J'ai violé

Depuis près de deux moi que je suis en couple avec la plus géniale des copine, j'ai violé. Beaucoup me diront le contraire, néanmoins je ne le ressent pas pareil.
Elle et moi avons le même âge. Elle est vierge, je ne le suis pas.
Depuis à peu près un mois, nous partageons des préliminaires ensemble, mais nous avançons tout doucement; on va un peu plus loin à chaque fois mais nous ne précipitons pas les choses car elle n'a jamais partager ce genre de chose.
Ce week-end, c'est moi qui suis allé dormir chez elle, et, au moment de nous couchés, l'ambiance était assez chaude. Nous avons donc commencés les préliminaires. Une fois encore, nous sommes allés un peu plus loin. En effet, j'ai retiré son pantalon alors qu'habituellement, elle préférait le garder. Néanmoins, je ne me suis pas arrêté là. J'ai lentement descendu une main vers le bas ventre et ai stimuler la partie sensible de ma chérie, ce qui lui a procuré beaucoup de bien. A aucun moment, elle ne m'a dis d'arrêter. Dans l'excitation, nous sommes allés encore plus loin. J'ai descendu sa main jusqu'à Popol qu'elle a caresser, par dessus mon calçon, puis je l'ai retiré et elle a continuée. Je suis ensuite allé plus loin, toujours sans qu'elle ne refuse, et suis allé sous sa culotte, où je passerai les details inutiles. Je lui procurait beaucoup de bien et j'ai pour preuve sa respiration, la contraction de ses muscles, ainsi que ses gémissements. Lorsque nous eûmes finis, elle prétexta aller boire pour sortir de la chambre, mais j'ai bien senti que quelque chose la derangeait. Je lui ai donc demandé, ce qui n'allais pas mais elle affirma qu'il n'y avait aucun problème. Mon portable était éteint car je n'avais plus de batterie. Le lendemain, je me suis reveillé vers 9heure, et comme nous nous étions couchés tard, je l'ai laissée dormir afin qu'elle ne soit pas trop fatiguée. Je suis donc descendu et ai scouatter avec sa famille. En remontant dans la chambre vers 10h15, je l'ai reveillé comme tout amoureux réveil la personne qu'il aime : tout doucement, avec des petits bisous, des petites caresses, et des mots doux. Lorsqu'elle m'a laissé seul dans elle chambre vers 12h pour aller se preparer dans la salle de bain, j'ai branché mon portable et ai regardé les deux sms que j'avais reçu pendant la nuit :
Ils dataient de 9h50 et 9h55 et venaient tout les deux de ma copine.
"Je regrette ce que nous avons fait, j'ai peur... Je m'en veux énormément, je sais pas comment te le dire mais je pense que tu dois être au courant. On est allés beaucoup trop loin hier soir, je regrette vraiment, je ne suis pas prête pour aller aussi loin pour le moment..."
Je l'ai attendu dans la chambre et lorsqu'elle est rentrée, je l'ai prise lentement dans mes bras et ai abordé le sujet avec pour premiers mots "Excuse-moi mon coeur pour hier soir, j'aurai du savoir que tu ne refusais pas que nous allions plus loin seulement à cause de l'excitation... Je m'en veux, et je sais qu'il te faut du temps. Nous le prendrons, n'y pense plus, et ne m'en veux pas s'il te plait."
Elle me serrait très fort dans ses bras et j'ai donc bien vu à quel point elle avait peur, voir limite mal en y repensant alors que sur le coups elle profitait de chaque instant et n'a à aucun moment dit stop.
Dimanche, j'ai passé ma journée à souffrir, la voyant mal à l'aise. la culpabilité me rongeait de l'intérieur. Chaque instant de solitude que je pouvais avoir, nottamment aux toilettes, me permettit de craquer et de lacher quelques larmes tant cette souffrance envahissait mon corps. Dimanche soir, alors que j'étais chez moi, nous en avons discutés un peu par sms, et elle était en larme, déprimée, elle souffrait. Mais elle n'étais pas la seule. Et moi, moi qui ai toujours (et depuis bien des années) cherché à être le meilleur des mecs possible, moi qui m'efforce chaque jours de ne blesser personne, moi qui fais mon possible pour ne pas ressembler à l'un de ces connards qui utilisent les filles comme de vulgaires objets, moi, je me sens violeur. J'ai passé une journée merdique, rongé par ce sentiment, rongé par la culpabilité. Elle ne m'a pas envoyé un seul message de la journée, pas même un bonjour. Elle m'a pourtant affirmé hier qu'elle ne m'abandonnerai pas, car elle m'aime, et m'a aussi fait une petite surprise : elle a glissée un petit papier rose dans mon sac sans que je ne m'en apperçoive, avec écrit "Je t'aime énormément"...

Là, depuis quelques minutes, j'ai reçu son premier message de la journée, qui ne dis pas même bonjour et me dis que "tous le monde a remarqué que je suis déprimée". Je culpabilise encore plus...
J'ai violé, car malgré son consentement, elle le regrette, et se n'était qu'un consentement du à l'excitation.

Je m'en veux, je souffre, je suis perdu, je ne sais pas comment cette histoire va se finir... Mais une chose est sure, je me lasse d'être le gentil petit garçon qui ne fait qu'en bouffer plein la gueule à longueur de journée car il essaye de bien faire dans un monde où la gentillesse n'est jamais récompensée.

As if  

J'ai violé

22/53

12/02/2013 à 20:14

Anonyme a écrit :

Dark76 a écrit :
Tu t'es demandé pourquoi avant ça elle ne voulait pas le faire ou tu t'en battais les noisettes ?

Je suis sa première vraie relation sentimentale, donc non je ne m'en bat pas "les noisettes" comme tu dis.

"Aussi, pourquoi s'en est-elle voulu, alors qu'elle a apprécié sur le moment, et ce avec la personne qu'elle aime ?" Oui, elle m'aime. Et nous n avons discutés, et ce qu'elle a regretté, c'est que nous soyons allés si loin aussi rapidement. Elle n'est pas contre le fait que l'on aille un peu plus loin au fur et à mesure du temps, seulement là, s'était trop d'un coups. Elle ne s'était (avant moi) jamais mise ne serait-ce qu'en soutif devant un garçon.

Sboy, t'as bien raison...



Calme toi c'était juste une expression, une façon de parler, le "ou tu t'en battais les noisettes" tu peux le traduire par "ou pas" Je sais c'est plus long, mais c'est toute ma culture ça

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