Je voulais poster anonymement mais au final je m'en fiche royalement, si quelqu'un me connaît, ne me jugez pas pour ce que je pense.
Donc voilà, au départ cela fait environ 5 mois que j'avais planifié mon suicide pour la date de demain. Entre temps j'ai cherché pas mal de gens avec qui parler de la mort en terme général mais beaucoup sont fermé à ce sujet malheureusement.. bref, la plupart des gens condamnent le suicide dans notre société. Je me pose la question du pourquoi de cette hostilité à l'égard de cet acte.
Secondment, grâce (ou à cause suivant le point de vue) à certaine personnes et à moi-même, je pense abandonner l'idée pour demain. Le problème réside dans le fait que ces idées de mort m'obsèdent et que tôt ou tard je finirai par retenter, c'est obligé. J'ai du mal à comprendre ce qui maintiens en vie les gens, ni même ce qui me fait rester. J'en suis venu à trouver la mort comme une chose magnifique et un choix presque obligatoire pour moi mais sans motif apparent.
Si quelqu'un est déjà passé par là est-ce qu'il y a des moyens pour ne plus être obnubilé par ces envies ? Je n'ai pas toujours été comme çà, c'est venu d'un coup il y a 5/6 ans hein.
Merci de m'avoir lu, désolé pour le forme, je n'ai pas l'habitude d'écrire des topics
Un sujet banal mais tabou |
1/27 |
27/02/2016 à 21:01 |
Mais, pourquoi attendre 5 mois ? =o
Tu devrais en parler avec ton médecin !
Un sujet banal mais tabou |
2/27 |
27/02/2016 à 21:09 |
Bah je suis suivi par une psychologue très régulièrement mais ça ne m'aide pas vraiment, à vrai dire ça me motive encore plus quand je sors de chez elle, et c'est pareil pour tous les autres du domaine mais c'est pas leur faute, il ne font que leur métier, c'est moi qui bug
Un sujet banal mais tabou |
3/27 |
27/02/2016 à 21:20 |
Est ce qu'avec ton psy, vous avez évoqué ces idées noires? La planification ?
En soi, si la thérapie ne te fait pas de bien, je te conseille d'en parler avec ta psy pour éventuellement changer de thérapeute?
Un sujet banal mais tabou |
4/27 |
27/02/2016 à 21:20 |
Tu as un suivi médicamenteux ?
Un sujet banal mais tabou |
5/27 |
27/02/2016 à 22:28 |
Ce qui rattache les gens à la vie... Je dirais bien que c'est l'amour.
Bon okay ça parait bien culcul comme ça, mais c'est le fond de ma pensée.
Il y a quelques années j'étais aussi assez omnubilée par l'idée du suicide, j'avais l'impression de servir à rien, et puis que de toute façon si je disparaissais, ça changerait rien. 'Fin bref j'étais assez mal dans ma peau, et sûrement aussi en mal d'amour.
Mais en y réfléchissant au fil des années, je me suis dit qu'au final se tuer empirerait les choses, et que si ma vie me convenait pas c'était à moi de la changer, que persister dans le négatif ne ferait que suivre une sorte de cercle vicieux (je suis mal donc je bade, donc je parle plus à personne je me renferme sur moi même, donc je me sens encore plus mal,etc...)
Maintenant, quand je repense à cette envie d'en finir, c'est différent. Je me dis que les personnes qui me sont vraiment proches, souffriront de ce décès (c'est pas prétentieux évidemment mais juste une mère qui perd son enfant c'est généralement plutôt douloureux .w.) Et puis je me dis qu'au fond se suicider ça aurait été de pas avoir réussi, de pas être arrivé jusqu'au bout de ce que la vie aurait pu nous faire voir.
Mais ce n'est que mon point de vue naïf de jeune fille de 17 ans, noob du jeu de la vie.
Un sujet banal mais tabou |
6/27 |
27/02/2016 à 23:24 |
Déjà, tu planifie ton suicide 5 mois à l'avance. Si ce n'est pas par espoir de changer les choses ou par incertitude, je ne comprend pas. J'ai rien contre le suicide, mais faut être sûr de soi.
Tu dis que tu as changé d'avis à propos de demain, alors concentre toi et réfléchis à ce qui t'a fait changer d'avis. Des raisons de vivre y en a un milliard, mais une en particulier a mis ton plan en déroute. Pense à ce que c'est et continue ta route dans ce sens là.
Des raisons qui poussent au suicide, y en a à peu près autant. Seulement, là il s'agit du point de non retour. C'est pour ça que le sujet est délicat et donc trop tabou.
Je ne suis pas suivi médicalement donc de ce côté là je peux pas te conseiller.
Je ne sais pas non plus ce qui me rattache à la vie, donc j'espère pour toi que tu sais. Sans quoi tu vas te retrouver avec une corde au cou ou un poignard contre le coeur, à ne rien faire et puis réfléchir à ce qui t'a retenu jusqu'à la prochaine tentative. C'est un peu dans l'idée du cercle vicieux.
Un sujet banal mais tabou |
7/27 |
27/02/2016 à 23:24 |
Valar morghulis a écrit :
Est ce qu'avec ton psy, vous avez évoqué ces idées noires? La planification ?
En soi, si la thérapie ne te fait pas de bien, je te conseille d'en parler avec ta psy pour éventuellement changer de thérapeute?
Oui on en parle assez souvent mais par rapport à la planification c'est genre pour eux une impasse, ils font tout pour ne pas amener vers ce sujet
Perso je ne suis pas contre mais dans le secteur je les ai tous déjà vu, après il faudrait que mes parents soient au courant de la chose pour viser plus loin..de toute façon ils le sauront tôt ou tard..
Un sujet banal mais tabou |
8/27 |
27/02/2016 à 23:25 |
Orayi a écrit :
Tu as un suivi médicamenteux ?
Nan mais je ne suis pas en dépression enfaîte, du moins j'en ai pas l'impression
Un sujet banal mais tabou |
9/27 |
27/02/2016 à 23:44 |
Yelaw a écrit :
Ce qui rattache les gens à la vie... Je dirais bien que c'est l'amour.
Bon okay ça parait bien culcul comme ça, mais c'est le fond de ma pensée.
Il y a quelques années j'étais aussi assez omnubilée par l'idée du suicide, j'avais l'impression de servir à rien, et puis que de toute façon si je disparaissais, ça changerait rien. 'Fin bref j'étais assez mal dans ma peau, et sûrement aussi en mal d'amour.
Mais en y réfléchissant au fil des années, je me suis dit qu'au final se tuer empirerait les choses, et que si ma vie me convenait pas c'était à moi de la changer, que persister dans le négatif ne ferait que suivre une sorte de cercle vicieux (je suis mal donc je bade, donc je parle plus à personne je me renferme sur moi même, donc je me sens encore plus mal,etc...)
Maintenant, quand je repense à cette envie d'en finir, c'est différent. Je me dis que les personnes qui me sont vraiment proches, souffriront de ce décès (c'est pas prétentieux évidemment mais juste une mère qui perd son enfant c'est généralement plutôt douloureux .w.) Et puis je me dis qu'au fond se suicider ça aurait été de pas avoir réussi, de pas être arrivé jusqu'au bout de ce que la vie aurait pu nous faire voir.
Mais ce n'est que mon point de vue naïf de jeune fille de 17 ans, noob du jeu de la vie.
Je vois, c'est exactement pareil, cette impression que ça ne changera rien, que personne n'y prêtera attention, ne servir à rien..
C'est vrai que c'est égoïste de ne pas penser à ceux qui restentmais je me dis qu'au final ils finissent par l'accepter vu que de toute façon ils ne peuvent rien y faire.
Après c'est une vision juste différente des choses mais pour moi la vie c'est au mérite, du genre si on ne sait pas pourquoi on vit alors on doit mourir . Ça paraît fou comme pensée et oui j'en ai parlé à la psy puis on.parlé de la question du mérite et de la place dans la société. Vu que je me retire progressivement de cette société, c'était vite fait quoi et ça a pas fait avancer la réflexion :/
Un sujet banal mais tabou |
10/27 |
27/02/2016 à 23:53 |
Crom a écrit :
Déjà, tu planifie ton suicide 5 mois à l'avance. Si ce n'est pas par espoir de changer les choses ou par incertitude, je ne comprend pas. J'ai rien contre le suicide, mais faut être sûr de soi.
Tu dis que tu as changé d'avis à propos de demain, alors concentre toi et réfléchis à ce qui t'a fait changer d'avis. Des raisons de vivre y en a un milliard, mais une en particulier a mis ton plan en déroute. Pense à ce que c'est et continue ta route dans ce sens là.
Des raisons qui poussent au suicide, y en a à peu près autant. Seulement, là il s'agit du point de non retour. C'est pour ça que le sujet est délicat et donc trop tabou.
Je ne suis pas suivi médicalement donc de ce côté là je peux pas te conseiller.
Je ne sais pas non plus ce qui me rattache à la vie, donc j'espère pour toi que tu sais. Sans quoi tu vas te retrouver avec une corde au cou ou un poignard contre le coeur, à ne rien faire et puis réfléchir à ce qui t'a retenu jusqu'à la prochaine tentative. C'est un peu dans l'idée du cercle vicieux.
Bah si justement, j'ai ces pensées irrationnelles mais malgré cela, il y a des gens sur qui je peux compter, et qui font en sorte à ce que je reste. Mais tout est toujours prêt..
Bah justement je cherche car ça peut être le solution mais c'est pas mal compliqué..Quand on est négatif on a tendance à avoir du mal à voir le positif et c'est ce qui m'inquiète, sans raison de vivre il n'y a aucun but donc aucune raison de continuer..à mon sens quoi mais je fait tout pour changer cette vision!
Un sujet banal mais tabou |
11/27 |
28/02/2016 à 00:05 |
il y a forcément une raison cacher mais que tu la connaisse ou pas ça change rien en fait ... j'en sais quelque chose
sinon pour ce que tu as repondu à Orayi tu n'es pas le seul que je vois qui dis que les psy ça sert à rien ... fin oui mais pas pour des trucs aussi grave ... voilà pourquoi je ne vais pas en voir un même si certains me disent que je suis dérangé ou autre par mon passé ... ( d'ailleurs Orayi il a écrit 5/6 ans et pas mois ^^ )
perso je pense que trouver la bonne personne me permetrait de m'apaiser et tout mais ça fait 2 ans et demi que je trouve pas la bonne personne ... depuis mes 13 ans quoi ...
j'avoue que moi aussi j'ai déjà essayé mais quelques personnes comme ma meilleure-amie ou mon lapin que j'adore plus que tout me permettent de résister mais pour combien de temps c'est la question ... ^_^
bref dez dez d'être si pessimiste mais c'est la vie
quoi qu'il en soit attache toi à des personnes de confiance pour peut-être pas te passer l'idée de te suicide mais au moins repousser l'acte ou t'empêcher de le faire car tu te dis " oui j'ai envie de me suicider MAIS ça va faire souffrir intel ou intel donc je vais pas le voir "
Tu vois ce que je veux dire ? bonne chance et si tu veux parler je suis là ok ?
Un sujet banal mais tabou |
12/27 |
28/02/2016 à 00:59 |
Est ce que tu as déjà envisagé le fait de faire du bénévolat quelque part ?
Un sujet banal mais tabou |
13/27 |
28/02/2016 à 01:07 |
Un état suicidaire sans troubles dépressifs, c'est possible ? c'est une vraie question !
Un psy pour que ça marche il faut le vouloir, sinon effectivement ça n'a malheureusement pas forcément beaucoup d'effet.
Après effectivement si ce genre de consultation ne fonctionne pas avec toi ( et avec Caramel au passage ), te rediriger vers un psychiatre plutôt qu'un psychologue me semble une bonne chose. Il pourra te prescrire des médicaments. Les envies suicidaires sont loin d'être des évènements anodins, c'est quelque chose à prendre au sérieux.
Un sujet banal mais tabou |
14/27 |
28/02/2016 à 14:56 |
Orayi a écrit :
Un état suicidaire sans troubles dépressifs, c'est possible ? c'est une vraie question !
Moi j'aurais plutôt tendance à le percevoir ce trouble dépressif, dans ce qui est raconté (même si je ne m'avance pas, ce qui serait totalement con), juste pour dire à l'auteur qu'on peut avoir un trouble dépressif sans forcément être horriblement triste! Je pense surtout qu'il faudrait que tu travailles là-dessus. Notamment ta perte de motivation, l'estime de soi et ta vision négative des chose
Clairement, je pense que quitte à mettre tes parents au courant, trouve un autre praticien!
L'idée du bénévolat peut être aussi excellente, le sport, l'implication dans tes études/ton travail, etc!
Un sujet banal mais tabou |
15/27 |
28/02/2016 à 15:09 |
Asmoday a écrit :
J'ai du mal à comprendre ce qui maintiens en vie les gens, ni même ce qui me fait rester.
Asmoday a écrit :
sans raison de vivre il n'y a aucun but donc aucune raison de continuer..
C'est exactement ce que je pense, parfois sur un coup de déprime je le pense dans le sens "autant crever maintenant", mais quand ça va, je le pense dans le sens : "On va tous crever, c'est fatal, tout finira un jour, rien n'a aucune utilité" (et non, les générations suivantes n'en auront aucune utilité non plus : elles crèveront aussi, tout a une fin, c'est le cercle de la "vie").
Et comme apparemment personne ne l'a dit, tu n'as pas des trucs à faire avant de mourir ? Genre, j'sais pas, un saut en parachute, par exemple, voir des lieux magnifiques, rencontrer X personnes, conduire une p'tain de voiture ?
Des trucs comme ça, qui, au fond, te raccrochent un peu à la vie, puisqu'au final rien ne sert, autant vivre en se faisant plaisir un max toute sa vie ?
Je me dis aussi, puisque la vie est inutile, que je me fous de mourir, pourquoi ne pas vivre dangereusement ? Si t'en as rien à foutre de mourir, vis ta vie, laisse la faucheuse venir te chercher quand elle l'aura décider, tu kifferas plus ta vie ! (Sans forcément mettre la vie d'autrui en danger hein... Juste vivre ta vie avec un max d'adrénaline).
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16/27 |
28/02/2016 à 21:29 |
Caramel76200 a écrit :
il y a forcément une raison cacher mais que tu la connaisse ou pas ça change rien en fait ... j'en sais quelque chose
sinon pour ce que tu as repondu à Orayi tu n'es pas le seul que je vois qui dis que les psy ça sert à rien ... fin oui mais pas pour des trucs aussi grave ... voilà pourquoi je ne vais pas en voir un même si certains me disent que je suis dérangé ou autre par mon passé ... ( d'ailleurs Orayi il a écrit 5/6 ans et pas mois ^^ )
perso je pense que trouver la bonne personne me permetrait de m'apaiser et tout mais ça fait 2 ans et demi que je trouve pas la bonne personne ... depuis mes 13 ans quoi ...
j'avoue que moi aussi j'ai déjà essayé mais quelques personnes comme ma meilleure-amie ou mon lapin que j'adore plus que tout me permettent de résister mais pour combien de temps c'est la question ... ^_^
bref dez dez d'être si pessimiste mais c'est la vie quoi qu'il en soit attache toi à des personnes de confiance pour peut-être pas te passer l'idée de te suicide mais au moins repousser l'acte ou t'empêcher de le faire car tu te dis " oui j'ai envie de me suicider MAIS ça va faire souffrir intel ou intel donc je vais pas le voir "
Tu vois ce que je veux dire ? bonne chance et si tu veux parler je suis là ok ?
Les amis sont comme des pierres, la plupart me font couler lorsque je m'attache à eux..mais c'est vrai qu'il y en a quelques-un qui sont précieux. Mais tout le monde change et un jour ils m'oublieront, ce qui me rendra triste mais d'autres seront là puis un jour eux aussi etc bref, c'est un cycle continuel jusqu'à présent et qui continuera d'après ce que je vois. Ce qui est "positif" on va dire, c'est qu'il y aura (en général) toujours une personne à un moment quoi
L'idée de ne pas faire souffrir tel ou telle personne ne m'effleure pas le moindre du monde enfaîte, c'est par cette pensée que je qualifie l'égoïsme qui m'est propre, parfois même j'ai l'impression de leur faire plaisir si je partais mais au fond c'est ce qu'essaie de se convaincre l'esprit je pense. Le fait d'être en couple non plus. J'ai même foiré un certain nombre de relations et d'amitiés à cause de çà, pour être certain que personne ne me regrette et pourtant il y en a eu des bonnes personnes..mais je vois ce que tu veux dire
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17/27 |
28/02/2016 à 21:37 |
oh dear a écrit :
Est ce que tu as déjà envisagé le fait de faire du bénévolat quelque part ?
Hmmm non pas vraiment même si j'apprécie l'idée, je ne vais pas souvent au contact ds autres, ce sujet est déjà un exploit en lui-même. Mais en y réfléchissant, ça peut permettre de se rendre et de se sentir utile, même si ce n'est pas grand chose enfin..
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18/27 |
28/02/2016 à 21:47 |
Orayi a écrit :
Un état suicidaire sans troubles dépressifs, c'est possible ? c'est une vraie question !
Un psy pour que ça marche il faut le vouloir, sinon effectivement ça n'a malheureusement pas forcément beaucoup d'effet.
Après effectivement si ce genre de consultation ne fonctionne pas avec toi ( et avec Caramel au passage ), te rediriger vers un psychiatre plutôt qu'un psychologue me semble une bonne chose. Il pourra te prescrire des médicaments. Les envies suicidaires sont loin d'être des évènements anodins, c'est quelque chose à prendre au sérieux.
A l'époque je me posait la question sur mon état psychologique puis au fur et à mesure je pense que qu'on aille bien ou pas, le cerveau n'y réfléchit plus et s'adapte. Quand c'est la "merde" depuis trop longtemps, ton esprit finit par remplacer l'état "normal par l'état "merde".
Ca change beaucoup les psychiatres ? (hormis les prescriptions médicamenteuses)
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19/27 |
28/02/2016 à 22:04 |
Lucyfeu a écrit :
Asmoday a écrit :
J'ai du mal à comprendre ce qui maintiens en vie les gens, ni même ce qui me fait rester.
Asmoday a écrit :
sans raison de vivre il n'y a aucun but donc aucune raison de continuer..
C'est exactement ce que je pense, parfois sur un coup de déprime je le pense dans le sens "autant crever maintenant", mais quand ça va, je le pense dans le sens : "On va tous crever, c'est fatal, tout finira un jour, rien n'a aucune utilité" (et non, les générations suivantes n'en auront aucune utilité non plus : elles crèveront aussi, tout a une fin, c'est le cercle de la "vie").
Et comme apparemment personne ne l'a dit, tu n'as pas des trucs à faire avant de mourir ? Genre, j'sais pas, un saut en parachute, par exemple, voir des lieux magnifiques, rencontrer X personnes, conduire une p'tain de voiture ?
Des trucs comme ça, qui, au fond, te raccrochent un peu à la vie, puisqu'au final rien ne sert, autant vivre en se faisant plaisir un max toute sa vie ?
Je me dis aussi, puisque la vie est inutile, que je me fous de mourir, pourquoi ne pas vivre dangereusement ? Si t'en as rien à foutre de mourir, vis ta vie, laisse la faucheuse venir te chercher quand elle l'aura décider, tu kifferas plus ta vie ! (Sans forcément mettre la vie d'autrui en danger hein... Juste vivre ta vie avec un max d'adrénaline).
Pas vraiment non, du moins rien de positif on va dire (si j'expose une idée on va me prendre pour un psychopathe à foutre en tôle) donc hein mais yandere simulator me retiens de le faire en vrai on va dire ^^'
Je ne vois en la vie qu'une contrainte sans fin, et puis lorsqu'on vit, on est à un certain endroit à un certain instant. Pourquoi ne serais-ce pas quelqu'un qui le veuille vraiment qui soit là à cet instant ? Il profiterait plus et il le mériterait plus
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20/27 |
29/02/2016 à 09:18 |
Asmoday a écrit :
oh dear a écrit :
Est ce que tu as déjà envisagé le fait de faire du bénévolat quelque part ?
Hmmm non pas vraiment même si j'apprécie l'idée, je ne vais pas souvent au contact ds autres, ce sujet est déjà un exploit en lui-même. Mais en y réfléchissant, ça peut permettre de se rendre et de se sentir utile, même si ce n'est pas grand chose enfin..
Tu peux essayer de voir si tu peux aider les restos du cœur, la croix rouge ou n'importe quelle association, ça fait vraiment plaisir de voir qu'on aide des gens.
Par contre, recruteur de donateur, je décommande, parce que ça rend triiiste comme job ! Non seulement les gens t'ignorent mais t'es chefs te hurlent dessus parce que tu signes pas de contrats. Ça bouffe de l'énergie, c'est horrible !
En tout cas, reste pas seul, on se sent mieux en groupe.