Quand on demande à quelqu'un sa conception du bonheur par exemple, celui-ci même s'il est bon, viendra à parler des biens matériels, de la possession, d'acquisitions. S'il est très bon, il viendra mettre en cause le fait, que tout est relatif. Qu'une personne pauvre se réjouira d'avantage d'avoir acquis une somme modeste, plutôt qu'une personne très riche qui recevra dix fois cette même somme. (exemple de base).
Mais qui sera capable de se demander, s'il a fait preuve d'assez de recul, dans la société de consommation dans laquelle il vit, pour aborder les choses sous cet angle ?
Parce que depuis que nous sommes nés, tout est fait en sorte pour que nous développions un esprit totalement matérialiste, sans que jamais une fois dans notre vie, nous puissions remettre cela en cause ?
Qui viendra ensuite à se poser la question pourquoi le monde est ainsi ? A qui cela profite t-il ?
Qui viendra peut-être à tirer la conclusion de se dire : "Est-ce réellement nous qui choisissons ce dont nous avons besoin pour être heureux ?"
Qui pensera toujours qu'il est totalement libre ? Qui, beaucoup mieux se dira que cela peut-être (selon sa condition) "acceptable".
Qui remettra en cause notre société ou la façon dont le monde est dirigé ?
Qui à travers toutes ces questions se rendra compte qu'il ne sert à rien de résoudre un problème, à l'intérieur d'un problème ? Qui pensera que le monde n'est construit que sur une multitude de problèmes ? Qui cherchera à remonter le plus loin possible, jusqu'à ce qu'il n'y ai plus de problème ?
Ainsi qui se posera la question, "qu'est ce qui est véritablement important ?"
Qui si cela ne l'intéresse pas, se demandera si comme sa conception du bonheur, il n'a pas été influencé par ce qui l'intéresse ?
Et qui encore une fois se demandera pourquoi ? A qui cela profite t-il ?
Pour qui la perception du monde qu'il a n'aura pas changé après la lecture de ce texte ?
Pouvez vous encore répondre, avec autant d'assurance à la question : Qu'est ce qui fait que vous êtes heureux ?
Voilà, un petit message pour montrer à tous comment je pense, pour chaque chose, pour chaque personne, sujet, principe, et plus vastement "chose" dans ce monde.
Faites la même chose par exemple avec la question hum....
"Sommes nous libres ?"
Une souris dans sa cage se rend-elle compte qu'elle est opprimée ? Comment perçois elle sa situation, comment la percevons nous ?
- Opprimée, est-elle malheureuse ?
On peut se dire "Non, elle ne saurait pas apporté une meilleure définition de la liberté que celle qu'elle connait."
- Es-tu malheureux ?
"Non, je ne suis pas malheureux, j'ai d'ailleurs beaucoup de chance d'être dans la situation confortable dans laquelle je suis, voyez ces gens qui meurent de faim, et de maladie chaque jour."
- Que pensera la souris, si j'en met une autre avec elle et que je ne la nourris plus mal ?
"Elle se sentira comblée".
Une question demeure toujours :
"Somme nous réellement libres ?"
La qualité de l'éducation donnée aux classes inférieures doit être de la plus pauvre sorte, de telle sorte que le fossé de l'ignorance qui isole les classes inférieures des classes supérieures soit et demeure incompréhensible par les classes inférieures. Avec un tel handicap initial, même de brillants éléments des classes inférieures n'ont que peu d'espoir de s'extirper du lot qui leur a été assigné dans la vie. Cette forme d'esclavage est essentielle pour maintenir un certain niveau d'ordre social, de paix, et de tranquillité pour les classes supérieures dirigeantes.
Voilà, j'ai décidé pour la première fois d'expliquer, pourquoi je me trouve comme beaucoup le disent "supérieur" aux autres.
Mais posez vous la question "Sous quels angles une même réalité peut-elle être perçue ?"
Moi je le vois sous l'angle de dire : "Je suis très ouvert d'esprit".
Quelqu'un, pense t-il comme moi, réfléchit autant ?
Un exemple pour illustrer comment je pense... |
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24/02/2010 à 17:45 |
T'es pas bien différent des autres
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24/02/2010 à 17:50 |
J'ai passé assez de temps sur ce site à lire les gens qui se disputaient pour savoir que je suis différent. Tu sais ce que tu sais, sans même avoir conscience de ce que tu ignores. D'ailleurs, t'as même pas compris que je cherchais à montrer que la façon dont j'étais perçu était fausse, plutôt que revendiquer une différence.
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24/02/2010 à 17:52 |
Bla, bla.
Un exemple pour illustrer comment je pense... |
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24/02/2010 à 17:54 |
Je voudrais savoir, je peux répondre à tes questions??
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24/02/2010 à 17:54 |
En voilà des phrases bien savantes pour dire "ah mais non en fait je plaisantais"
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24/02/2010 à 18:03 |
A_MOR
J'étais comme toi avant, mais si j'étais contraint de le redevenir et en même temps de me rendre compte comme aujourd'hui de la puérilité et de l'idiotie d'une tel comportement, je me suiciderais sur le champ.
Koneko, pas besoin de mon autorisation.
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24/02/2010 à 18:24 |
Mais qui sera capable de se demander, s'il a fait preuve d'assez de recul, dans la société de consommation dans laquelle il vit, pour aborder les choses sous cet angle ?
Moi.
Parce que depuis que nous sommes nés, tout est fait en sorte pour que nous développions un esprit totalement matérialiste, sans que jamais une fois dans notre vie, nous puissions remettre cela en cause ?
C'est une question?
Qui viendra ensuite à se poser la question pourquoi le monde est ainsi ? A qui cela profite t-il ?
Je me la pose cette question, et j'en ai même trouvé des réponses ^.^ . Cela profite a des gens...
Qui viendra peut-être à tirer la conclusion de se dire : "Est-ce réellement nous qui choisissons ce dont nous avons besoin pour être heureux ?"
Et non, ce n'est pas nous.
Qui pensera toujours qu'il est totalement libre ? Qui, beaucoup mieux se dira que cela peut-être (selon sa condition) "acceptable".
Je suis pas libre, la société m'a volé ma liberté. J'ai pas capté la seconde question...( -_-" )
Qui remettra en cause notre société ou la façon dont le monde est dirigé ?
Une personne qui a beaucoup de courage.
Qui à travers toutes ces questions se rendra compte qu'il ne sert à rien de résoudre un problème, à l'intérieur d'un problème ? Qui pensera que le monde n'est construit que sur une multitude de problèmes ? Qui cherchera à remonter le plus loin possible, jusqu'à ce qu'il n'y ai plus de problème ?
Pas moi.
Ainsi qui se posera la question, "qu'est ce qui est véritablement important ?"
Qui si cela ne l'intéresse pas, se demandera si comme sa conception du bonheur, il n'a pas été influencé par ce qui l'intéresse ?
Je ne suis pas très matérielle donc j'estime que la seconde question ne s'adresse pas à moi.
Et qui encore une fois se demandera pourquoi ? A qui cela profite t-il ?
A mon avis, la matérialisation profite à énormément de gens (commerçant, politicien & co)
Pour qui la perception du monde qu'il a n'aura pas changé après la lecture de ce texte ?
Moi.
Pouvez vous encore répondre, avec autant d'assurance à la question : Qu'est ce qui fait que vous êtes heureux ?
Oui parfaitement. Je répondrais que le bonheur est là pour moi, lorsque je suis près de mes amis et ma famille ou des animaux. Le bonheur est obligatoirement immatériel, c'est logique.
"Sommes nous libres ?"
Non
Une souris dans sa cage se rend-elle compte qu'elle est opprimée ? Comment perçois elle sa situation, comment la percevons nous ?- Opprimée, est-elle malheureuse ?
Non. Elle se rend compte de l'espace et la nourriture qu'elle a dans sa cage. Chacun la perçois comme il le veux. Moi, je la perçois comme un compagnon, un ami fidèle. Non, je ne pense pas qu'elle le soit à condition qu'un animal lui tienne compagnie (l'homme aussi est animal).
On peut se dire "Non, elle ne saurait pas apporté une meilleure définition de la liberté que celle qu'elle connait."
Oui mais le peu de liberté qu'elle possède lui suffit largement.
- Es-tu malheureux ?
Personnellement, non. J'ai des amis, un famille proche, des animaux de compagnie heureux donc je suis heureuse.
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24/02/2010 à 18:26 |
Une question demeure toujours :
"Somme nous réellement libres ?"
Non, le monde actuel nous tiens comme nous possédons des animaux en cage.
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24/02/2010 à 18:37 |
Ce qui m'étonne, c'est que tu sois assez prétentieux pour croire qu'on veut vraiment savoir comment tu penses. On dirait moi, en pire.
Je lirai peut-être plus tard.
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24/02/2010 à 18:37 |
Bon, allez, pour ton "tout est relatif" concernant les biens matériels, je tiens quand même à dire qu'il y a des nécessités de survie.
Y'a une remise en cause du consumérisme aujourd'hui, et depuis un bout de temps déjà.
Evidemment pas dans les idées de pouvoir d'achat et de relance de la croissance, mais elle me semble quand même plutôt apparente, et accessible.
"Est-ce réellement nous qui choisissons ce dont nous avons besoin pour être heureux ?"
Je suppose que tu confonds le bonheur et le désir, ici.
"Qui pensera toujours qu'il est totalement libre ?"
La liberté c'est d'abord dans la tête, et c'est vrai qu'à ce niveau-là, on est souvent loin de l'être.
Tout simplement parce qu'intérioriser nos limites sans les avoir d'abord interrogées et construites avec raison, ça peut mener qu'à ça.
Une réelle remise en cause de la société et du gouvernement, ça se trouve aussi.
Pas sur TF1, mais rassure-toi, t'es pas le premier ni le dernier à y avoir pensé.
"Qui à travers toutes ces questions se rendra compte qu'il ne sert à rien de résoudre un problème, à l'intérieur d'un problème ?"
"Qui cherchera à remonter le plus loin possible, jusqu'à ce qu'il n'y ai plus de problème ?"
Ça s'appelle la radicalité. Qui n'a rien à voir avec l'extrémisme, soit dit en passant.
"Pouvez vous encore répondre, avec autant d'assurance à la question : Qu'est ce qui fait que vous êtes heureux ?"
Déjà faudrait t'assurer que tu t'adresses à des gens qui se sentent heureux...
Enfin, je suis pas sûre d'être d'accord, pour l'exemple de la souris.
(A vrai dire, je me souviens pas avoir été une souris.)
L'analyse marxiste, ouais, mais tu te mouilles pas.
"Classes supérieures dirigeantes", tu vises qui actuellement ?
C'est de là qu'on pourrait débattre.
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24/02/2010 à 18:47 |
Passio a écrit :
J'ai passé assez de temps sur ce site à lire les gens qui se disputaient pour savoir que je suis différent. Tu sais ce que tu sais, sans même avoir conscience de ce que tu ignores. D'ailleurs, t'as même pas compris que je cherchais à montrer que la façon dont j'étais perçu était fausse, plutôt que revendiquer une différence.
On est différent parce qu'on se dit différent ...
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24/02/2010 à 18:51 |
Personne n'a compris que je n'avais absolument rien à faire de notre société, du bonheur ou de la liberté...
Personne n'a compris que je ne voulais pas montrer "ce que" mais "comment" je pense.
Je voulais juste montrer le contraste entre ceux qui se perdent dans leur pensées en repensant au match de foot de la veille qu'ils ont gagné et le superbe BUT, et ceux qui passeront leur vie préoccupés par ce genre de questions existentielles.
Je voulais montrer une perception du monde différente à ceux qui ne la conçoivent même pas, et à ceux qui cherchent à l'atteindre (rires...)
Bien sur ça n'intéresse pas tout le monde... Mais le foot, le rap, tout ça ne m'intéresse pas et cependant je ne ressent pas le besoin comme certains ici d'exprimer mon manque d'intérêt dès l'irruption de ces sujets.
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24/02/2010 à 18:56 |
T'es chiant à force à croire que personne avant touah a pensé à des choses aussi simples. C'est du vu, revu et même re-revu.
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24/02/2010 à 19:27 |
Et moi je trouve "chiant" les gens qui jugent que leur point de vue est égal ou meilleur alors qu'il ne constitue qu'un aspect insignifiant de leur vie face à celui de quelqu'un de quasi-passionné.
De toute manière, pour être simple c'est comme en maths :
Du niveau Bac +5, un étudiant pourra jamais faire comprendre un exercice de ce niveau à un Lycéen moyen, qui ne possède ni les outils, ni l'expérience nécessaire pour faire face à ce problème. Cependant, à la différence que ce Lycéen de 18 ans (~13ans de maths) sera contraint d'avouer qu'il ne dispose pas des moyens pour comprendre. Il n'y a pas d'alternatives.
Dans le cadre de ce que j'explique, les gens sont sincères et ne se rendent pas compte qu'ils manquent de recul, d'informations, de réflexion, de lecture ou même de niveau. Ils interprètent ce qui est dit en exploitant au maximum les capacités que leur intelligence leur offre, avec la multitude d'informations dont ils disposent (sans penser à ce qu'ils ignorent) pour raisonner dans le cadre de leur propre étroitesse d'esprit qui est la leur depuis toujours, et en dehors de laquelle ils ne soupçonnent pas qu'il existe d'autres esprits beaucoup plus ouvert et ludiques.
Ainsi, contrairement aux sciences exactes comme les maths, ils ont la possibilité de croire juste leur propre interprétation en étant persuader de suivre le raisonnement initial qui leur est exposé, bien qu'ils en soient très loin...
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24/02/2010 à 19:30 |
Passio a écrit :
Et moi je trouve "chiant" les gens qui jugent que leur point de vue est égal ou meilleur alors qu'il ne constitue qu'un aspect insignifiant de leur vie face à celui de quelqu'un de quasi-passionné.
Mec, tu viens de te définir.
Un exemple pour illustrer comment je pense... |
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24/02/2010 à 19:32 |
En conclusion, tu ne t'intéresses ni aux sujets dont tu traites ici, ni à ceux dont tu ne traites pas ?
Si t'es bien comme ça.
J'ai posté dans l'idée de te faire approfondir, tout ça me paraissant plutôt superficiel et peu personnel.
Je te sortirai pas l'argumentum ex silentio. Mais si je dois m'en tenir au post de départ, pour traduire ma première réponse, et expliciter ce que je pense de la forme de ton "raisonnement" plus que du fond, bref, le "comment" tu penses, je le fais :
Tu commences par un jugement de valeur des personnes, qui plus est en généralisant.
Tu critiques l'imprégnation de la pensée, mais n'y a-t-il pas des nécessités matérielles communes à toutes sociétés, à tous modes de vie humains ? Tu n'en dis rien.
Avec tes "Qui..." tu sembles te croire le seul à ne pas t'autocensurer, alors qu'il existe actuellement de réels mouvements qui se permettent de tout remettre en question, pourvu qu'on creuse un peu.
Tu t'obstines à débusquer le troupeau de moutons sur un mode "je suis seul (à réfléchir) contre tous", plutôt risible.
Ensuite tu me parais tomber dans certains gros contre-sens, et d'énormes imprécisions, comme si tu avais peur qu'on comprenne d'où tu veux en venir et que ça t'empêche de te sentir différent ou au-dessus de la masse.
"Quelqu'un, pense t-il comme moi, réfléchit autant ?"
J'ai envie de répondre que oui, il y a Mickaël Vendetta.
Et j'ai rien contre toi, je lis souvent tes posts sur le forum, mais là franchement, plus tu postes, plus tu me fais l'impression d'un simple partisan de l'aristocratie. Et c'est pas une position que je considère beaucoup, faut le reconnaître...
Un exemple pour illustrer comment je pense... |
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24/02/2010 à 19:34 |
Tu cites une phrase que tu ne comprends pas.
Partout ou on me contredit, j'observe en permanence l'absence d'arguments. Et à ceux qui jugerait inutile d'y consacrer du temps, je les inviterais alors à ne pas commencer.
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18/126 |
24/02/2010 à 19:38 |
Passio a écrit :
Tu cites une phrase que tu ne comprends pas.
Partout ou on me contredit, j'observe en permanence l'absence d'arguments. Et à ceux qui jugerait inutile d'y consacrer du temps, je les inviterais alors à ne pas commencer.
Tout ce qu'il y a à comprendre c'est que t'es de plus en plus englouti dans ta connerie, c'tout. Tes pensées sont insipides au possible, et franchement ton petit air prétentieux ne nous intéresse en rien.
J'vois pas comment te faire piger que ce que tu dis est d'un banal, tellement que c'est lassant, t'es trop borné pour t'en rendre compte et ça te ferait tomber de ton petit nuage, donc bon continue si ça t'amuse mais viens pas me dire "tu comprends pas, j'suis trop différent kikoo hihi", parce que NON tu l'es pas, t'as rien de bien intelligent.sensé à dire qui pourrait nous pousser à t'accorder une véritable attention.
Bref, tralala tagada tsoin tsoin.
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19/126 |
24/02/2010 à 19:44 |
Tu réponds à personne à part à toi-même, je vois pas où sont tes arguments...
Je pensais pas dire ça un jour, mais j'ai envie de plussoyer Frosties.
Un exemple pour illustrer comment je pense... |
20/126 |
24/02/2010 à 19:50 |
La parfaite preuve de la nuance entre la façon de penser et d'agir. On est souvent en totale contradiction concernant ces deux aspects qui pourtant devraient se coordonner et se rejoindre, l'ambivalence y gagne au fond, donc sa propre décrédibilsation.