Ecriture automatique.

Je vais essayer. Ca n'aura pas de sens et ca sera nul, mais bon...

Mélange des sentiments. Lui et moi, moi et lui. Nous. Interaction. Rien ne se passe. Je sens son regard posé sur moi. Il regrette. Il regrette, mais n'ose rien dire. S'excuser. Dire qu'il a mal réagi, qu'il s'est mal comporté. Au lieu de ca, il pose son regard sur moi, attendant ma réaction.
Il est désolé; essaye de me faire rire. Son regard posé sur moi me fait fondre. Il le sait. Continue à me regarder, sans bouger. Je fond. Lentement. Comme du chocolat, ou du beurre, ou une glace au citron. J'adore les glaces au citron. Il le sait très bien. Je le déteste. Enfin, j'essaye. En vain. Il me connait déjà. Il n'a plus qu'à compter jusqu'à 10 et je serai à lui. C'est tout. C'est injuste. Ses yeux.
Ah! Ces yeux. Bleus comme le blues que j'avais pendant toutes ces semaines. Bleus comme le ciel. Infini. Comme notre amour.
Je l'aime. Il le sait. Ca se voit.
Il m'aime. Je le sais. Ca se voit.
Je déteste ca. ...8 ...9 ...10
Je le regarde. Ses yeux bleus. Transe. On rit. Ensemble. Lui et moi, moi et lui.
Mélange des sentiments?
Amour.

Un regard, une seconde passe, tu rougies. Tes yeux ont croisés les siens, tu décolles vers le paradis, les oiseaux chantent au fond de ton petit organe vital appelé cœur, une multitude de papillons se chamaillent dans le bas de ton ventre. Que t'arrive-t-il ? Le feu qui brûle tes joues s'intensifie, tu baisses le regard, le par terre est tellement plus intéressant d'un coup. Sa voix retentit, résonne en échos en toi, elle te semble tellement familière comme si tu l'avais entendu toute ta vie, comme si son timbre avait toujours fait partit de toi. Il est devenu, en l'espace d'à peine 1o secondes, l'inconnu de ton coeur.

tenebre et lumiere? comment veut tu que je le sache
lequel des deux choisir autant creer
un monde ou les deux seront la pour l'eternite

Bon bah... J'me lance aussi hein ^^" c'pas fameux ni rien, puis j'avais jamais fais ça avant, donc ne soyez pas trop sévères sur le jugement...

Elle reculait seule, bleutée, pareille à la pluie parfumée qui prenait plaisir silencieusement à assassiner ses plaisantes amourettes. Pourquoi ne viendrais-tu pas trouver devant ces remparts la lame qui te briserait?
Le suicide du flocon ne fera de bien qu'à celui qui le porte, et l'ardeur de ses mains n'y changerait rien. La légende du cavalier fou ne fait rager que les pauvres d'esprit, les idées égarées et le bonheur d'un silence qui passe rappelle l'avenir qui tente de se glisser inopinément dans les plis de ma jupe.
Les négations sont bonnes à prendre lorsqu'elles sont construites, laisse moi te prendre sur les chemins des misanthropes, tu aimeras que je te dessine, rougissante petite nymphe. Tu prendrais cela pour une sorte de poésie, moi comme de la politesse.
Question, les discussions en présence de personnes désirées se trouvent perturbées par un calme, il n'est pas forcément oppressant, il est bon, ils ne sont pas de cet avis.
Ils ne sont que l'image suprême des dictées et des envies, leur devoir obéissance est frustrant de vérité, « ne soyez pas à mes pieds! » osent-ils clamer! « Je ne veux plus » murmurais-je aux roseaux filtrant l'air.
Prison bercée de quantiques sauvages, me laisseras-tu parler à cet être si présent dans mon état d'esprit? Où restera-t-il au loin, s'effaçant, mourant, ne devenant qu'un croquis fait au fusain. IMAGINAIRE!
La dépravation des lettres et de ces scénarios devraient me choquer, le glauque m'obsède, si attirant dans son écrin, mots jetés au hasard, ils tentent d'être beaux mais ne sont que grossiers et maladroits, que, ne, peu, répétition. Regarder autour, trouver une ombre dans laquelle se glisser, lumière n'est pas signe de bienveillance, entrez-vous ça dans le crane car cette coalition entrainant ses entrailles dévoilent bien plus qu'un simple voile.
S'abreuver de remontrances, tout en levant les yeux vers la lune, non pas vers le ciel, ne pas couper les phrases, un blasphème ne se fait qu'en terres saintes!
Un hyène s'est amusée à hanter les ports de notre-dame, juste par curiosité, « la curiosité est un vilain  défaut » pourquoi l'aurait-elle su?
Quelle utilité, elles se croient encore et toujours maîtresses et suivent les règles soit-disant imposées, elles ne sont que des comptines à fredonner pour se rassurer faussement. Doucement, calme. Tes gémissements sont puérils, tu fais peine, je te hais. Tu tournes en boucle, tu ressasses, avance, avance, tu n'y arriveras pas de toutes façons. J'aime te voir te débattre, l'envie est appétissante, bourrée de paradoxes et de boucles infinies, comment veux-tu reculer si tu ne fais que stagner?
La distance tient à te garder dans ses bras, étrange, tu te débats? Pourquoi, petite enfant toujours en quête de quelque chose, tu l'aurais trouvé cette fois, l'insaisissable est-t-il aussi arrangeant que la destruction, le malaise et l'agonie?
Crache donc ton venin sur moi, c'est te détruire, de paix réfléchie nostalgique tu es passée à une angoisse et à une haine envers ce qui se trouve être toi-même, et bien embrasse-moi, si tu me hais donc à ce point, aime ce qui te débecte et qui t'arrive à ce point, au fond tu t'en délecte!
La brise qui me supplie d'arrêter à ma fenêtre me donne envie de pleurer, une pluie, un crachin, un éclair, de la violence...

Elle est là, devant moi.

Nous sommes sur le pont Bir-Hakeim. Elle va partir, mais nous sommes tous les deux là, debout, à nous regarder, les yeux dans les yeux. Il y a beaucoup de vent, le ciel est gris. Etrange, ce silence. Comme si le monde nous laissait nous dire "au revoir".

Une larme.

Nos coeurs sont lourds. Elle a mal. J'ai mal. Ce sentiment d'étouffement, jamais je n'avais imaginé qu'il aurait pu être si oppressant. Ses cheveux bruns, si lisses, sans aucune fourche, brillants malgré la noirceur des nuages percés de lumière ; ses cils parfaitement redressés ; ses yeux ; son maquillage discret ; son rouge à lèvres rose clair, celui que je préfère ; ce matin, elle s'est faite plus belle que jamais pour moi.

Une bourrasque, et des gouttes d'eau.

Même le ciel pleure.

En un instant, tous nos souvenir refont surface dans ma mémoire. Que de temps perdu à vouloir assouvir nos désirs sauvages ! Je me revois, lui caressant la poitrine par dessus ses vêtements. Je me dégoute, je me hais. J'aurais du lui chuchoter à l'oreille tout mon désir, plutôt que de promener mes mains sur elle.
Mon regard se perd. Le sien aussi. A quoi pense t-elle ? Déjà, je la sens partir ; chaque instant la rend plus étrangère. Je redoute le moment où elle me tournera le dos.

Sa main froide passe derrière mon cou. Nous nous embrassons, pour la dernière fois. Un long baiser, d'une lenteur extrême. Nos langues sentent pour la dernière fois le goût de l'autre.
Elle se retire d'un coup, me prenant par surprise. Elle ramasse son sac, me regarde une dernière fois, et part.

Je déglutis lentement. Adieu, suave bouche.
J'expire. Adieu, parfum exquis.
Mes yeux se ferment. Adieu, ma bien-aimée.

Je l'aime.



Je l'aimais.

Ferdinand a écrit :

Et si c'était trop de vent... ça arracherai ses bourgeons pas encore résineux. Ce que j'ai pu manger de concombres. Je bande.



La clâââsse.

Canardvert a écrit :

Elle est là, devant moi.

Nous sommes sur le pont Bir-Hakeim. Elle va partir, mais nous sommes tous les deux là, debout, à nous regarder, les yeux dans les yeux. Il y a beaucoup de vent, le ciel est gris. Etrange, ce silence. Comme si le monde nous laissait nous dire "au revoir".

Une larme.

Nos coeurs sont lourds. Elle a mal. J'ai mal. Ce sentiment d'étouffement, jamais je n'avais imaginé qu'il aurait pu être si oppressant. Ses cheveux bruns, si lisses, sans aucune fourche, brillants malgré la noirceur des nuages percés de lumière ; ses cils parfaitement redressés ; ses yeux ; son maquillage discret ; son rouge à lèvres rose clair, celui que je préfère ; ce matin, elle s'est faite plus belle que jamais pour moi.

Une bourrasque, et des gouttes d'eau.

Même le ciel pleure.

En un instant, tous nos souvenir refont surface dans ma mémoire. Que de temps perdu à vouloir assouvir nos désirs sauvages ! Je me revois, lui caressant la poitrine par dessus ses vêtements. Je me dégoute, je me hais. J'aurais du lui chuchoter à l'oreille tout mon désir, plutôt que de promener mes mains sur elle.
Mon regard se perd. Le sien aussi. A quoi pense t-elle ? Déjà, je la sens partir ; chaque instant la rend plus étrangère. Je redoute le moment où elle me tournera le dos.

Sa main froide passe derrière mon cou. Nous nous embrassons, pour la dernière fois. Un long baiser, d'une lenteur extrême. Nos langues sentent pour la dernière fois le goût de l'autre.
Elle se retire d'un coup, me prenant par surprise. Elle ramasse son sac, me regarde une dernière fois, et part.

Je déglutis lentement. Adieu, suave bouche.
J'expire. Adieu, parfum exquis.
Mes yeux se ferment. Adieu, ma bien-aimée.

Je l'aime.



Je l'aimais.



Purée j'ai failli pleurer ...

Combien de temps , un an et demie , plus ou moins peut étre
Trop de temps ... Trop de mauvais moment passé depuis qu'il n'est plus la
Plus une cicatrice , enfin si , une derniere qui se situe au plus profond de mon âme
Il est partis trop tot , m'enlevant un sourire que je ne retrouverais jamais , malgrés les bons moments , la douleurs reste trop forte
Je dois apprendre a me reconstruire , refaire une vie , une vie plus belle , une vie sans lui
Depuis peu , et grace a ce site , ma vie se reconstruit a travers une seule personne , la douleur s'efface et laisse place a une vide , un vide a remplir de pensée positives , petit a petit mais avec envie
Elle devient tout pour moi , effacant les peines , sublimant chaque instant , la vie revaut la peine d'étre vecu , elle m'a ressuscité
Combien de temps , pour reconstruire , le paradis disparu , personne ne le sais , a moi d'en constaté
...

J'ai clairement aucun talent comparé a la creatrice du topic

J'ai corrigé mon texte et essayer de l'améliorer. Enfin voilà ce que ça donne.

Je courais sous les étoiles. Il ne fallait pas que je m'arrête , c'était impossible. Courir comme si c'était la dernière fois , comme si demain je ne serai plus la , comme si fuir était ma seul raison de vivre. La lune semblait m’indiquer le chemin à prendre , le chemin à suivre pour être enfin libre. Libre de lui oui .. De plus en plus vite je poursuivait ma course effrénée. Mon cœur battait si fort que je cru un instant qu'il allait se décrocher , s'arrêter , m'abandonnant dans ce champs , seul , tellement seul. Et puis , qu'elle importance de toute façon ? Plus rien ne comptais , Plus rien même ma propre vie ? Peut être ..
Mes cheveux me fouettaient le visage , mes mains glacée tremblaient comme la feuille , à chaque bouffé d'air , j'avais le sentiment insupportable qu'un couteau s'enfonçait dans ma gorge. Il suffisait d'un geste , d'une volonté pour tout arrêter , m'allonger dans ce champs et compter les étoiles jusqu'à la fin. Oui mais si la fin ne venait pas ? Si un ans plus tard j'étais toujours la à compter les étoiles ? Je ne me le pardonnerais pas , une fin aussi pitoyable , je n’en voulais pas. Alors je continuais à courir , encore plus vite , toujours plus vite. Soudain , une violente douleur me transperça , une douleur profonde , la douleur du passé qui ressurgit sans crier garde. Des larmes commençaient à couler , à rouler sur mes joues. Elles été aussi tôt balayaient par le vent , mais continuaient à couler , je ne pouvais plus les arrêter. Elles avaient le goûts salé d’un amour raté. Il ne les méritaient pas , non. Mais pourtant elles étaient bien la , mouillant mes joues et mon nez , me piquetant les yeux. Le goût amère du passé , le gout d’une rupture , le gout de l’amour. J’avais beau les essuyer elle rester , et je finis par m’y habitué. Mais elles me brouillaient la vue. Je butta dans un caillou , et tomba de tout mon long dans le champ. Je roula sur le côté , me délecta du vent qui venait caresser mon visage , de mon cœur qui battait à une vitesse que je ne lui connaissais pas. Mon visage était un mélange infâme de bout séché , de larmes , les yeux rougis d’avoir pleurer , des cernes violets sous les yeux , de l’herbe dans les cheveux , et mes lèvres ensanglanter , faute d’avoir voulue faire disparaître le gout de ses baisers. J'entendis un froissement , il été la , à côté de moi. J'avais fuis mon destin. Mais je l’aimais , le destin , mon destin été avec lui. J'avais accepté de l'aimer , j'avais enfin compris. Il me regarda , comme si c’était la première fois qu’il me regardait. Il sécha mes larmes , enleva la bout qui salissait mon visage , enleva quelque brins d’herbes de mes cheveux , et caressa tendrement mes lèvres , la ou elles saignaient. Il me pris dans ses bras , et m'embrassa. C'était bon , je me sentais revivre , toutes mes douleurs s‘envolèrent. Et si ma fin été la ? Je le regarda une dernière fois et sentis mon cœur , tout doucement , ralentir. Je ferma les yeux , et me laissa tomber dans le gouffre. Un crie déchira la nuit , puissant , à vous glacer le sang. Il m’aimait , je l’aimais , c’était une fin heureuse au fond ..

Meurs par ma main, je rampe à travers le pays, tuant le dernier né.

Tout ces gens qui marchent dans la rue.
Trop de ces gens.
Cette arme à ma ceinture. Elle est lourde. Beaucoup trop lourde.
Je les vois, ils sont contents. C'est normal, c'est Noël, et tout le monde est content à Noël.
Tout le monde marche, sauf moi, je suis là, je les regarde, mais ils ne me voient pas. Cette petite tache que je représente au milieu de cette foule débordante d'émotions et de stupidité n'est rien.

Pour le moment.

Je la prend dans ma main. C'est étonnant comme un si petit objet puisse etre si important et décisif dans l'avenir de certaines personnes.
Je regarde une femme, elle parait normale, bien coiffée, bien habillée, une petite lueur dans les yeux qui indique qu'elle est heureuse que les festivités commencent.

Oui, les festivités commencent.

Je vise.
Boom, en pleine tete.
Cette personne ne m'avait absolument rien fait, elle était innocente, avait surement une famille et des amis endeuillés aujourd'hui.
Mais elle méritait de mourir.
Comme tout les autres d'ailleurs.
Je m'éfface, tel une ombre qui n'a absolument rien à faire là, qui ne fait pas partie intégrante de ce monde, demain, je recommencerai. Je recommencerai jusqu'a ce qu'il n'y en ai plus aucun. Ca risque d'etre long, mais au moin, ça s'annonce amusant. Et utile.
Toute cette masse grouillante est composée d'etres ne signifiant rien pour l'univers.

Le dernier, je suis le dernier.



D'ailleurs, je tue le premier qui dit que j'ai pas de talent.