |
04/12/2010 à 15:28 |
MoCoB a écrit :
Ton texte est fabuleux, j'ai appris une nouvelle façon de voir le bonheur en fonction du quotidien (je m'étais arrêtée à Into the wild avec "le bonheur n'est qu'entier que lorsqu'il est partagé")
Mais comment le contrer ce quotidien? Je ne parle pas d'acheter, n'étant pas adepte de la société de consommation, j'en ai mal au yeux de voir toutes ces puds ! Mais je pense plutôt à la recherche d'un but, que nous nous efforçons d'atteindre toute notre vie et qui la résumera. Pour certain, c'est de trouver le vaccin contre le sida, pour d'autre c'est tout simplement de rendre heureux son entourage.
Je peut dire au passage que je sais qu'il me manque un but dans ma vie, et que je le cherche.
Chercher un but est déjà un but en soi, à mon sens.
Mon point de vue sur "le bonheur" |
17/21 |
04/12/2010 à 18:41 |
Merci Frosties, mais je ne pense pas que ça peu m'apporter du bonheur, justement
Mon point de vue sur "le bonheur" |
18/21 |
04/12/2010 à 19:03 |
MoCoB a écrit :
Merci Frosties, mais je ne pense pas que ça peu m'apporter du bonheur, justement
Je pense que tu vas chercher trop loin.
Mon point de vue sur "le bonheur" |
19/21 |
04/12/2010 à 19:09 |
Ta théorie est plutôt bonne, mais tu n'y inclut pas asses les facteurs comme les émotions, la dépression, la maladie, le caractère. Car par exemple, certain SDF, seront bien plus malheureux qu'une personne ayant un emplois et une famille, même si ce sont pour eux deux leurs quotidien, tout dépend du caractère du personnage. Si le SDF a un caractère a tendance mélancolique, il sera bien moins heureux qu'une personne elle aussi a caractère mélancolique qui elle a un travail et une vie confortable, car le SDF, lui ayant beaucoup plus à ce plaindre, ce renfermera sur lui même en ressassant dans ça tête tout ce qui ne vas pas dans ça vie. Celui qui lui aura une vie de meilleurs qualité aura moins de chose a ce plaindre, et donc sera forcément moins malheureux. L'accès au bonheur sera lui aussi bien plus accessible au SDF qu'a la personne avec une bonne situation.
Après ce n'est que mon point de vue, et je n'est pas vraiment réfléchis longtemps pour poster ce message, donc certaines phrases seront peut-être mal formulées.
Mon point de vue sur "le bonheur" |
20/21 |
05/12/2010 à 18:41 |
Frosties a écrit :
MoCoB a écrit :
Merci Frosties, mais je ne pense pas que ça peu m'apporter du bonheur, justement
Je pense que tu vas chercher trop loin.
Je pense aussi, mais j'avais un week-end à tuer, alors quand c'est comme ça on se pose toutes sortes de questions, des bonnes comme des moins bonnes