A l'occasion du documentaire "Staline, le tyran rouge" sur M6 le 13/03 j'aimerai avoir votre avis sur ce bonhomme qui a marqué l'histoire. Etant communiste je suis fasciné par ce personnage, même si on dit souvent du mal de lui à cause de ses 20 millions de morts mais bon il était LA le bon communiste.
Voilà merci de vos réponses
Staline, le tyran rouge |
81/145 |
07/03/2007 à 23:03 |
made in america...
A propos de l'impôt là...
Euuh...
Sans impôt, je voi mal comment unpays peut avancer lol
plus d'hopitaux, tous le secteur public n'est plus payé, les accidents ( routes défoncées, etc... ) ne sont pas réparés,... )
Tu te dis capitaliste, tu dis pourtant des propos d'anarchistes débiles ^_^
{°v°} KoviS {°v°}
*celipeli*
Staline, le tyran rouge |
82/145 |
07/03/2007 à 23:06 |
KoviS ---> Non mais ne dit pas ça il va te bassiner et te dire que tous est gérable avec des entreprises privées (car elles ont une soi disant meilleure qualité et prix).
Staline, le tyran rouge |
83/145 |
07/03/2007 à 23:17 |
Staline à reduit son peuple à l'esclavagisme > Ha merci Mrs le Genie ^^ ...
Disons que le liberalisme exploite d'une maniere plus camouflé son peuple c'est tout , encore une fois va t'instruire , apres avoir vue les shock testing economique de ton liberalisme , le model E liberaliste , les theorie d'energie de Rothschild ou les humains sont assimilé a un potentiel economique de depense , ou encore la capacitance economique , la conductance economique , l'inductance , je ne te parle pas ici d'electrecité mais bien de liberalisme economique , puisque la doctrine liberaliste se base sur l'exploitation en but de l'enrichissement .
Remplacer une dictature par une autre ne fait pas partit des principes libéraux, c'est les communistes peut-être, mais alors là... >>
Non c'est vrai l'asservissement longue dureé en est davantage l'apanage(Du liberalisme biensure ) ...
Staline, le tyran rouge |
84/145 |
07/03/2007 à 23:20 |
athenes13 >> Exact , ca ne sert strictement a rien de debattre avec lui , or mis se taper des fou rire a la lecture des ses reponses , mais bon ca devient bien fade , repetant toujours la meme chose , je commence a m'en lasser ...
Staline, le tyran rouge |
85/145 |
07/03/2007 à 23:25 |
Les libéraux qui on soutenut le régime Nazi ? C'est tout simplement impossible, même les liberaux pendant la Rennaisance s'opposait à la traîte négrière alors dire que les libéraux soutenaient les Nazis c'est de la pure invention de la part d'un illuminé."
Bah écoute ... les français se méfiaient des patrons à la Libération.De Gaulle lui même s'en méfiait... pourquoi ? parce qu'une majorité de patrons (et notamment des libéraux ...) a collaboré durant la Guerre.Ce n'est pas moi qui l'invente hein ....C'est même de notoriété publique ...
Je ne dis pas TOUT les patrons (libéraux ou pas) ont collaboré ...Mais une grande partie effectivement.
D'ailleurs De Gaulle s'en méfiait ... "la Politique de la france ne se fera pas à la Corbeille" disait-il....
Qu'est-ce que la Corbeille ? c'est une référence à la Bourse de Paris ... Il savait très bien le passé des gens qui y "trainaient" ...
D'ailleurs il y a de nombreuses références bibliographiques et/ou cinématographiques au sujet de la forte collaboration des patrons ...
"Va t'instruire le boeuf de service. Rappelle toi des centaines d'opposants politique qu'il a fait fussiller. Et du Rock par exemple, interdit à Cuba."
On parle du Che pas de Castro ...
le Che n'est pas resté longtemps à Cuba...Il avait d'autres révolutions à préparer ;)
"Absolument n'importe quel pays peut faire un tel bond quand on enchaine et oblige tous les citoyens à travailler. Les Russes étaient réduits à l'esclavage et c'est ça qui a fait avancer le pays."
Faux,faux et faux ...
Il y a pas mal de dictatures dans le genre qui ont de nombreux camps de travaux remplis ... Que je sache ce ne sont pas des super-puissances ? (exemple de ces pays d'Afrique où des dictateurs ont été placés par les occidentaux ...)
Et les travaux d'Amartya Sen ont mis en évidence que la démocratie est une condition nécessaire au développement (ce qui sous-tend à l'espérance de vie,la richesse par tête et le taux de scolarisation) ...
L'esclavage ne fait pas avancer un pays ...
La majeure partie de la production restée assurée par la population "libre" ( au sens où elle n'était pas dans les camps de travaux forcées ...).
"Qui plus es les Nazis étaient socialiste, alors c'est d'autant plus impossible que les libéraux les aient soutenus."
Les nazis restées quand même au service du capitalisme (banquier,grands groupes d'armements et d'automobiles,textiles etc ...)
"La condamnation de la proprieté privé est une belle utopie ? Donne moi ton ordinateur veux-tu..."
Allez encore un amalgame.
La propriété privée n'est pas interdite ... C'est la propriété privée des moyens de productions qui l'est....
"Dans une société libre la saolidarité est VOLONTAIRE, ce que les communistes ne comprenent pas c'est qu'ils n'ont aucun droit de forcer cette soldairité. ( d'ailleur on ne peut même plus parler de solidarité quand elle est forcée ) ô_O"
Oué on choisit les pauvres et les "assistés" (comme on dit si souvent de ton coté de la barrière ...)
D'un coté :"Tiens une pièce pour toi l'ami unijambiste et manchot ... tu ne peux pas te payer à manger parce que tu peux pas bosser ... t'es un bon pauvre toi au moins ! va t'payer un sandwich !"
De l'autre : "tu peux toujours te fourrer pour avoir une pièce ! t'as qu'à pas être au chômage !!!!"
Il ya les bons pauvres et les mauvais pauvres c'est bien ce que je dis ...
La charité chrétienne des footballeurs qui choisissent leurs malades ...
La charité des chanteur-se-s et acteur-ice-s qui choisissent leurs handicapés ...
En voulant se donner un coté humain,on oublie toute une partie de la population qui sont dans des situations similaires.
Et dire qu'il y a d'autres associations pour pallier au problème c'est un peu comme dire que l'équilibre général en économique peut être,dans la pratique,atteint.C'est un mensonge.
Staline, le tyran rouge |
86/145 |
07/03/2007 à 23:45 |
Putin chez meme pas si tu te rend comte de ske tu dis pour toi limite 20milions de mort limite cest rien pour servir une politique alors que c'est la politique qui doit servir son peuple jcrois pas que en les tuant tous elle les et bien servi. Desoler mais pour moi un sisteme comuniste c'est a chier bati sur la propagande sur "legaliter" moi jtrouve pas sa normal que tout le monde touche le meme salair les travo son plus dur celon les profession et ceux qui senrichisse sur le dos de petit mouton suivant cette politique ce sont les mec du genre Staline alors desoler mais jtrouve que cette exemple est loin detre le meilleur prend Gandi...
Staline, le tyran rouge |
87/145 |
07/03/2007 à 23:56 |
Le tiran rouge il etait alcoolique?
Staline, le tyran rouge |
88/145 |
08/03/2007 à 00:30 |
blablabla....
que du blabla pr rien
Staline, le tyran rouge |
89/145 |
08/03/2007 à 15:48 |
"c' est du vo lau sens strict et litteraire du terme mais pas au sens philosophique. "
J'en ai rien à bran*er du sens philosophique, l'impôt reste un crime.
Staline, le tyran rouge |
90/145 |
08/03/2007 à 15:50 |
"made in america...
A propos de l'impôt là...
Euuh...
Sans impôt, je voi mal comment unpays peut avancer lol
plus d'hopitaux, tous le secteur public n'est plus payé, les accidents ( routes défoncées, etc... ) ne sont pas réparés,... )"
Lol kikou mdr sa va ?^^
La privatisation ça te dit quelque chose ? Sinon je ne me suis jamais dit capitaliste, mais libertarien.
Staline, le tyran rouge |
91/145 |
08/03/2007 à 16:03 |
"Bah écoute ... les français se méfiaient des patrons à la Libération.De Gaulle lui même s'en méfiait... pourquoi ? parce qu'une majorité de patrons (et notamment des libéraux ...) a collaboré durant la Guerre.Ce n'est pas moi qui l'invente hein ....C'est même de notoriété publique ... "
Les patrons dont tu me parles n'étaient pas du tout libéraux puisqu'ils ne respctaient rien à la philosophie liberale. C'est aussi débile que de dire que ces patrons étaient communistes. ô_O
"le Che n'est pas resté longtemps à Cuba...Il avait d'autres révolutions à préparer ;) "
Dois-je t'apprendre que le Che est resté ministre à Cuba durant quelques temps ? Interdiction des syndicats, fusillade des opposants, interdiction du droit de grêve , interdiction d'association, le Che a rétablit les camps de travail, interdiction d'écouter du rock and roll, interdiction des sachsophones, bref, ton idéal est loin d'être un être démocratique comme les collectivistes essayent de nous le faire croir.
Citation de votre ami le Che :
"La haine est un élement de lutte, elle pousse l'être humain en dessus de ses limites naturelle faisant de lui une machine à tuer de sang-froid violente et efficasse :c'est ce que doivent devenir nos soldats."
Staline, le tyran rouge |
92/145 |
08/03/2007 à 16:08 |
"Les nazis restées quand même au service du capitalisme (banquier,grands groupes d'armements et d'automobiles,textiles etc ...) "
National-SOCIALISME ! Hïtler était de gauche, il a toujours été contre le capitalisme et contre la bourgeoiserie.
"La propriété privée n'est pas interdite ... C'est la propriété privée des moyens de productions qui l'est.... "
Sauf qu'il me parlait de propriété privé tout court là, mais le raisonement reste le même dans un sens.
Sinon pour la solidarité :
Comme je l'ai déjà dit et démontré, les pays qui on les impôts les plus faibles sont aussi ceux qui donnent le plus bénévolement, absolument TOUT LE MONDE parler de solidarité en France, supprimons l'impôt que nos parents connaissent et les dons VOLONTAIRES suffiront. Et puis ton truc de pauvre à qui tu donnes est tout simplement débile, tu donneras ton argent à l'association que tu veux, comme un homme libre, et elle repartira l'argent que tu lui donnes.
Staline, le tyran rouge |
93/145 |
08/03/2007 à 16:20 |
"il entreprit d'arracher spectaculairement son pays à l'arriération ancestrale. Il fit collectiviser intégralement les terres et industrialisa l'Union soviétique à marche forcée par les très ambitieux plans quinquennaux, sans souci des oppositions, brisées, ni du lourd coût humain et social"
" l'envoi aux camps de travail du Goulag de millions de personnes généralement innocentes, notamment au cours de la collectivisation des campagnes et des Grandes purges de 1937"
On sait tous que la privation d'absolument toute les libertés pour les ouvriers et les paysans n'a pas fait avancer le pays à pas de géant...
Staline, le tyran rouge |
94/145 |
08/03/2007 à 16:50 |
La privatisation ça te dit quelque chose ?
T'es malade ?
Faire de l'état de la france un business ?
...
-_-'
{°v°} KoviS ( communiste et fier de l'être ) {°v°}
Staline, le tyran rouge |
95/145 |
08/03/2007 à 16:54 |
"T'es malade ?"
Je te retourne la question.
Staline, le tyran rouge |
96/145 |
08/03/2007 à 16:55 |
juste 2 exemples de privatisations :
privatisations des chemins de fers britanique : réseau devenu insalubre et dangereux. retard, panne etc.. ex : le deraillement d' un train de virgin express qui à fait miraculeusment qu' 1 seul mort !
privatisation de l' electricité au etats unis : des pannes gigantesques en californie pdt les étés chaud du à la vetusté du réseau.
je ne te parle pas des prix de l' electricité qui à explosé aux etats unis ou des régions entieres britanique qui n' ont plus de courrier parce que les entreprises postaux ne trouve pas cela assez rentalbe. et je te fais grace du systeme educatif americain ou se sont les capitalistes qui dictent les programmes scolaires !
Staline, le tyran rouge |
97/145 |
08/03/2007 à 17:00 |
KoviS >> On va arrete de parler avec lui , il sert a rien , il croit dure comme faire avoir la verité .
Au fait tu me fait bien rigoler made , c'est toi qui parle de philosophie liberal aujourd'hui , aller va philosophe sur dimanche ...
^^ Ouai tu prend les choses comme elle t'arrange , hitler etait de gauche , nous aurons donc tout vue de toi ou va tu encore quelquechose d'encore plus stupide , surtout que la gauhe base sa doctrine sur la notion de race ... A non pardon ca c'est la droite autant pour moi aller va je t'en veus plus , j'ai decouvert que tu fesais pas exprés de dire de tel connerie .
Staline, le tyran rouge |
98/145 |
08/03/2007 à 17:46 |
"privatisations des chemins de fers britanique : réseau devenu insalubre et dangereux. retard, panne etc.. ex : le deraillement d' un train de virgin express qui à fait miraculeusment qu' 1 seul mort !
privatisation de l' electricité au etats unis : des pannes gigantesques en californie pdt les étés chaud du à la vetusté du réseau. "
Tiens, lis ce texte en ENTIER :par Allister HEATH
Les défenseurs des monopoles publics ont de quoi se réjouir. Deux exemple étrangers semblent confirmer leurs préventions contre les politiques de privatisation. Il y avait les catastrophiques accidents de chemin de fer en Grande Bretagne. Cet été a vu l'apparition d'une grave pénurie électrique en Californie. Au lieu de baisser comme prévu, les prix de l'électricité vont flamber. Dans les deux cas, les détracteurs du "tout marché" et des privatisations croient y voir une confirmation de leurs thèses.
L'apparent échec de ces deux privatisations vient en fait de ce que, dans les deux cas, la libéralisation n'a pas été poussée jusqu'au bout. Les pouvoirs publics se sont arrêtés en chemin, maintenant en place un appareil réglementaire qui est en fait à l'origine des faits dénoncés. C'est particulièrement visible dans l'affaire de l'électricité californienne où les prix au détail sont restés plafonnés alors qu'on déréglementait totalement le commerce des échanges de gros. Mais, nous explique Allister Heath, c'est également le problème des chemins de fer britanniques.La compétition entre les nouvelles entreprises privatisées n'a pas échoué car elle n'a jamais vraiment été testée. Dans les deux cas, il s'agit de réformes qui n'étaient qu'à moitié libérales.
********
Deux accidents de train au Royaume-Uni en octobre 2000 ont fait sortir des rails le peu de soutien dont jouissait en Europe la privatisation des chemins de fer. En l'espace de trois jours, quatre passagers ont trouvé la mort dans un tragique déraillement à Hatfield, au Sud de l'Angleterre, et un accident similaire a fait quatre-vingts blessés à Stafford, dans le Nord du pays. Depuis, les trains britanniques sont en pleine crise. La démission du principal dirigeant des chemins de fer britanniques a fait déborder le vase. En novembre et en décembre 2000, le gouvernement travailliste de Tony Blair a, de facto, repris le contrôle opérationnel du réseau, sans toutefois officiellement renationaliser quoi que ce soit. Depuis, tout semble aller de mal en pis, et si l'on veut arriver à l'heure, il n'est guère conseillé de prendre un train en Grande-Bretagne ces temps-ci. Est-ce vraiment dû à la privatisation ? Les problèmes du système ne proviennent-ils pas en réalité d'un manque de libéralisme, et de réglementations intempestives ?
L'introduction de la concurrence dans le système
Le moins que l'on puisse dire, c'est que ces accidents, et le chaos qu'ils ont provoqué en Grande-Bretagne, ne pouvaient pas plus mal tomber pour les partisans du libéralisme ferroviaire. La directive européenne 91/440, adoptée en 1991, a placé une bombe à retardement sous les grands monopoles nationaux qui dominent encore le secteur. Les bureaucrates de Bruxelles, dans un rare moment de sagesse, ont décidé que la gestion du transport des voyageurs et des marchandises devra être séparée de celle des voies dans chaque pays de l'Union Européenne. Leur but était d'introduire la concurrence dans le système afin de permettre à différents opérateurs de partager un même réseau, tout comme les compagnies de bus partagent actuellement les mêmes routes. Bien qu'imparfaitement libérale, puisqu'elle rend obligatoire une bipartition des entreprises et qu'elle nécessite une supervision d'une agence de type anti-trust, cette idée va au moins dans la bonne direction.
Malheureusement, presque rien ne s'est passé sur le continent européen depuis 1991 malgré cette décision. Les grandes réformes ont été remisées partout sauf au Royaume-Uni. Comme souvent, l'Angleterre a décidé de se lancer seule. C'est ainsi que le gouvernement conservateur de l'époque a divisé le système ferroviaire : d'une part l'intégralité des quelques 16 430km de voie ferrée, des 2480 stations et l'équipement de signalisation, qui constituent l'infrastructure ferroviaire ; cette dénationalisation en 1996 amena la création d'un grand groupe privé nommé Railtrack. D'autre part, différents opérateurs furent chargés des services ferroviaires pour les voyageurs et pour le fret. Ainsi, pour les voyageurs, le pays a été divisé en 25 secteurs, chaque zone étant donnée en franchise à une entreprise spécialisée dans la gestion des services. Ces franchises devaient théoriquement aboutir un jour à une concurrence entre différentes entreprises sur les mêmes trajets. Au total, l'intégralité de l'ancien monopole de la British Rail (c'est à dire la somme des deux parties du nouveau système) s'est trouvée répartie sur près d'une centaine d'entreprises privées.
Sur le continent, avant la récente crise en Grande-Bretagne, la fin des monopoles d'Etat était finalement en vue. La compagnie ferroviaire allemande, Deutsche Bahn, étant en train d'être privatisée ; les politiciens de l'UE se réunissant à Bruxelles pour décider de la meilleure façon de rattraper les efforts de privatisation des Anglais. L'opposition du gouvernement français, qui ne supporte pas l'idée que des entreprises non françaises puissent bientôt subvenir aux besoins de la population parisienne en lieu et place de la sacro-sainte SNCF, était prévisible. Le ministre communiste des Transports, Jean-Claude Gayssot se trouve exposé à de fortes pressions de la part des dirigeants syndicalistes.
100 fois plus dangereux d'être piéton
Bien qu'il soit tout à fait normal que les réformes anglaises soit examinées de près, de mauvais arguments ont été avancés lors des récents accidents.
L'argument le plus important contre la privatisation des chemins de fer est ce bon vieux souci : la sécurité. En réalité, en Angleterre, prendre le train est près de six fois et demie plus sûr que de rouler en voiture, d'après les chiffres donnés par les analystes de l'agence gouvernementale Health and Safety Executive. Plus encore, selon cette même agence, il est près de cent fois moins dangereux de prendre le train que de marcher.
"La sécurité des chemins de fer britanniques s'améliore d'année en année" affirme l'expert en transports Christian Wolmar. "Chaque décennie depuis la Seconde Guerre Mondiale a vu décroître le nombre des morts ; celui-ci est passé de 334 morts dans les années 1940 à 46 morts dans les années 1990".
M. Wolmar rejette aussi l'idée que les trains anglais soient beaucoup plus dangereux que ceux des autres pays européens. Des chiffres souvent cités montrent que les trains britanniques sont classés en onzième position en Europe pour la sécurité, avec 0,36 morts pour un milliard de kilomètres. En France le nombre de morts par milliard de kilomètres est de 0,27, et en Allemagne il est de 0,31.
La première remarque est que ces statistiques sont très proches et ne prouvent pas grand chose. De plus, il y a de fortes raisons de croire que les chiffres anglais exagèrent le nombre de décès dus réellement aux trains. Ces statistiques "comprennent les morts de gens ivres tombant sous les rails des trains, lorsqu'ils sont en possession d'un ticket" précise M. Wolmar. Les autres pays européens ne comptent que les décès dus aux déraillements et collisions.
De plus, beaucoup de trains anglais sont utilisés régulièrement par des "commuters". Ces services intensifs détériorent davantage le réseau que l'utilisation moindre qu'en font la France et l'Allemagne.
En fait, la sécurité s'est probablement améliorée depuis la privatisation des trains. Ainsi, le nombre de signaux "passés avec danger" (l'équivalent de "griller" un feu rouge sur la route) est actuellement de 480 par an au lieu de 870 annuels pendant les six ans précédant la privatisation, d'après les derniers chiffres officiels. Le nombre de déraillements et de collisions a aussi considérablement diminué et moins de rails nécessitent réparation ou remplacement. A la mi-octobre 2000, le nombre de passagers avait augmenté de 30% depuis la privatisation, et la quantité de fret de 13%. Une économie en expansion et la congestion des autoroutes sont certes un facteur de cette croissance, mais de loin la majeure partie de ce boom est due aux bonnes stratégies de marketing et aux systèmes de prix novateurs proposés par les entreprises privées.
Le legs de la nationalisation
Cependant, les chemins de fer britanniques sont loin d'être parfaits, même sans les problèmes des derniers mois. Retards et annulations sont monnaie courante, et les employés presque aussi revêches que leurs confrères de la Deutsche Bahn. De bien des façons, les nouvelles entreprises ne sont que des microcosmes de l'ancien monopole. Il y a bien eu des changements cosmétiques (les employés portent des uniformes plus élégants que leurs collègues français, et les voyageurs se sont métamorphosés en "clients") mais l'attitude générale reste désespérément bureaucratique. Bien que la sécurité se soit améliorée, l'index de ponctualité calculé par les régulateurs a chuté de 25% pendant les six mois précédant octobre 2000. Ceci explique pourquoi le temps n'est plus le sujet de conversation typique des anglais : nous nous plaignons maintenant du délabrement des trains…
Le mauvais service, l'inconfort des voitures et le mauvais entretien des rails sont le legs de la nationalisation. Le gouvernement britannique a longtemps contrôlé les chemins de fer sans pour autant y investir grand chose. Contrairement à la France, où l'Etat a fait dépenser des centaines de milliards de francs aux contribuables pour les TGV, les chemins de fer Outre-Manche furent privés d'argent pendant au moins un quart de siècle. Comment quelques années de privatisation pourraient-elles réparer si vite les maux de plusieurs décennies ?
En outre, la privatisation n'a pas été menée à son terme. Plutôt que de déréglementer entièrement les relations entre les nouvelles entreprises, les régulateurs ont gardé le pouvoir.
Railtrack obtient la majorité de ses revenus à partir des frais imposés aux opérateurs qui empruntent ses réseaux ferroviaires. La première erreur économique des régulateurs a été d'imposer un système de tarification forfaitaire. Ce qui fait que 9% seulement des charges versées à Railtrack en 1998-99 tenaient compte de l'intensité d'utilisation, d'après le rapport annuel de l'entreprise. C'est à dire que Railtrack gagne la même somme, que l'opérateur fasse circuler cinquante ou cent trains. Rien ne motive donc l'entreprise, qui ne cherche pas à développer son réseau pour faire face à la demande. D'où des tensions avec les opérateurs dont les services profiteraient d'une amélioration de l'infrastructure.
Les politiciens français devraient aussi considérer la deuxième grande erreur britannique : les opérateurs doivent payer des amendes dès que leurs trains accumulent du retard ; or les travaux sur les voies ferrées, dont ils n'ont pas le contrôle, contribuent à ces retards. Ils refusent donc de discuter l'amélioration et le développement du réseau avec Railtrack. Les travaux sont bâclés, menaçant la sécurité des passagers et ouvrant la porte à des accusations mal placées "d'échec du marché". Il est clair que le temps de réparation des rails ne devrait pas nécessairement être pris en compte dans l'évaluation des retards d'un opérateur.
La véritable solution libérale
L'échec partiel des réformes britanniques est imputable au fait qu'elles ne sont qu'à moitié libérales. La France doit tenir compte des ces erreurs et véritablement privatiser son système ferroviaire si elle ne veut pas tomber dans le même piège. Seule une industrie fondée sur la propriété privée, sur la liberté des contrats et affranchie de toute réglementation étatique peut assurer le transport des passagers et des marchandises d'une façon réellement efficace et juste.
Allister Heath est un économiste diplômé de la London School of Economics et de l'Université d'Oxford. Il est Directeur des Recherches à la European Foundation à Londres et écrit régulièrement pour des journaux internationaux. allister_heath@yahoo.co.uk
Ainsi, comme vous venez de le découvrire, la façon dont procède les Anglais ne satisfait pas les liberaux.
Staline, le tyran rouge |
99/145 |
08/03/2007 à 17:58 |
"Ouai tu prend les choses comme elle t'arrange , hitler etait de gauche , nous aurons donc tout vue de toi ou va tu encore quelquechose d'encore plus stupide "
PARDON ?
Hïtler n'était pas de gauche ?
Ah oui, j'oublais qu'il fallait être de droite pour croire en les races, un peu comme Staline où notre ami George Frêche... N'est-ce pas ?
Bon, je vais te démontrer que Hïtler était de gauche puisqu'il faut tout recommencer avec toi...
1 ) Tout d'abord le nom du parti, le parti ouvrier allemand ( ancetre direct du NSDAP) etait un mouvement socialiste de contestation qui était proche du SPD,en tout cas le parti contestait les dires du président Lincoln chantre du libéralisme à l´époque. Je pars de l'idée que le liberalisme est à droite.
2)
La politique économique Hïtler était totalement dirigiste.Hitler a pratiqué les nationalisations d'entreprise, a défendu les emplois publics, meme des emplois sociaux...
Sinon le national-socialisme a fait ce que l’on appelle des réalisations sociales pr les ouvriers ; avec entre autres le concept de Volkswagen et amélioré les conditions sociale des travailleurs.
Il a par ailleurs instauré le 1er mai allemand en 1935, il me semble...
3) De plus lle nom "national-socialisme" n’est en rien du au hasard ; elle n’a pas été utilisée dans le seul but de tromper le peuple mais aussi par l’adésion à une idéologie socialiste "aryenne". Très présente à l'époque.
4) Le nazisme était un mouvement profondément antichrétien ( meme si les liens avec la papauté aurait pu faire penser au contraire ), c'est pourquoi ces alliance étaient purement stratégique. Cette conception rompt en tout cas avec la droite de l'époque et est idéologiquement plus proche du marxisme anti-religion.
J'ajoute que le racisme et l'antisémitisme existe à gauche comme à droite.
Staline, le tyran rouge |
100/145 |
08/03/2007 à 18:38 |
Hitler ===> Extreme droite ! "Socialement à gauche, ECONOMIQUEMENT à droite" tiens c'est lediscour de LEPEN ça !!!!
Made, tu confonds communisme et le plus grand dictateur de tous les temps ! Le communisme ne se résume pas à 20 millions de morts, ces 20 millions de morts c'est le fruit de la confrontation Allemagne nazie et de l'URSS asscocié à Staline et à Hitler !
Le commnunisme apparament tu ne sais pas ce que c'est , je t'invite donc à lire ceux ci http://fr.wikipedia.org/wiki/Communisme , tu seras un peu moins con après !
Je suis communisme, du fait de mon éducation et je considère Staline comme un Cancer qu'à connu l'URSS et même après sa mort ce qu'il avait lancé (je parle de la mise en place de SA dictature et non un régime totalitaire) est resté, malgré les efforts de Krouchtchev, les partisans de staline étaient toujours en poste .
Sinon passon au bilan du capitalsime :
Suite aux passages de la Russie dans ce systeme, les conditions de vie d'une majoriét de russe ont plongé . Regarde le pays que tu chéries tant, 10 % de la population vit en dessous du seuil de pauvreté, alors qu'ils sont quand même dans la PLUS GRANDE PUISSANCE DU MONDE, cela représente 30 000 000 de personnes soit un français sur deux, c'est monstrueux. Continuons, cette fameuse puissance ont installé des dictatures FASCISTES, dans toutes l'Amérique du SUD, cela a du causé un nombre de morts encore très élevé .