La mort.

j'aurais plutôt tendance à croire à la réincarnation de l'âme et au karma, mais rien n'est moins sûr, et personne ne pourrait affirmer quoi que se soit dans ce domaine.
Le mieux est encore d'être agnostique.

Passio a écrit :
Pour moi, notre corps, notre cerveau est une limite et une prison à la compréhension de l'Univers et de ses forces. Une fois mort, on qui cette prison et on atteint peut-être un état de conscience bien supérieur...



Quand t'es mot ton coeur ne bat plus, il n'alimente plus ton cerveau, tu ne peux donc plus réfléchire, donc tu n'es plus conscient.
Et c'est tout.
C'est ça le principe de la mort.

Libre à vous de vous foutre les boulles en croyant que si vous faites des conneries, quand vous allez mourir vous allez vous retrouver dans un monde tout rouge avec un mec qui va vous fouetter pour l'eternité, mais sachez quand meme que croire à ça, c'est exactement comme un gosse qui croit que si il est gentil, le père noel lui apportera des cadeaux.

J'en ai un peu débattus avec ma mère il ya quelques jours.

Il me parait évident qu'il n'y a rien après la mort, la croyance en une vie postmortem est uniquement né de la peur de la mort de l'homme.

Nous ne sommes que des maillons d'une chaine, formant une histoire. Rien de plus, rien de moins. A l'échelle de l'univers nous sommes des battements de paupières insignifiants et les loi de la physique n'ont pas de place pour un quelconque monde pour les défunts, ou pour une réincarnation.

L'important ce n'est pas le temps qu'on a vécu avant de mourir, mais bien ce que nous avons fait avant de mourir.

Pour ma part, la mort naturelle ne m'inquiète pas. La période avant la mort par contre oui. J'ai une hantise quant à la vieillesse. Il est bien pire à mes yeux de refuser la mort en restant cloué à une chaise 8h par jour, captivé par la météo et les niaiseries télévisuelles et attendant avec impatience l'heure du diner. A quoi bon vivre si c'est pour ne rien faire.

La vie est un cadeau, pas un dût. On nous donne un morceau plus ou moins grand d'un siècle durant lequel on pourra profiter du plus bel univers, dans lequel on pourra s'épanouir, créer et participer à sa construction. Voir même assister à ses boulversements. Alors l'important n'est pas de se soucier de ce qui arrive après mais bien de ce que l'on va faire durant ce court temps imparti.

Et quand à la mort, mon unique inquiétude c'est de mourir avant qu'on ait pu trouver réponse à mes centaines de questions tant sur le plan astronomique que naturel. Pourquoi les trous noirs sont centre de chaque galaxie? Les trous de vers existent ils? Pourquoi la vie existe t-elle? Infini ou fini? Si fini, qu'il y a til ensuite? L'univers né t-il et meurt-il à l'infini, faisant renaitre à chaque fois des même conditions pour un scénario différent? Comment l'univers mourra-t-il? A quoi ressemblera une troisième génération de planète? Pourra t-on un jour sortir de notre système solaire? Pourquoi la nature est elle si parfaite?

Et tant d'autres questions auxquelles j'aimerai trouver réponse avant de mourir =).

Non.

Que dalle, rien !

On sort de l'infinit, la vie, et puis on retombe dans l'infinit.
Ya rien aprés la mort, j'envi les gens qui croient en Dieu.

moi je crois qu'après la mort, en fait, on te laisse faire tous ce que ta pas pu réaliser et même faire des choses auquelle tu pensais pas faire XP

Prenons pour exemple les cas d'expériences de mort proche. Le patient est en état de mort clinique : la respiration est interrompue , le coeur arrêté , l'activité cérébrale nulle. Pourtant , ces patients fournissent le compte rendu fidèle de ce qui s'était passé dans leur chambre d'hôpital alors qu'ils étaient morts :

- ils disent nombre des membres du personnel dans la chambre
- ils disent mot pour mot les répliques échangées entre les médecins
- ils décrivent les méthodes employées par les équipes de secours

L'exactitude de leurs recensions montre qu'il ne peut s'agir de rêves ni d'hallucinations. De plus , les explications naturelles , comme l'effet de drogues , d'anesthésies , l'influence d'un conditionnement dû au milieu culturel ou religieux , ne résistent aux examens approfondi.

Espagnol_ a écrit :

Prenons pour exemple les cas d'expériences de mort proche. Le patient est en état de mort clinique : la respiration est interrompue , le coeur arrêté , l'activité cérébrale nulle. Pourtant , ces patients fournissent le compte rendu fidèle de ce qui s'était passé dans leur chambre d'hôpital alors qu'ils étaient morts :

- ils disent nombre des membres du personnel dans la chambre
- ils disent mot pour mot les répliques échangées entre les médecins
- ils décrivent les méthodes employées par les équipes de secours

L'exactitude de leurs recensions montre qu'il ne peut s'agir de rêves ni d'hallucinations. De plus , les explications naturelles , comme l'effet de drogues , d'anesthésies , l'influence d'un conditionnement dû au milieu culturel ou religieux , ne résistent aux examens approfondi.



Fourni tes sources parce que pour m'être intéressé de très près aux EMI fût une période, je ne suis pas du tout de ton avis.

Colo_ a écrit :

Espagnol_ a écrit :

Prenons pour exemple les cas d'expériences de mort proche. Le patient est en état de mort clinique : la respiration est interrompue , le coeur arrêté , l'activité cérébrale nulle. Pourtant , ces patients fournissent le compte rendu fidèle de ce qui s'était passé dans leur chambre d'hôpital alors qu'ils étaient morts :

- ils disent nombre des membres du personnel dans la chambre
- ils disent mot pour mot les répliques échangées entre les médecins
- ils décrivent les méthodes employées par les équipes de secours

L'exactitude de leurs recensions montre qu'il ne peut s'agir de rêves ni d'hallucinations. De plus , les explications naturelles , comme l'effet de drogues , d'anesthésies , l'influence d'un conditionnement dû au milieu culturel ou religieux , ne résistent aux examens approfondi.



Fourni tes sources parce que pour m'être intéressé de très près aux EMI fût une période, je ne suis pas du tout de ton avis.


Mes sources proviennent d'ouvrages scientifiques , notamment des docteurs Kubler-Ross et Moody , mais également du français Jean-Jacques Charbonnier que j'ai déjà rencontré.